Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...
Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.
Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.
Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...
La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.
C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...
Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.
Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.
Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...
La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.
C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.