Jean-Louis Borloo a reconnu mardi subir "des pressions" pour le dissuader de se présenter à l'élection présidentielle de 2012 et a appelé l'UMP au respect mutuel. Le président sortant Nicolas Sarkozy estime qu'une multiplication des candidatures de droite au premier tour de la présidentielle compromettrait ses chances d'accéder au second tour et s'efforce de convaincre son ancien ministre centriste de l'Écologie de ne pas se lancer. Prié de dire mardi sur Europe 1 s'il faisait l'objet de pressions, le président du Parti radical a répondu : "Oui, c'est vrai, bien sûr que c'est vrai."
Il a refusé d'identifier l'origine de ces pressions : "Peu importe. Des pressions, oui, il y en a, (...) ça n'a aucune importance, ce n'est pas très grave", a-t-il poursuivi. Avant d'ajouter : "Je respecte l'UMP, je respecte le président de la République, je demande simplement un respect équivalent." "C'est le principe d'Archimède : plus il y a de pression dans un sens, plus la force contraire est élevée", a-t-il lancé.
Jean-Louis Borloo a réaffirmé qu'il se prononcerait sur une éventuelle candidature "en septembre-octobre". "Je suis un être libre, complètement libre, et respectueux des autres", a-t-il souligné
AFP
Il a refusé d'identifier l'origine de ces pressions : "Peu importe. Des pressions, oui, il y en a, (...) ça n'a aucune importance, ce n'est pas très grave", a-t-il poursuivi. Avant d'ajouter : "Je respecte l'UMP, je respecte le président de la République, je demande simplement un respect équivalent." "C'est le principe d'Archimède : plus il y a de pression dans un sens, plus la force contraire est élevée", a-t-il lancé.
Jean-Louis Borloo a réaffirmé qu'il se prononcerait sur une éventuelle candidature "en septembre-octobre". "Je suis un être libre, complètement libre, et respectueux des autres", a-t-il souligné
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