Israël procède à la plus large déportation de familles de Jérusalem depuis 1967

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
lundi 23 février 2009 - 06h:37

Al Jazeera

La municipalité israélienne de Jérusalem a remis à plus de 100 familles palestiniennes des notifications de la démolition de leurs maisons dans le quartier Silwan de la région Boustan de la ville occupée de Jérusalem, sous prétexte de construction sans permis. :D

La procédure d’expulsion, qui se présente comme la plus large depuis 1967 va causer le déplacement de plus de 1500 Palestiniens de Jérusalem, et le retrait de leur droit de résidence dans la ville.

Dans le même contexte, l’Organisation chrrétienne et islamique pour la protection des lieux saints de Jérusalem a accusé Tel Aviv de mener une « guerre » sur la ville de Jérusalem pour l’élimination des quartiers arabes et demande un soutien arabe et international pour sauver la ville sainte des tentatives de « judaïsation ». [...]

Le secrétaire général de l’organisation Hassan Khatir, a déclaré que les habitants du quartier « Hay Al Boustan » au sud de la mosquée d’Al Aqsa sont en grand danger et que leur expusion est devenue certaine.

Ce dernier a ajouté que les autorités d’occupation ont réussi à faire fuir des dizaines de milliers de chrétiens à cause des dures conditions de vie imposées aux Palestiniens en général ; dans la ville sainte seul 1% de la population est chrétienne après avoir atteint parfois plus de 5%.

Il a également déclaré : « Nous profiterons de la visite du pape prévue le 8 Mai prochain pour attirer son attention sur le complot sioniste qui vise à vider la terre sainte de toute présence chrétienne ».
 
israél à le droit inaliénable de se defendre contre les faux permis de construire

Ca c'est normal... mais tu as oublié d'ajouter "par tous les moyens!".
Ces gens-là auraient pu avoir l'intention de penser à un moment précis, pendant qu'ils dorment, de faire sauter 1 million de personnes à Sdérot!
Donc ceci justifie cela!
 
Elles protègent... ceux qui ont la bonne pièce d'identité! Pas celle faite pour les "citoyens de seconde zone"!

ah c'est bien ce que je pensais aussi

israél à le droit inaliénable de se defendre contre les faux permis de construire

et dire que ce sont des voleurs de terre, et que pas loin que la semaine dernière un sacré rapport a surgi des décombres refletant toutes les magouilles qu'ils ont pu faire pour cacher cela..

pitoyable !!!
 
Quinze cents Palestiniens chassés de Jérusalem ?
lundi 2 mars 2009 - 07h:16

DUMONT,SERGE

La municipalité a entamé la procédure qui doit déboucher sur l’expropriation de 88 immeubles

jeudi 26 février 2009

JÉRUSALEM

Cette fois nous ne nous laisserons pas faire. Nous constituons un front populaire et nous serons tenaces. Le Président du Conseil islamique de Jérusalem, le sheikh Al-Sabri a pris la tête d’une coalition d’organisations civiles palestiniennes mobilisées contre la destruction par Israël d’Al Bustan, un quartier arabe de la ville sainte situé à proximité de la mosquée Al Aksa.

Le 22 février, la municipalité de Jérusalem a en effet entamé la procédure censée déboucher sur l’expropriation de 88 des 100 immeubles situés dans ce quartier typique de la partie arabe de la ville. Au terme de ce processus, 1.500 Palestiniens seraient ainsi expulsés vers la Cisjordanie ou relogés dans le camp de réfugiés de Shouafat qui se trouve lui aussi de l’autre côté du mur de séparation. Coût de l’opération ? Trois cents millions de dollars.

Selon l’entourage du maire de Jérusalem Nir Barakat (indépendant de droite), l’expropriation d’Al Bustan se justifierait par le fait que la plupart des bâtiments du quartier auraient été construits sans permis. Or, Barakat et ses prédécesseurs ont pour politique de ne jamais accorder de permis de bâtir aux habitants des quartiers arabes de Jérusalem conquis en 1967. Donc, ceux qui construisent ou transforment un immeuble de Jérusalem-Est tombent d’office dans l’illégalité.

