Juste envie de libérer mes pensées

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion fleurisse
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Destiné à l'être humain d'être l'ilote de son cœur et destinée à mon cœur d'être ton ilote, autant je fus aimantée par le charme de cet ilotisme ne fut-ce que pour fuir les lois qu'on m'impose, les pièges sournois d'un destin qu'on m’inflige à assumer mais pardessus tout pour voir au plus profond de tes yeux, le reflet de toute une vie à l'envers et le sourire d’un enfant qui ne cesse de devenir jour après jour, plus fort que ta propre faiblesse.

je me suis tant rebellée , non point devant les taches les plus dures mais devant la petitesse de notre raison, la bassesse de l'esprit humain et la faiblesse du rêve devant l'obsession , j' avoue que j’ai souvent vu l’espoir, je l’ai vu dans les yeux des gens et partout autour d’eux mais j’avoue aussi que jamais personne n’a vu l’espoir dans mes yeux car j’avais toujours peur d'échouer alors j' ai demandé son aide à ce grand créateur qui a fait de moi ce que j’ai été me donnant toujours le choix d’être une autre. je me suis toujours dite que les meilleurs choses arrivaient quand on s’y attendait le moins alors j’ai rencontré l’espoir dans ma vie, il n’était pas en couleur, il n’était pas aussi grand ni aussi fort qu' à ce que je m’attendais, je crois même qu' il ne m’était pas destiné, il était juste de passage quand il m’avait croisé , il n'avait pas le temps pour me faire comprendre que je devais tenter ma chance " qui sait !"Mais avant qu'il s'envole il a pris le temps de me faire souffrir davantage comme un petit enfant dont la souffrance grandit avec, se transforme en des douleurs incessantes qui se répandent dans tout son corps lui font mal, et lui donnent envie de fuir sa peau.
Tellement féroces furent mes désirs, tellement tendre fut une partie de toi et tellement insolent fut le destin à l'égard de mon cœur, ce même destin que je me suis décidée à changer.

Et maintenant je te demande Oh! Rêve lointain, Oh! Rêve de toute une existence de me libérer de ton attente, je ne peux plus te porter au fond de moi je te sens lourd, amer , et tu n’as plus de sens, je t'entends pleurer au fond de moi , crier en silence et puis t'éclater en des sanglots puériles que je ne peux dissimuler mais au lieu de crier je me tais , je te vois , je vois tes vices et tes candeurs , je vois de même cet abime qui se creuse entre nous et le vide qu' il faut endurer alors que tu n’es plus là, je vois une porte infranchissable mais pourtant unique dans un chemin ou semble s' épargner toute faculté d’une fin heureuse, je vois cette vielles douleur qui enveloppe de par l'espoir tous mes rêves d'enfance, les beaux souvenirs, et les traits des gens que j’ai aimé.

Tu es si petit si fragile si faible, ta faiblesse n’est point mienne, il me semble souvent qu' elle est celle du monde entier résumée en toi c'est pourquoi je te demande de partir ,je ne veux plus voler mon propre droit à l’erreur , mendier celui aux rêves, vivre mon bonheur en cachette ,et choyer ceux qui m'intimident ,je ne veux plus toucher que des rêves éphémères et me contenter de les regarder partir comme le film de ma vie qui ne cesse de se répéter pourtant et toujours de la même manière , certes je suis l' héroïne mais je dois jouer le rôle qu'on me donne sans pouvoir décider de mon propre sort ,ce même destin qui m’oblige à pleurer quand la fin s' approche et que rien ne change.
J’aurais voulu continuer à croire qu'un jour ou le ciel serait comme tous le jour, que je ne serais plus la même j'aurais tant aimé continuer à semer en toi ma soif à la liberté, à la féminité et à la différence…
 
Destiné à l'être humain d'être l'ilote de son cœur et destinée à mon cœur d'être ton ilote, autant je fus aimantée par le charme de cet ilotisme ne fut-ce que pour fuir les lois qu'on m'impose, les pièges sournois d'un destin qu'on m’inflige à assumer mais pardessus tout pour voir au plus profond de tes yeux, le reflet de toute une vie à l'envers et le sourire d’un enfant qui ne cesse de devenir jour après jour, plus fort que ta propre faiblesse.

