Je m'entends bien qu'avec les hommes

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Hinatata
  • Date de début Date de début
Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...

Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.

Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.

Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...

La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.

C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.
 
Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).

Je me suis arrêtée là 😆
Déjà si tu te mets des barrières cognitives effectivement tu n’arriveras jamais à t’entendre avec les femmes

C’est un peu comme les femmes
Qui disent : tous les mecs sont des kons
Bah elle en attirent que des kons ...

On vit ce que l’on manifeste en fait tout simplement !

Open your mind, open your heart :timide:
 
Je me suis arrêtée là 😆
Déjà si tu te mets des barrières cognitives effectivement tu n’arriveras jamais à t’entendre avec les femmes

C’est un peu comme les femmes
Qui disent : tous les mecs sont des kons
Bah elle en attirent que des kons ...

On vit ce que l’on manifeste en fait tout simplement !

Open your mind, open your heart :timide:
Merci d'avoir ouvert ton esprit et ton cœur jusqu'à là. C'est vrai, j'ai des blocages récurrents.
 
Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...

Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.

Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.

Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...

La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.

C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.
Qu’est ce que tu entends par un cursus normal à la mosquée ?
 
Merci d'avoir ouvert ton esprit et ton cœur jusqu'à là. C'est vrai, j'ai des blocages récurrents.
Bah déjà tu sais que ça vient de toi vu que tu parles de blocages et crois moi c’est pas tout le monde qui a la force et le courage de l’admettre ...
Y’a forcément des choses à régler à ce sujet ... c’est pas simple de revenir sur des choses qui nous ont fait du mal autrefois . On ne veut pas repenser a ça et on a tendance à mettre ça dans les « oubliettes »
Mais c’est un mal nécessaire que de remettre tout à plat , accepter et accueillir les émotions qui vont avec ... pour avancer et faire sauter les blocages justement

Incha Allah Kher 🤲🏼
 
Qu’est ce que tu entends par un cursus normal à la mosquée ?
Je suppose que la norme c'est avoir été instruit/e fi dîn depuis l'enfance et d'avoir des amis dans un milieu croyant, et donc qu'il y'a des "catégories" de personnes qui suivent des cursus à la mosquée comme dans toute institution.
Les jeunes encore en étude ou prêt à fonder leur famille, les adultes ayant déjà des enfants, les personnes âgées transmettant leur savoir.
Quels genre d'amis je peux espérer avoir dans ma situation ? Je me le demande sur le ton de l'humour.
Les seuls candidats à "l'amitié" que j'ai dans ma vie, sont des femmes qui sont aussi aigres et associables que moi, ou des hommes mariés.
C'est logique, et je m'en veut, de ne pas avoir su qui je devenait et donc qui j'attirerais, de ne pas avoir agit correctement dans ma vie, avant de devenir une petite grosse aigrie.
 
Coucou
Contrairement à toi je me sens mieux entourées de femmes, mais c'est pas toujours facile. Je me sens souvent en décalage
Des vraies amies j'en ai rencontré à ton âge, j'en ai peut- être 5 de vraies amies. J'ai pas d'amies d'enfance

Je suis sûre qu'on s'entendrait bien d'ailleurs si on se côtoyait

Tu te poses beaucoup de questions, laisse parler ton grand coeur, laisse faire la vie....le destin mettra sur ta route des personnes qui te feront te sentir bien Inch'Allah
 
Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...

Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.

Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.

Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...

La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.

C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.
Oui t’as bien raison
Ce sont toutes des vicieuses 😂
 
@Hinatata tu peux côtoyer toute sorte de personne même si elle ne sont pas parfaite d'ailleurs personne est parfait c'est a toi de te sociabiliser et être ouverte esprit accepte les gens qui ne sont pas a ton image tu peux les côtoyer même si il n'ont pas les mêmes centres intérêt que les tiens c'est un échange il suffit simplement de te fixer des limites tu peux être un guide pour eux une lumière simplement il faut être plus indulgent et accepte les gens avec leur différence il faut leur laisser la même marge de manœuvre erreur que les gens te laisse quand tu te trompe bon courage
 
Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...

Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.

Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.

Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...

La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.