Le maire de Jérusalem et les autorités de l’Etat hébreu sont d’autant plus intéressés par Al Bustan que la zone jouxte la « cité de David », un site archéologique où seraient enfouis des vestiges du Temple, le lieu le plus sacré de la religion juive.

« D’autres quartiers suivront »

« Si nous les laissons faire, d’autres quartiers suivront rapidement », affirme Adnan Al Husseini, un ingénieur dépêché par l’Autorité palestinienne pour aider les futurs expulsés. « A Sheikh Jarash (une zone résidentielle où sont situés la plupart des consulats européens), une trentaine d’immeubles sont d’ores et déjà promis à la destruction. A l’instar d’Al Bustan, ils seront à terme remplacés par des résidences de luxe réservées à la population juive. »

Le projet de la mairie de Jérusalem existe depuis 2001. Après quatre ans de négociations, les comités de quartier et les autorités israéliennes ont créé en 2005 un comité chargé d’établir un nouveau plan pour la zone. Mais leur projet prévoyant l’établissement d’un parc adossé à de nouveaux immeubles vient d’être rejeté, ce qui autorise la municipalité à entamer le processus d’expropriation.

« Il s’agit d’un dossier politique et non d’une simple question de gestion urbaine, affirme l’ingénieur. Si nous échouons, nous risquons d’assister au plus grand “transfert” de population palestinienne depuis 1967. » Et d’ajouter : « L’AP jettera toutes ses forces dans la balance pour empêcher cela. Elle ne négociera pas avec Israël à ce propos et elle envisage de saisir le Conseil de sécurité en espérant que les Etats-Unis n’y opposeront pas leur veto. »
 
Ha¹aretz, 27 février 2009

http://www.haaretz.com/hasen/spages/1067348.html

Colonies : tolérance zéro
Lara Friedman et Hagit Ofran

Traduction : Gérard pour La Paix Maintenant


Les informations parues dans les médias selon lesquelles Israël a approuvé une expansion massive de la colonie d¹Efrat en Cisjordanie constituent une première leçon pour l¹administration Obama qui doit comprendre pourquoi elle doit instituer une politique de tolérance zéro à l¹égard de l¹expansion des colonies, avant qu¹il ne soit trop tard.

Ces informations sont à la fois exactes et exagérées. Alors, d¹abord, voici les faits : plus tôt pendant ce mois de février, une commission militaire d¹appel * organisme judiciaire auprès duquel il est possible de faire appel de décisions prises par le « Gardien des Biens d¹Etat et Abandonnés en Judée et Samarie » - a approuvé une décision datant d¹août 2004 de déclarer « terre d¹Etat » une portion de terre d¹environ 300 ha considérée auparavant comme appartenant à Bethléem et au village d¹Artas, rejetant les objections des propriétaires palestiniens contre cette confiscation. La terre eh question est située sur une colline que les colons nomment « Giv¹at Eitam » et proche de la colonie d¹Efrat, au sud de Bethléem. Depuis longtemps, les habitants d¹Efrat lorgnent cette zone pour s¹étendre.

Cette déclaration [de changement de statut, ndt] se fonde sur une loi ottomane de 1858, suivant laquelle le sultan pouvait se saisir de terres qui n¹avaient pas été cultivées pendant trois années consécutives. Depuis 1967, Israël a utilisé cette loi pour prendre le contrôle d¹environ 16% de la Cisjordanie, dont la quasi totalité a été confiée à des colons juifs.

Bien que, il y a encore quelques semaines, Giv¹at Eitam ne fût pas encore considérée officiellement comme terre d¹Etat, la zone est incluse à l¹intérieur des limites municipales d¹Efrat, limites fixées en 1999, bien avant qu¹Israël n¹ait décidé officiellement de confisquer la terre. Il existe un projet de construire quelque 2 500 logements sur le site, doublant ainsi la taille de la colonie (qui compte actuellement environ 8 000 habitants). Les colons pressent le gouvernement de permettre à la construction de commencer. Le fait de reclasser le site en terre d¹Etat marque un pas concret vers la réalisation du projet.

Voilà pour les mauvaises nouvelles. La bonne est que le plan Giv¹at Eitam est encore loin de pouvoir être mis en ¦uvre, et cela pour deux raisons.

