hello,
hier c'était la journée mondiale de la procrastination et je suis sur que 99.9 % des marocains sont de trés bons procrastinateurs
PS : evidemment j'aurai du poste cela hier mais en bon procrastinateur je ne le fais qu'aujourd'hui
Juste
Un éditeur lance ce jeudi la première journée de la procrastination. Le principe : remettre à demain ce que l'on peut faire aujourd'hui.
Une journée en mode farniente. Une parenthèse pour résister, sans mauvaise conscience, aux contraintes du quotidien. Et si, ce jeudi, nous répondions à l'appel du 25 mars, lancé par David d'Equainville, fondateur d'Anabet, une maison d'édition parisienne qui nous invite à remettre à demain ce que nous avons à faire aujourd'hui ? Motif ? Participer à la première journée mondiale de la procrastination. Autrement dit à l'art de prendre le temps de la réflexion Les factures à payer ? Oubliées. La rencontre-corvée avec le prof de maths du petit dernier qui a des résultats calamiteux ? Renvoyée aux calendes grecques. Le rendez-vous chez le dentiste ? Décalé. David d'Equainville publie *Demain, c'est bien aussi, un ouvrage dédié aux retardataires chroniques rédigé par deux auteurs allemands, Ceintures noires en procrastination. Selon eux, pas moins de 20% à 30% de la population serait atteinte de cette pathologie. Pis, ce penchant quasi maniaque pour la distraction permanente touche dans les mêmes proportions les femmes et les hommes, les célibataires et les personnes mariées, les Britanniques et les Péruviens, les Français et les Australiens. Les étudiants semblent les plus enclins au phénomène dont les causes attisent la curiosité des chercheurs du monde entier : pas moins de 700 publications scientifiques ont été consacrées au sujet. Preuve au moins qu'eux ne procrastinent pas trop !
hier c'était la journée mondiale de la procrastination et je suis sur que 99.9 % des marocains sont de trés bons procrastinateurs
PS : evidemment j'aurai du poste cela hier mais en bon procrastinateur je ne le fais qu'aujourd'hui
Juste
Un éditeur lance ce jeudi la première journée de la procrastination. Le principe : remettre à demain ce que l'on peut faire aujourd'hui.
Une journée en mode farniente. Une parenthèse pour résister, sans mauvaise conscience, aux contraintes du quotidien. Et si, ce jeudi, nous répondions à l'appel du 25 mars, lancé par David d'Equainville, fondateur d'Anabet, une maison d'édition parisienne qui nous invite à remettre à demain ce que nous avons à faire aujourd'hui ? Motif ? Participer à la première journée mondiale de la procrastination. Autrement dit à l'art de prendre le temps de la réflexion Les factures à payer ? Oubliées. La rencontre-corvée avec le prof de maths du petit dernier qui a des résultats calamiteux ? Renvoyée aux calendes grecques. Le rendez-vous chez le dentiste ? Décalé. David d'Equainville publie *Demain, c'est bien aussi, un ouvrage dédié aux retardataires chroniques rédigé par deux auteurs allemands, Ceintures noires en procrastination. Selon eux, pas moins de 20% à 30% de la population serait atteinte de cette pathologie. Pis, ce penchant quasi maniaque pour la distraction permanente touche dans les mêmes proportions les femmes et les hommes, les célibataires et les personnes mariées, les Britanniques et les Péruviens, les Français et les Australiens. Les étudiants semblent les plus enclins au phénomène dont les causes attisent la curiosité des chercheurs du monde entier : pas moins de 700 publications scientifiques ont été consacrées au sujet. Preuve au moins qu'eux ne procrastinent pas trop !