C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.
Coucou miss,

Ça me fait drôle de te lire pcq je me retrouve dans beaucoup de tes questionnements. Je ressens de la tristesse, de la détresse, un manque de vitalité, l'impression d'être incomprise, seule, décalée par rapport au monde.

Dans mon cas, que ce soit à l'école, au travail, quand j'essayais de sociabiliser à la mosquée, ou avec des amies, au départ je me sentais enthousiaste, motivée, peu à peu j'étais déçue par telle ou telle attitude et ensuite ça devenait une hyperdéception et j'étais énormément agacée au point où il me devenait impossible de rester. Pareil pour certains propos où regards, ça pouvait me mettre dans des hyper colères.. Et je trouvais ça vite insupportable d'écouter un collègue ou autre parler de ses petits soucis... Bref tout me semblait absurde, violent, je vivais tout comme une agression. Petit à petit j'ai compris qu'il m'était très difficile de m'intégrer en société... J'ai besoin d'entendre des sujets passionnants, d'être avec des personnes ultra bienveillantes, ... sinon je m'ennuie, je déprime et je deviens à la limite de l'insolence.
Mais je dois reconnaître aussi que je suis très sensible, très douce, bienveillante, encourageante et idéaliste.. Maintenant j'ai appris qu'il fallait défendre son territoire surtout au travail ou si on est face à des personnes malveillantes et qu'il ne fallait pas abuser dans l'introspection et remise en question personnelles.
On a tous une zone d'ombre et de lumière en nous.
Je crois que les personnalités comme les nôtres: très sensibles, très empathiques sont effrayées par leur propre zone d'ombre là où d'autres ignorent ces pensées et où d'autres carrément n'éprouvent carrément aucun remord à la nourrir et à faire du mal.

Aujourd'hui j'ai appris à me pardonner et à me tolérer. Je fais ce que je peux avec les outils que j'ai eus. J'avance petit à petit en m'acceptant, j'essaie de faire de tout ça une force.

Je sais pas mais j'ai envie de te dire, sois douce et bienveillante avec toi-même. Dorlote-toi ;) 🩷
 
Coucou miss,

Ça me fait drôle de te lire pcq je me retrouve dans beaucoup de tes questionnements. Je ressens de la tristesse, de la détresse, un manque de vitalité, l'impression d'être incomprise, seule, décalée par rapport au monde.

Dans mon cas, que ce soit à l'école, au travail, quand j'essayais de sociabiliser à la mosquée, ou avec des amies, au départ je me sentais enthousiaste, motivée, peu à peu j'étais déçue par telle ou telle attitude et ensuite ça devenait une hyperdéception et j'étais énormément agacée au point où il me devenait impossible de rester. Pareil pour certains propos où regards, ça pouvait me mettre dans des hyper colères.. Et je trouvais ça vite insupportable d'écouter un collègue ou autre parler de ses petits soucis... Bref tout me semblait absurde, violent, je vivais tout comme une agression. Petit à petit j'ai compris qu'il m'était très difficile de m'intégrer en société... J'ai besoin d'entendre des sujets passionnants, d'être avec des personnes ultra bienveillantes, ... sinon je m'ennuie, je déprime et je deviens à la limite de l'insolence.
Voilà, après on ne contrôle plus notre pire mood, et on se déteste, on se remet en question, on comprends RÉELLEMENT le sens du repentir toi et moi, tandis que les autres peuvent être pires ou insouciant dans leur mauvaiseté, et on va encore faire des duas pour eux. Moi je fini par fuir, sans cesse, je n'ai fait que ça depuis mes 10 ans, je suis pas restée 2 ans vivre au même endroit. Sinon je devient violente dangereuse et j'aggrave mon obésité, je sais plus me gérer.
Mais je dois reconnaître aussi que je suis très sensible, très douce, bienveillante, encourageante et idéaliste.. Maintenant j'ai appris qu'il fallait défendre son territoire surtout au travail ou si on est face à des personnes malveillantes et qu'il ne fallait pas abuser dans l'introspection et remise en question personnelles.
On a tous une zone d'ombre et de lumière en nous.
Je crois que les personnalités comme les nôtres: très sensibles, très empathiques sont effrayées par leur propre zone d'ombre là où d'autres ignorent ces pensées et où d'autres carrément n'éprouvent carrément aucun remord à la nourrir et à faire du mal.

