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Soleyman El Halaby fut un jeune combattant qui avec ses frères ont réussi à tuer le général kleber, un des chefs terroristes du nabo qui mis l’Égypte à feu et à sang et pillé une grande partie de ses richesses.
Soleyman après avoir réussi à faire tomber ce général fut capturer et au lieu d'etre mise à mort normalement, l'armée française lui brula les mains et l'empala pendant des heures avant qu'il ne quitte ce monde. Cette méthode ne fut utilisé tout au long de l'histoire que par ce qui a de plus barbare dans l'humanité.
Les terroristes de la RF furent subjugué par son courage et son noblesse, ils ont tout simplement jamais vu ça.
Témoignage :
(Ames sensibles s'abstenir c'est de la pure bestialité, la barbarie la plus atroce)
Le médecin français Dominique-Jean Larrey, rapporte en 18033 :
Soleyman El Halaby fut un jeune combattant qui avec ses frères ont réussi à tuer le général kleber, un des chefs terroristes du nabo qui mis l’Égypte à feu et à sang et pillé une grande partie de ses richesses.
Soleyman après avoir réussi à faire tomber ce général fut capturer et au lieu d'etre mise à mort normalement, l'armée française lui brula les mains et l'empala pendant des heures avant qu'il ne quitte ce monde. Cette méthode ne fut utilisé tout au long de l'histoire que par ce qui a de plus barbare dans l'humanité.
Les terroristes de la RF furent subjugué par son courage et son noblesse, ils ont tout simplement jamais vu ça.
Témoignage :
(Ames sensibles s'abstenir c'est de la pure bestialité, la barbarie la plus atroce)
Le médecin français Dominique-Jean Larrey, rapporte en 18033 :
« Le courage et le sang froid avec lequel Sulayman se laissa brûler la main droite et empaler étonnent l’homme sensible, et prouvent combien la ferme volonté de l’individu influe sur les sensations physiques. Il vécut environ quatre heures, au milieu des plus cruelles souffrances, sans faire entendre une seule plainte. La brûlure de la main s’était portée jusqu’aux os ; et le pal, après avoir dilacéré les viscères du bas-ventre, les nerfs et les vaisseaux, avait fracturé l’os sacrum, deux vertèbres lombaires, et s’était implanté dans le canal vertébral. Je me suis convaincu de ces faits par l’inspection que je fis, quelque temps après, de son cadavre, quoique déjà desséché : j’en ai déposé le squelette au muséum d’histoire naturelle. »
Soleyman el-Halaby — Wikipédia
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