179 morts, 34 disparus, 1.500 blessés et plus de 50.000 sans-abri. C'est le dernier bilan, établi ce mardi matin par le centre de coordination des secours de L'Aquila, du séisme qui a secoué l'Italie centrale lundi. Depuis L'Aquila, la capitale des Abruzzes dévastée par le tremblement de terre, le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a assuré que «personne ne sera abandonné à son sort». Il a également annoncé qu'un village de tente pouvant abriter 16.000 à 20.000 personnes serait prêt dès hier soir
«Il faut s'attendre à de nombreuses victimes, beaucoup de blessés et beaucoup de maisons effondrées» a déclaré le chef de la protection civile, Guido Bertolaso, coordonnateur des secours, qui a estimé qu'il faudrait «beaucoup de temps» pour faire disparaître les traces de cette catastrophe.
Selon la protection civile, plus de 10.000 maisons et édifices ont été endommagés par la secousse d'une magnitude de 5,8 dont l'épicentre se situait à 5 km sous L'Aquila.
Le centre historique de cette ville de 60.000 habitants a particulièrement souffert. La nef d'une église s'est effondrée de même qu'une partie d'une résidence pour étudiants. Un hôpital de la ville a du être évacué par peur des répliques.
De très nombreux édifices portent les traces du séismes, a constaté un photographe de l'AFP à L'Aquila. Les accès sont de la ville sont difficiles et les secours encore peu nombreux, a-t-il constaté.
Les premières images des télévisions montrent des toits effondrés, des routes jonchées de pierre tombées de la montagne.
Peur des répliques
Des milliers d'habitants sont descendus dans les rues dans la nuit ou se sont rassemblés dans les stades de la région par peur des répliques.
La secousse a été ressentie dans tout le centre de l'Italie, de l'Adriatique à la mer Thyrénienne, et notamment dans la capitale où elle a réveillé de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
«Il faut s'attendre à de nombreuses victimes, beaucoup de blessés et beaucoup de maisons effondrées» a déclaré le chef de la protection civile, Guido Bertolaso, coordonnateur des secours, qui a estimé qu'il faudrait «beaucoup de temps» pour faire disparaître les traces de cette catastrophe.
Selon la protection civile, plus de 10.000 maisons et édifices ont été endommagés par la secousse d'une magnitude de 5,8 dont l'épicentre se situait à 5 km sous L'Aquila.
Le centre historique de cette ville de 60.000 habitants a particulièrement souffert. La nef d'une église s'est effondrée de même qu'une partie d'une résidence pour étudiants. Un hôpital de la ville a du être évacué par peur des répliques.
De très nombreux édifices portent les traces du séismes, a constaté un photographe de l'AFP à L'Aquila. Les accès sont de la ville sont difficiles et les secours encore peu nombreux, a-t-il constaté.
Les premières images des télévisions montrent des toits effondrés, des routes jonchées de pierre tombées de la montagne.
Peur des répliques
Des milliers d'habitants sont descendus dans les rues dans la nuit ou se sont rassemblés dans les stades de la région par peur des répliques.
La secousse a été ressentie dans tout le centre de l'Italie, de l'Adriatique à la mer Thyrénienne, et notamment dans la capitale où elle a réveillé de... lire la suite de l'article sur Libération.fr