La première tient au fait que Giv¹at Eitam se trouve du côté palestinien de la clôture de séparation. L¹expansion d¹Efrat de ce côté risque d¹être problématique, à moins que le tracé de la clôture soit modifié, ce qui sera difficile compte tenu des décisions précédentes de la Haute cour selon lesquelles le tracé de la barrière ne peut pas faire l¹objet d¹un charcutage pour s¹adapter aux projets d¹expansion des colons.

Deuxièmement, avant que toute construction ne puisse commencer, il doit y avoir un plan détaillé, soumls à d¹importantes obligations auprès des autorités de planification, chaque pas devant être approuvé par le ministre de la défense. Clairement, le projet peut être facilement stoppé, si le gouvernement israélien est enclin à le faire.

Ainsi, la reclassification officielle du site en tant que terre d¹Etat ne signifie pas que, du jour au lendemain, les bulldozers vont se mettre à l¹¦uvre. Cela signifie-t-il que le monde (et en particulier l¹administration
Obama) ne doit pas s¹en inquiéter ? Non, bien entendu.

Le nouveau gouvernement à Washington doit retenir de cette expérience combien une simple information concernant l¹expansion d¹une colonie * même dans sa toute première phase * peut retenir l¹attention de l¹opinion internationale et a le potentiel de torpiller tout ce que cette administration pourrait tenter sur la question israélo-palestinienne et dans la région.

Si le président Barack Obama est sérieux et s¹il confirme qu¹il souhaite bien progresser vers une paix israélo-palestinienne et remettre les relations entre l¹Amérique et le monde arabo-musulman sur une meilleure voie, il ne peut pas permettre aux colonies de le prendre en otage.

Il existe littéralement des centaines de plans du type Giv¹at Eitam pour les colonies dans toute la Cisjordanie et à Jérusalem-Est sur le bureau des leaders des colons et des planificateurs du ministère israélien de la construction et du logement. A moins que les Etats-Unis fassent savoir clairement qu¹ils ont une tolérance zéro pour la construction dans les colonies * en arrêtant les petits jeux sur la « croissance naturelle » ou sur les « seules constructions à l¹intérieur de colonies existantes » - ils se retrouveront en train de perdre toute crédibilité et tout capital politique à se faire constamment matraquer par de tels plans. Et ils se retrouveront avec leur programme au Moyen-Orient menacé de mort pas très lente par les colonies.

On ne peut faire confiance à aucun gouvernement israélien pour qu¹il se conduise bien dès qu¹il s¹agit de colonisation, et même un gouvernement qui souhaiterait lutter contre les colonies a besoin de la pression des Etats-Unis pour pouvoir le faire. [A fortiori pour le pire des gouvernements de l'histoire d'Israël qui se dessine, ndt]

L¹expérience d'Efrat doit servir d¹avertissement à l¹administration Obama et lui rappeler que les Etats-Unis ne peuvent pas se permettre le luxe de prendre leur temps quand il s¹agit de concevoir * avec un réel investissement * une politique de tolérance zéro à l¹égard de l¹expansion des colonies. Dans le cas contraire, les colons et leurs partisans se sentiront encouragés à croire que « yes they can » poursuivre leurs efforts pour s¹assurer que la paix et la solution de deux Etats n¹aboutiront jamais.


Lara Friedman est membre de Americans for Peace Now. Hagit Ofran est coordinatrice de l¹Observatoire de la colonisation de Shalom Arshav (La Paix Maintenant - Israël)
 
Quinze cents Palestiniens chassés de Jérusalem ?
lundi 2 mars 2009 - 07h:16

DUMONT,SERGE

La municipalité a entamé la procédure qui doit déboucher sur l’expropriation de 88 immeubles

jeudi 26 février 2009

JÉRUSALEM

Cette fois nous ne nous laisserons pas faire. Nous constituons un front populaire et nous serons tenaces. Le Président du Conseil islamique de Jérusalem, le sheikh Al-Sabri a pris la tête d’une coalition d’organisations civiles palestiniennes mobilisées contre la destruction par Israël d’Al Bustan, un quartier arabe de la ville sainte situé à proximité de la mosquée Al Aksa.