je me suis tant rebellée , non point devant les taches les plus dures mais devant la petitesse de notre raison, la bassesse de l'esprit humain et la faiblesse du rêve devant l'obsession , j' avoue que j’ai souvent vu l’espoir, je l’ai vu dans les yeux des gens et partout autour d’eux mais j’avoue aussi que jamais personne n’a vu l’espoir dans mes yeux car j’avais toujours peur d'échouer alors j' ai demandé son aide à ce grand créateur qui a fait de moi ce que j’ai été me donnant toujours le choix d’être une autre. je me suis toujours dite que les meilleurs choses arrivaient quand on s’y attendait le moins alors j’ai rencontré l’espoir dans ma vie, il n’était pas en couleur, il n’était pas aussi grand ni aussi fort qu' à ce que je m’attendais, je crois même qu' il ne m’était pas destiné, il était juste de passage quand il m’avait croisé , il n'avait pas le temps pour me faire comprendre que je devais tenter ma chance " qui sait !"Mais avant qu'il s'envole il a pris le temps de me faire souffrir davantage comme un petit enfant dont la souffrance grandit avec, se transforme en des douleurs incessantes qui se répandent dans tout son corps lui font mal, et lui donnent envie de fuir sa peau.
Tellement féroces furent mes désirs, tellement tendre fut une partie de toi et tellement insolent fut le destin à l'égard de mon cœur, ce même destin que je me suis décidée à changer.

Et maintenant je te demande Oh! Rêve lointain, Oh! Rêve de toute une existence de me libérer de ton attente, je ne peux plus te porter au fond de moi je te sens lourd, amer , et tu n’as plus de sens, je t'entends pleurer au fond de moi , crier en silence et puis t'éclater en des sanglots puériles que je ne peux dissimuler mais au lieu de crier je me tais , je te vois , je vois tes vices et tes candeurs , je vois de même cet abime qui se creuse entre nous et le vide qu' il faut endurer alors que tu n’es plus là, je vois une porte infranchissable mais pourtant unique dans un chemin ou semble s' épargner toute faculté d’une fin heureuse, je vois cette vielles douleur qui enveloppe de par l'espoir tous mes rêves d'enfance, les beaux souvenirs, et les traits des gens que j’ai aimé.

Tu es si petit si fragile si faible, ta faiblesse n’est point mienne, il me semble souvent qu' elle est celle du monde entier résumée en toi c'est pourquoi je te demande de partir ,je ne veux plus voler mon propre droit à l’erreur , mendier celui aux rêves, vivre mon bonheur en cachette ,et choyer ceux qui m'intimident ,je ne veux plus toucher que des rêves éphémères et me contenter de les regarder partir comme le film de ma vie qui ne cesse de se répéter pourtant et toujours de la même manière , certes je suis l' héroïne mais je dois jouer le rôle qu'on me donne sans pouvoir décider de mon propre sort ,ce même destin qui m’oblige à pleurer quand la fin s' approche et que rien ne change.
J’aurais voulu continuer à croire qu'un jour ou le ciel serait comme tous le jour, que je ne serais plus la même j'aurais tant aimé continuer à semer en toi ma soif à la liberté, à la féminité et à la différence…
Rien que le premier paragraphe qui n'est qu'une seule phrase au final m'a embrouillé le cerveau.
Je confirme, tes pensées avaient vraiment besoin d'être libérées!!!! :bizarre::D
 
Celui qui a fait bobo a mon coeur il est entré ciel et TERRE. Et seul Dieu sait.
J'ai pas tout lu dans le texte de la posteuse...
Mais ça parle toujours d'amour qui failli ....failli à sa parole failli ....être heureux...failli exister failli tout court mais plutôt un amour " Fallecido"....


Même dans Fallir y'a il est là
 
Destiné à l'être humain d'être l'ilote de son cœur et destinée à mon cœur d'être ton ilote, autant je fus aimantée par le charme de cet ilotisme ne fut-ce que pour fuir les lois qu'on m'impose, les pièges sournois d'un destin qu'on m’inflige à assumer mais pardessus tout pour voir au plus profond de tes yeux, le reflet de toute une vie à l'envers et le sourire d’un enfant qui ne cesse de devenir jour après jour, plus fort que ta propre faiblesse.