Aujourd'hui j'ai appris à me pardonner et à me tolérer. Je fais ce que je peux avec les outils que j'ai eus. J'avance petit à petit en m'acceptant, j'essaie de faire de tout ça une force.

Je sais pas mais j'ai envie de te dire, sois douce et bienveillante avec toi-même. Dorlote-toi ;) 🩷
T'inquiète je me dorlote tellement que je suis retournée dire bonjour au seuil des 100 kg.
Merci beaucoup, j'imagine que ça me donne de l'espoir de savoir que je suis pas la seule à me sentir sur mars tandis qu'on me dit que c'est moi qui ai l'air d'en venir...
Barakullahu fik
 
Voilà, après on ne contrôle plus notre pire mood, et on se déteste, on se remet en question, on comprends RÉELLEMENT le sens du repentir toi et moi, tandis que les autres peuvent être pires ou insouciant dans leur mauvaiseté, et on va encore faire des duas pour eux. Moi je fini par fuir, sans cesse, je n'ai fait que ça depuis mes 10 ans, je suis pas restée 2 ans vivre au même endroit. Sinon je devient violente dangereuse et j'aggrave mon obésité, je sais plus me gérer.

T'inquiète je me dorlote tellement que je suis retournée dire bonjour au seuil des 100 kg.
Merci beaucoup, j'imagine que ça me donne de l'espoir de savoir que je suis pas la seule à me sentir sur mars tandis qu'on me dit que c'est moi qui ai l'air d'en venir...
Barakullahu fik

Manger ses émotions je connais aussi mdr et c'est tout sauf se dorloter lol.

Amin amin ya Rabbi apaise-nous, pardonne-nous, guide-nous!

Je suis sûre que nous trouverons bientôt l'équilibre et la paix intérieure 🩷
 
Je suppose que la norme c'est avoir été instruit/e fi dîn depuis l'enfance et d'avoir des amis dans un milieu croyant, et donc qu'il y'a des "catégories" de personnes qui suivent des cursus à la mosquée comme dans toute institution.
Les jeunes encore en étude ou prêt à fonder leur famille, les adultes ayant déjà des enfants, les personnes âgées transmettant leur savoir.
Quels genre d'amis je peux espérer avoir dans ma situation ? Je me le demande sur le ton de l'humour.
Les seuls candidats à "l'amitié" que j'ai dans ma vie, sont des femmes qui sont aussi aigres et associables que moi, ou des hommes mariés.
C'est logique, et je m'en veut, de ne pas avoir su qui je devenait et donc qui j'attirerais, de ne pas avoir agit correctement dans ma vie, avant de devenir une petite grosse aigrie.
Déjà pour la partie instruction de la religion en France

C’est assez rare dans la tranche de ta génération :
La majorité sont comme toi ( voir pire )
Certains leur connaissance s’arrêtent à savoir faire le ramadan ou manger le halouf c’est un grave crime
Ça s’arrête là


Rares sont ceux ayant une véritable connaissance ( et ceux qui le sont font partie de l’élite : parent religieux, cheikh ou imam )

Tu n’as même pas meme 30ans tu as de quoi faire pour progresser

A la rentrée inscription à des cours dans une institut en présentiel
En plus y’a souvent des activités le week-end ( atelier séminaire colloque forum etc)

J’ai été dans plusieurs instituts et il y avait une mixité incroyable : dans une même classe tu avais ceux qui en ont 20 comme d’autres 55ans, ceux qui bossent d’autres chômage, certains qui avaient 2 femmes d’autres 0, des étudiants médecin comme des gens arrêtant l’école a 16ans

Mais à l’heure de la prière on est tous aligné
Tous égaux

Et la fraternité et puis ça nous sort du routine
 
Déjà pour la partie instruction de la religion en France

C’est assez rare dans la tranche de ta génération :
La majorité sont comme toi ( voir pire )
Certains leur connaissance s’arrêtent à savoir faire le ramadan ou manger le halouf c’est un grave crime
Ça s’arrête là


