Les animateurs et amuseurs publics de la célèbre place marrakchie observent depuis ce lundi 20 octobre une grève ouverte pour revendiquer, entre autres, la mise sur pied d'une commission chargée de faire la lumière sur la gestion des allocations offertes par l'Unesco aux associations de la place.
Dans un communiqué conjoint, les protestataires, l'association du spectacle populaire et du patrimoine populaire, l'association marocaine de l'art Gnaoui et l'association du Folklore des Aissawa à la place Jamaâ El Fna, brocardent l'attitude des responsables locaux qui font peu de cas de leur situation.
Ils protestent aussi contre le fait qu'ils n'exploitent que 5 % de la superficie de la place contre 95% pour les restaurateurs, les buralistes et les vendeurs de marchandises à même la terre (communément appelés Ferrachas).
Les protestataires menacent en outre de poursuivre sine die leur débrayage jusqu'à l'aboutissement de leurs revendications, appelant à la mise sur pied d'une commission chargée d'enquêter sur la manière selon laquelle les allocations de l'Unesco profitent seulement à certaines associations et non pas à l'ensemble du tissu associatif dédié à la promotion et à la préservation du patrimoine oral dans la mythique place de Jamâa El Fna.
Le cahier revendicatif des professionnels du spectacle en protestation constitué de huit revendications, insiste aussi sur la réimplantation de la plaque commémorative posée auparavant dans la place par l'Unesco'et aussi sur la destinée des allocations offertes par le conseil de la ville à l'issue de la tenue du premier forum des associations dans la cité ocre.
Selon les grévistes, les allocations de l'Unesco profitent seulement à certaines associations et non pas à l'ensemble du tissu associatif dédié à la promotion et à la préservation du patrimoine oral de la place.
Auteur : aufait
Dans un communiqué conjoint, les protestataires, l'association du spectacle populaire et du patrimoine populaire, l'association marocaine de l'art Gnaoui et l'association du Folklore des Aissawa à la place Jamaâ El Fna, brocardent l'attitude des responsables locaux qui font peu de cas de leur situation.
Ils protestent aussi contre le fait qu'ils n'exploitent que 5 % de la superficie de la place contre 95% pour les restaurateurs, les buralistes et les vendeurs de marchandises à même la terre (communément appelés Ferrachas).
Les protestataires menacent en outre de poursuivre sine die leur débrayage jusqu'à l'aboutissement de leurs revendications, appelant à la mise sur pied d'une commission chargée d'enquêter sur la manière selon laquelle les allocations de l'Unesco profitent seulement à certaines associations et non pas à l'ensemble du tissu associatif dédié à la promotion et à la préservation du patrimoine oral dans la mythique place de Jamâa El Fna.
Le cahier revendicatif des professionnels du spectacle en protestation constitué de huit revendications, insiste aussi sur la réimplantation de la plaque commémorative posée auparavant dans la place par l'Unesco'et aussi sur la destinée des allocations offertes par le conseil de la ville à l'issue de la tenue du premier forum des associations dans la cité ocre.
Selon les grévistes, les allocations de l'Unesco profitent seulement à certaines associations et non pas à l'ensemble du tissu associatif dédié à la promotion et à la préservation du patrimoine oral de la place.
Auteur : aufait