je me suis tant rebellée , non point devant les taches les plus dures mais devant la petitesse de notre raison, la bassesse de l'esprit humain et la faiblesse du rêve devant l'obsession , j' avoue que j’ai souvent vu l’espoir, je l’ai vu dans les yeux des gens et partout autour d’eux mais j’avoue aussi que jamais personne n’a vu l’espoir dans mes yeux car j’avais toujours peur d'échouer alors j' ai demandé son aide à ce grand créateur qui a fait de moi ce que j’ai été me donnant toujours le choix d’être une autre. je me suis toujours dite que les meilleurs choses arrivaient quand on s’y attendait le moins alors j’ai rencontré l’espoir dans ma vie, il n’était pas en couleur, il n’était pas aussi grand ni aussi fort qu' à ce que je m’attendais, je crois même qu' il ne m’était pas destiné, il était juste de passage quand il m’avait croisé , il n'avait pas le temps pour me faire comprendre que je devais tenter ma chance " qui sait !"Mais avant qu'il s'envole il a pris le temps de me faire souffrir davantage comme un petit enfant dont la souffrance grandit avec, se transforme en des douleurs incessantes qui se répandent dans tout son corps lui font mal, et lui donnent envie de fuir sa peau.
Tellement féroces furent mes désirs, tellement tendre fut une partie de toi et tellement insolent fut le destin à l'égard de mon cœur, ce même destin que je me suis décidée à changer.

Et maintenant je te demande Oh! Rêve lointain, Oh! Rêve de toute une existence de me libérer de ton attente, je ne peux plus te porter au fond de moi je te sens lourd, amer , et tu n’as plus de sens, je t'entends pleurer au fond de moi , crier en silence et puis t'éclater en des sanglots puériles que je ne peux dissimuler mais au lieu de crier je me tais , je te vois , je vois tes vices et tes candeurs , je vois de même cet abime qui se creuse entre nous et le vide qu' il faut endurer alors que tu n’es plus là, je vois une porte infranchissable mais pourtant unique dans un chemin ou semble s' épargner toute faculté d’une fin heureuse, je vois cette vielles douleur qui enveloppe de par l'espoir tous mes rêves d'enfance, les beaux souvenirs, et les traits des gens que j’ai aimé.

Tu es si petit si fragile si faible, ta faiblesse n’est point mienne, il me semble souvent qu' elle est celle du monde entier résumée en toi c'est pourquoi je te demande de partir ,je ne veux plus voler mon propre droit à l’erreur , mendier celui aux rêves, vivre mon bonheur en cachette ,et choyer ceux qui m'intimident ,je ne veux plus toucher que des rêves éphémères et me contenter de les regarder partir comme le film de ma vie qui ne cesse de se répéter pourtant et toujours de la même manière , certes je suis l' héroïne mais je dois jouer le rôle qu'on me donne sans pouvoir décider de mon propre sort ,ce même destin qui m’oblige à pleurer quand la fin s' approche et que rien ne change.
J’aurais voulu continuer à croire qu'un jour ou le ciel serait comme tous le jour, que je ne serais plus la même j'aurais tant aimé continuer à semer en toi ma soif à la liberté, à la féminité et à la différence…
c'est juste magnifique! j'ai trop aimé ce que t'as écrit :mignon:
 
Dounne moua la tilicommaned ch'ta dis, si moua qui coumaned
Elle ma dit, chti dounne pas, ci ma tilicoumanede, ma tili et ci chi moua ici
Ji soui alour parrti, pascou il ma rabissi diva to lmonde, la tili et la tilicoumaned
 
Destiné à l'être humain d'être l'ilote de son cœur et destinée à mon cœur d'être ton ilote, autant je fus aimantée par le charme de cet ilotisme ne fut-ce que pour fuir les lois qu'on m'impose, les pièges sournois d'un destin qu'on m’inflige à assumer mais pardessus tout pour voir au plus profond de tes yeux, le reflet de toute une vie à l'envers et le sourire d’un enfant qui ne cesse de devenir jour après jour, plus fort que ta propre faiblesse.