Rares sont ceux ayant une véritable connaissance ( et ceux qui le sont font partie de l’élite : parent religieux, cheikh ou imam )
Justement. C'est un fait sans vie sociale je deviens dingue, mais quand j'en ai une je m'attache trop m'inquiète trop, pour finir par régresser dans mes efforts quitte à garder des amis, c'est pour ça que je me retrouve sans certes par choix, en tout cas ce que je n'ai pas choisi c'est d'être dans cette catégorie. Et j'ai conscience que plus longtemps j'y fait rien, plus ça risque d'être ma faute..
Tu n’as même pas meme 30ans tu as de quoi faire pour progresser
A la rentrée inscription à des cours dans une institut en présentiel
En plus y’a souvent des activités le week-end ( atelier séminaire colloque forum etc)

J’ai été dans plusieurs instituts et il y avait une mixité incroyable : dans une même classe tu avais ceux qui en ont 20 comme d’autres 55ans, ceux qui bossent d’autres chômage, certains qui avaient 2 femmes d’autres 0, des étudiants médecin comme des gens arrêtant l’école a 16ans

Mais à l’heure de la prière on est tous aligné
Tous égaux

Et la fraternité et puis ça nous sort du routine
C'est très encourageant pour moi ton témoignage.. Finalement c'est bon à prendre..
Barakullahu fik je pense que j'avais besoin d'avoir un avis avéré pour me décider inchaAllah
 
Voilà, après on ne contrôle plus notre pire mood, et on se déteste, on se remet en question, on comprends RÉELLEMENT le sens du repentir toi et moi, tandis que les autres peuvent être pires ou insouciant dans leur mauvaiseté, et on va encore faire des duas pour eux. Moi je fini par fuir, sans cesse, je n'ai fait que ça depuis mes 10 ans, je suis pas restée 2 ans vivre au même endroit. Sinon je devient violente dangereuse et j'aggrave mon obésité, je sais plus me gérer.

T'inquiète je me dorlote tellement que je suis retournée dire bonjour au seuil des 100 kg.
Merci beaucoup, j'imagine que ça me donne de l'espoir de savoir que je suis pas la seule à me sentir sur mars tandis qu'on me dit que c'est moi qui ai l'air d'en venir...
Barakullahu fik
Salam...je le retrouve beaucoup en toi et @Nelya87 ...
Je trouve par contre que j'apprends avec le temps à mieux gérer...ça s'améliore.
J'essaie de ne pas être trop dure avec moi, de valoriser ce que je sais faire, de bosser sur mon estime de moi...mais aussi d'être moins dure avec les autres et plus compréhensive. J'attends trop des autres, je suis jugeante et dure aussi ( dans mes pensées), je suis trop extrême.
Mais par contre je me sens encore très souvent en décalage....j'en souffre encore
Je trouve beaucoup de gens superficiels, mais là aussi c'est un jugement. L'injustice aussi me révolte et me fait souffrir...ma trop grande empathie me fait encore du mal....mais ça va de mieux en mieux
J'ai fait un travail avec une psychologue et suis moins anxieuse
Je pense vraiment qu'on gagne en sagesse et on relativise mieux avec le temps....
 
Salam...je le retrouve beaucoup en toi et @Nelya87 ...
Je trouve par contre que j'apprends avec le temps à mieux gérer...ça s'améliore.
J'essaie de ne pas être trop dure avec moi, de valoriser ce que je sais faire, de bosser sur mon estime de moi...mais aussi d'être moins dure avec les autres et plus compréhensive. J'attends trop des autres, je suis jugeante et dure aussi ( dans mes pensées), je suis trop extrême.
Mais par contre je me sens encore très souvent en décalage....j'en souffre encore
Je trouve beaucoup de gens superficiels, mais là aussi c'est un jugement. L'injustice aussi me révolte et me fait souffrir...ma trop grande empathie me fait encore du mal....mais ça va de mieux en mieux
J'ai fait un travail avec une psychologue et suis moins anxieuse
Je pense vraiment qu'on gagne en sagesse et on relativise mieux avec le temps....

J'ai remarqué aussi que je me retrouvais pas mal en toi! Je partage tout ce que tu viens de dire lol. Ça me rassure de lire que ça s'arrange avec le temps. J'avais commencé une thérapie mais j'avais rapidement lâché inchallah je vais la reprendre pour arrêter de me cacher derrière tous ces jugements et cette intolérance. Je dois apprendre à me blinder inchallah.
 
