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Eternal Sunshine
Israël s'inquiète de poursuites pour crimes de guerre
ats- Ehud Olmert a promis aux militaires qui ont participé à l'opération à Gaza qu'ils bénéficieraient de protection judiciaire en Israël et à l'étranger. Le premier ministre israélien s'inquiète des poursuites pour crimes de guerres.
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Il a demandé au ministre de la justice de consulter les principaux juristes du pays afin de trouver "les réponses aux questions éventuelles" concernant les activités contestées de l'armée israélienne à Gaza entre le 27 décembre et le 18 janvier.
La censure militaire a déjà pris les devants. Elle a interdit la publication de l'identité des chefs des unités engagées dans l'offensive dans la bande de Gaza de crainte qu'ils soient identifiés et poursuivis lors de déplacement à l'étranger.
La presse israélienne a rapporté que l'armée avait conseillé à ses officiers supérieurs d'y réfléchir à deux fois avant de se déplacer en Europe. La ministre des affaires étrangères Tzipi Livni a invité le pays à se préparer à réfuter d'éventuelles accusations de crimes de guerre.
La cheffe de la diplomatie s'est dite "en paix" avec l'opération menée pendant 22 jours et qui a fait 1300 morts, dont quelque 700 civils, parmi les Palestiniens.
Amnesty International a estimé que l'usage "illégal, sans discernement et répété" de munitions au phosphore blanc dans des zones densément peuplées de Gaza constituait un "crime de guerre".
Plusieurs responsable des Nations unies ont réclamé une enquête indépendante pour établir si l'Etat juif s'était rendu coupable de crimes de guerre, dont le bombardement d'écoles de l'UNRWA ou d'hôpitaux bondés de réfugiés civils.
ats- Ehud Olmert a promis aux militaires qui ont participé à l'opération à Gaza qu'ils bénéficieraient de protection judiciaire en Israël et à l'étranger. Le premier ministre israélien s'inquiète des poursuites pour crimes de guerres.
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Il a demandé au ministre de la justice de consulter les principaux juristes du pays afin de trouver "les réponses aux questions éventuelles" concernant les activités contestées de l'armée israélienne à Gaza entre le 27 décembre et le 18 janvier.
La censure militaire a déjà pris les devants. Elle a interdit la publication de l'identité des chefs des unités engagées dans l'offensive dans la bande de Gaza de crainte qu'ils soient identifiés et poursuivis lors de déplacement à l'étranger.
La presse israélienne a rapporté que l'armée avait conseillé à ses officiers supérieurs d'y réfléchir à deux fois avant de se déplacer en Europe. La ministre des affaires étrangères Tzipi Livni a invité le pays à se préparer à réfuter d'éventuelles accusations de crimes de guerre.
La cheffe de la diplomatie s'est dite "en paix" avec l'opération menée pendant 22 jours et qui a fait 1300 morts, dont quelque 700 civils, parmi les Palestiniens.
Amnesty International a estimé que l'usage "illégal, sans discernement et répété" de munitions au phosphore blanc dans des zones densément peuplées de Gaza constituait un "crime de guerre".
Plusieurs responsable des Nations unies ont réclamé une enquête indépendante pour établir si l'Etat juif s'était rendu coupable de crimes de guerre, dont le bombardement d'écoles de l'UNRWA ou d'hôpitaux bondés de réfugiés civils.