Le 22 février, la municipalité de Jérusalem a en effet entamé la procédure censée déboucher sur l’expropriation de 88 des 100 immeubles situés dans ce quartier typique de la partie arabe de la ville. Au terme de ce processus, 1.500 Palestiniens seraient ainsi expulsés vers la Cisjordanie ou relogés dans le camp de réfugiés de Shouafat qui se trouve lui aussi de l’autre côté du mur de séparation. Coût de l’opération ? Trois cents millions de dollars.

Selon l’entourage du maire de Jérusalem Nir Barakat (indépendant de droite), l’expropriation d’Al Bustan se justifierait par le fait que la plupart des bâtiments du quartier auraient été construits sans permis. Or, Barakat et ses prédécesseurs ont pour politique de ne jamais accorder de permis de bâtir aux habitants des quartiers arabes de Jérusalem conquis en 1967. Donc, ceux qui construisent ou transforment un immeuble de Jérusalem-Est tombent d’office dans l’illégalité.

Le maire de Jérusalem et les autorités de l’Etat hébreu sont d’autant plus intéressés par Al Bustan que la zone jouxte la « cité de David », un site archéologique où seraient enfouis des vestiges du Temple, le lieu le plus sacré de la religion juive.

« D’autres quartiers suivront »

« Si nous les laissons faire, d’autres quartiers suivront rapidement », affirme Adnan Al Husseini, un ingénieur dépêché par l’Autorité palestinienne pour aider les futurs expulsés. « A Sheikh Jarash (une zone résidentielle où sont situés la plupart des consulats européens), une trentaine d’immeubles sont d’ores et déjà promis à la destruction. A l’instar d’Al Bustan, ils seront à terme remplacés par des résidences de luxe réservées à la population juive. »

Le projet de la mairie de Jérusalem existe depuis 2001. Après quatre ans de négociations, les comités de quartier et les autorités israéliennes ont créé en 2005 un comité chargé d’établir un nouveau plan pour la zone. Mais leur projet prévoyant l’établissement d’un parc adossé à de nouveaux immeubles vient d’être rejeté, ce qui autorise la municipalité à entamer le processus d’expropriation.

« Il s’agit d’un dossier politique et non d’une simple question de gestion urbaine, affirme l’ingénieur. Si nous échouons, nous risquons d’assister au plus grand “transfert” de population palestinienne depuis 1967. » Et d’ajouter : « L’AP jettera toutes ses forces dans la balance pour empêcher cela. Elle ne négociera pas avec Israël à ce propos et elle envisage de saisir le Conseil de sécurité en espérant que les Etats-Unis n’y opposeront pas leur veto. »

On va voir si ceux qui comdamnait le Hamas lèverons le doigt contre Israël..
 
israél à le droit inaliénable de se defendre contre les faux permis de construire

les musulmans ont le droit inalienable de combattre et chasser tous les sionistes
de palestine et de al koudz aussi contre les mensonges des sionistes pretendant
que ce serait leurs terres ancetrales........
donc voila tu vois c est facile d inverser les convictions.
 
Ils peuvent toujours faire comme Moise et sa clique,
deambuler pendant 40 ans dans le desert a la recherche de leur terre promise.


ah l ami tu vas loin quand meme de manquer de respect a moussa "aleyi salam"
critiquer et denoncer la supercherie sioniste je suis d accord mais manquer de
respect à ce grand prophete d ALLAH ,je suis totalement contre toi..
 
[Selon un rapport de l¹Observatoire de la colonisation de Shalom Arshav, Israël prévoirait le doublement du nombre de colons en Cisjordanie]

Ha¹aretz, 2 mars 2009

http://www.haaretz.com/hasen/spages/1068033.html

Shalom Arshav : Israël prévoit de doubler le nombre de colons en Cisjordanie

Traduction : Gérard pour La Paix Maintenant



D¹après un rapport publié aujourd¹hui (lundi) par le mouvement de gauche Shalom Arshav, le gouvernement projette de construire plus de 73 000 logements en Cisjordanie.