Je veux dire, de manière générale, au boulot dans la vie de tout les jours...
Je ne le cherche pas particulièrement, au contraire j'essaie toujours de sympathiser avec les femmes, mais ça ne fait pas mouche puisque je n'arrive pas à cautionner leur attitude, qui est pourtant la norme (trop maquillées, trop manierées, trop médisantes selon moi).
Donc mes seules amies sont une que je connais depuis le collège, elle à mon âge et à mal tourné qu'Allah la guide, on est plus du tout sur la même planète, on s'appelle une fois par an... Et une femme qui à le double de mon âge, avec qui j'ai effectué un cdd en Bretagne il y'a 2 ans, et nous nous entendons à merveille,on s'écrit souvent...
Enfin souvent. Je fini toujours par prendre mes distances, parce que les sujets tournent vite à qui à fait quoi et comment elles/ils sont par rapport à toi/moi...

Je n'aime profondément pas être comme ça, et je sais que ce n'est pas la seule façon qui existe pour avoir confiance en soi.

Quand je rencontre des bonhommes au travail je peut rire et être moi même, bien que je ne le veuille pas et que je m'en culpabilise ça à toujours été comme ça, pas de prises de tête, dialogue fluide, si ça doit péter ça pète un coup et c'est passé, y'a pas besoin de mélodrames ou d'entrer dans les détails pour un respect mutuel et une considération normale.

Sauf qu'en plus de savoir que je dépasse les limites je n'y croit pas à l'amitié homme femme, donc, je fini seule. J'ai un panda en peluche, il connaît toute ma vie...

La seule option qu'il me reste c'est aller aux événements et cours de la mosquée qui en plus serait très bénéfique, mais j'ai peur de ne pas m'intégrer à 27 ans, avec des personnes qui ont été capable d'avoir un cursus normal...
En plus je n'arrive toujours pas à porter le voile.
Avec toutes mes belles intentions, je suis tout de même loin d'être accomplie, je rentre dans aucune catégorie de femme qui sort de chez soi en paix avec soi même, et je commence presque à regretter d'avoir toujours refusé qu'on me mette dans une case.
Je me dit, en fait, que c'est une réelle stabilité mentale de faire ce que veulent les autres pour notre bien.

C'est pas souvent que je me confie, j'en avait besoin... J'attends ni encouragements et encore moins des découragements. Juste voilà, oukhti, si tu sent que tu vas dans cette direction, demande à Allah de ne pas empreinter ce chemin. Quand on en vient à se sentir seule même auprès de ses proches, c'est éprouvant.

Bonjour :)

Oui ça arrive parfois qu'une femme s'entende mieux avec des mecs qu'avec d'autres femmes. Il peut arriver qu'entre femmes, il y ait de la rivalité, de l'envie, de la médisance, des trahisons... et certaines femmes en souffrent moins avec leurs amis mecs.

Les mecs représentent évidemment un risque aussi, pour d'autres raisons (pas besoin de vous faire un dessin). Mais pas tous les mecs.

Je dirais que tu es libre d'avoir les amis que tu veux, mais il serait dommage de te mettre des barrières envers certains groupes parce que tu as eu certaines mauvaises expériences dans le passé. En fin de compte, chacun est unique, et on peut trouver des amis de grande valeur dans beaucoup de groupes.

Bien sûr il faut pas non plus exagérer. C'est normal de se méfier de certains groupes, ceux qui se fondent sur la haine et le mépris d'autres personnes, l'extrême droite, les fanatiques, les racistes, les misogynes, etc.

Il faut pas non plus te sentir obligée d'être l'amie de qui que ce soit. L'amitié est pas un « devoir de justice » (ni l'amour, d'ailleurs). On peut être tenu de respecter une personne, mais pas d'être son amie.

Pour ce qui est de suivre une formation à la mosquée, je crois pas que ton âge soit un obstacle insurmontable. Je serais étonné qu'on te juge pour cela. On peut apprendre à tout âge. Pense aux convertis par exemple. :) En fin de compte, c'est ton choix. Si tu juges que ça peut t'apporter quelque chose. Sinon, il y a d'autres manières de t'intégrer. Par exemple être bénévole pour un organisme ou une cause, quelle qu'elle soit.
 
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