je me suis tant rebellée , non point devant les taches les plus dures mais devant la petitesse de notre raison, la bassesse de l'esprit humain et la faiblesse du rêve devant l'obsession , j' avoue que j’ai souvent vu l’espoir, je l’ai vu dans les yeux des gens et partout autour d’eux mais j’avoue aussi que jamais personne n’a vu l’espoir dans mes yeux car j’avais toujours peur d'échouer alors j' ai demandé son aide à ce grand créateur qui a fait de moi ce que j’ai été me donnant toujours le choix d’être une autre. je me suis toujours dite que les meilleurs choses arrivaient quand on s’y attendait le moins alors j’ai rencontré l’espoir dans ma vie, il n’était pas en couleur, il n’était pas aussi grand ni aussi fort qu' à ce que je m’attendais, je crois même qu' il ne m’était pas destiné, il était juste de passage quand il m’avait croisé , il n'avait pas le temps pour me faire comprendre que je devais tenter ma chance " qui sait !"Mais avant qu'il s'envole il a pris le temps de me faire souffrir davantage comme un petit enfant dont la souffrance grandit avec, se transforme en des douleurs incessantes qui se répandent dans tout son corps lui font mal, et lui donnent envie de fuir sa peau.
Tellement féroces furent mes désirs, tellement tendre fut une partie de toi et tellement insolent fut le destin à l'égard de mon cœur, ce même destin que je me suis décidée à changer.

Et maintenant je te demande Oh! Rêve lointain, Oh! Rêve de toute une existence de me libérer de ton attente, je ne peux plus te porter au fond de moi je te sens lourd, amer , et tu n’as plus de sens, je t'entends pleurer au fond de moi , crier en silence et puis t'éclater en des sanglots puériles que je ne peux dissimuler mais au lieu de crier je me tais , je te vois , je vois tes vices et tes candeurs , je vois de même cet abime qui se creuse entre nous et le vide qu' il faut endurer alors que tu n’es plus là, je vois une porte infranchissable mais pourtant unique dans un chemin ou semble s' épargner toute faculté d’une fin heureuse, je vois cette vielles douleur qui enveloppe de par l'espoir tous mes rêves d'enfance, les beaux souvenirs, et les traits des gens que j’ai aimé.

Tu es si petit si fragile si faible, ta faiblesse n’est point mienne, il me semble souvent qu' elle est celle du monde entier résumée en toi c'est pourquoi je te demande de partir ,je ne veux plus voler mon propre droit à l’erreur , mendier celui aux rêves, vivre mon bonheur en cachette ,et choyer ceux qui m'intimident ,je ne veux plus toucher que des rêves éphémères et me contenter de les regarder partir comme le film de ma vie qui ne cesse de se répéter pourtant et toujours de la même manière , certes je suis l' héroïne mais je dois jouer le rôle qu'on me donne sans pouvoir décider de mon propre sort ,ce même destin qui m’oblige à pleurer quand la fin s' approche et que rien ne change.
J’aurais voulu continuer à croire qu'un jour ou le ciel serait comme tous le jour, que je ne serais plus la même j'aurais tant aimé continuer à semer en toi ma soif à la liberté, à la féminité et à la différence…
Je me sents leger merci mon dieu
 
mi si coume ça la vie, ti pas plourri pourr ça pour un bounhoume..
il parrti ili parrti, citou..si ti plourri avant il est parti c biane, mais apris ci trou tarrd.
i fo ti couragi, ci ba la peine ti plourri j'ta dis.
Y ana boco coume toua, mi faut pas ti gardi gros sour la pattate, ti vou toumbi malade ou quoua
Moua aussi jlana boucou di chose adirr
Destinii a lou bounhoume.
si ti vou lamourr tojor, ti di jami jami a la madame ci moua qui coumaned!
Pascou li fiminéste là, i li coumouneste et to ça, illa mounti la tite mo vioux, la tili to ça..ci fini
timagine Ji soui reviane, Et maintenant j'ti dimannde Oh!
On fi la pi ?
Ti m'ouvrr la pourrte ..
Ila di non..jy souis libre!
Oh! Ti crois ta pourrte ili infranchissable..saloupri!
Alourr témagine ja crrié sous lbalcoune, coume roumio i la dit a jouliyite, ti voua ?
biski ci coume ça, iba ti mi dounne moun berrad, ci moua jla na achti o biss di clignancorr ya trrant'a, yana vi pas l'euro, jla piyé trrante frra.
Timagène il ma di, parr la founitrre tianne attrrape tone berrad di biss..
heurousema jla trappi di dounc!
aprri boom, témagine l ma frappi, elle di noblie pas li virre, i matna digage!
Ci pa poussible, yana plus li rispict!
Il iti si poutit si frragile si fible, ti la cassi to li verre. digoulass ba.
Mourralité, si ti marié un jor, alourr achite di verre dou blastic si ti vou pas la madame ili cassi ta tite et si tana larrgeane, si to trravaille un jor, oune ci jami, ça pou arrivi un jor tana marre didourmir hein..
awya achite la tili avic la tlicoumaned!
 
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