Shalom Arshav estime que si tous ces logements sont construits, cela signifierait que le nombre total de colons ferait plus que doubler et que certaines colonies, dont les deux plus grandes, Ariel et Ma¹aleh Adoumim, verraient leur taille doubler.

D¹après ce rapport, la construction de 15 000 logements est déjà autorisée.
58 000 autres sont en attente.. 5 722 logements planifiés concernent Jérusalem Est, environ 9 000 sont déjà construits

Shalom Arshav affirme qu¹avec le nouveau gouvernement de droite, il existe un réel danger que « l¹expansion des colonies croisse rapidement, avec l¹intention clairement affirmée de rendre impossible toute possibilité d¹une solution à deux Etats. »

Le futur premier ministre Benjamin Netanyahou, du parti de droite Likoud, a exprimé son opposition à cette solution. Il a aussi déclaré que, si un gouvernement Likoud ne construirait pas de colonies, il laisserait en revanche les colonies existantes croître de façon naturelle.

Or, le rapport de Shalom Arshav affirme que 17 000 logements sont planifiés dans le Goush Etzion, près de Bethléem, à construire en dehors de colonies existantes. .

Le rapport établit également que, parmi les logements prévus, 19 000 seraient construits au-delà du tracé de la clôture de séparation de Cisjordanie, y compris à Kiryat Arba et à Ariel.

Le ministère de la construction et du logement a réagi au rapport en disant que « Shalom Arshav faisait beaucoup de bruit pour pas grand-chose. » Selon le ministère, les plans ne donnent qu¹une idée générale de la construction dans les colonies et que les projets réels dépendraient des politiques de logement et de défense.

Le député Yaakov Katz (Union nationale, extrême droite) a accueilli avec satisfaction la nouvelle selon laquelle Israël allait intensifier la construction dans les colonies de Cisjordanie : « Nous allons faire tout ce qui est possible pour que les plans de Yariv (Oppenheimer, secrétaire général de Shalom Arshav) se réalisent. J¹espère qu¹avec l¹aide de Dieu, cela se produira dans les prochaines années et qu¹il n¹y aura plus ici qu¹un seul Etat. »

Le parti Union nationale défend le programme d¹une accélération de la construction dans les colonies dans le cadre d¹un accord de coalition avec Netanyahou, et Katz fait partie des candidats au poste de ministre de la construction et du logement.

Depuis longtemps, l¹expansion des colonies est une source de contentieux entre Israël et la communauté internationale, en particulier avec les Etats-Unis. L¹administration Obama compte faire lourdement pression sur Israël pour qu¹il gèle toute construction dans les colonies.
 
lundi 23 février 2009 - 06h:37

Al Jazeera

La municipalité israélienne de Jérusalem a remis à plus de 100 familles palestiniennes des notifications de la démolition de leurs maisons dans le quartier Silwan de la région Boustan de la ville occupée de Jérusalem, sous prétexte de construction sans permis. :D

La procédure d’expulsion, qui se présente comme la plus large depuis 1967 va causer le déplacement de plus de 1500 Palestiniens de Jérusalem, et le retrait de leur droit de résidence dans la ville.

Dans le même contexte, l’Organisation chrrétienne et islamique pour la protection des lieux saints de Jérusalem a accusé Tel Aviv de mener une « guerre » sur la ville de Jérusalem pour l’élimination des quartiers arabes et demande un soutien arabe et international pour sauver la ville sainte des tentatives de « judaïsation ». [...]

Le secrétaire général de l’organisation Hassan Khatir, a déclaré que les habitants du quartier « Hay Al Boustan » au sud de la mosquée d’Al Aqsa sont en grand danger et que leur expusion est devenue certaine.

Ce dernier a ajouté que les autorités d’occupation ont réussi à faire fuir des dizaines de milliers de chrétiens à cause des dures conditions de vie imposées aux Palestiniens en général ; dans la ville sainte seul 1% de la population est chrétienne après avoir atteint parfois plus de 5%.

Il a également déclaré : « Nous profiterons de la visite du pape prévue le 8 Mai prochain pour attirer son attention sur le complot sioniste qui vise à vider la terre sainte de toute présence chrétienne ».

tous ca c'est tres biens ,ca rend les musulmans plus unis est les prepare au grand jour nchalla8
 
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