Deux journalistes de Voici ont rencontré la chanteuse pour parler de son accident.
Les rumeurs les plus folles ont rapidement circulé après laccident de Kenza Farah : coma, décès dissimulé et même lidée que laccident na jamais eu lieu, mais quil a été annoncé dans le but de booster la sortie de son album prévu le 17 novembre prochain.
Voici.fr a voulu en avoir le coeur net en le demandant à lintéressée sans prendre de pincettes. Et sest invité à la maison de disque de la chanteuse.
Kenza Farah a accepté de répondre à toutes nos interrogations. Son manager, omniprésent, avait une drôle de manie : celle de lui dicter ses réponses. Voici donc les explications de la chanteuse, avancées dans une ambiance pas toujours détendue.
- A propos de labsence de témoins : le manager déclare avoir vu la voiture arriver à 90 km/h (vive allure !) et percuter de plein fouet Kenza Farah. Quand nous réalisons un croquis et lui demandons de faire une croix pour situer sa position sur le lieu, il nous répond « Je ne sais pas ».
- Pourquoi aucune plainte na été déposée ? Le manager de lartiste est pourtant formel : « je ne suis pas laffaire, mais les commissaires et les lieutenants de Suresnes sen occupent ». Après quelques vérifications il semble nexister aucune plainte déposée dans ce commissariat.
- Un hôpital mystère : Lorsque nous demandons à Kenza Farah dans quel hôpital parisien elle a séjourné, son manager prend la parole et répond fermement : « On préfère ne pas répondre, cest secret. » ( Pourquoi garder cette information secrète si Kenza ny est plus ?)
- Absence totale de blessures apparentes : 15 jours après laccident la chanteuse ( qui était bras nus le jour de linterview) na ni hématome ni marque dimpact visible avec une voiture lancée à plus de 90 km/h ! Un miracle ? La chanteuse assure que sa cuisse gauche et son ventre ont été touchés. Nous ne lui avons pas demandé de se déshabiller.
Alors manipulation pour faire la promo de son album ou amnésie partielle dû à un éventuel choc ? Faites vous votre avis en lisant linterview de Kenza Farah dans le numéro 1096 de Voici en kiosque
Les rumeurs les plus folles ont rapidement circulé après laccident de Kenza Farah : coma, décès dissimulé et même lidée que laccident na jamais eu lieu, mais quil a été annoncé dans le but de booster la sortie de son album prévu le 17 novembre prochain.
Voici.fr a voulu en avoir le coeur net en le demandant à lintéressée sans prendre de pincettes. Et sest invité à la maison de disque de la chanteuse.
Kenza Farah a accepté de répondre à toutes nos interrogations. Son manager, omniprésent, avait une drôle de manie : celle de lui dicter ses réponses. Voici donc les explications de la chanteuse, avancées dans une ambiance pas toujours détendue.
- A propos de labsence de témoins : le manager déclare avoir vu la voiture arriver à 90 km/h (vive allure !) et percuter de plein fouet Kenza Farah. Quand nous réalisons un croquis et lui demandons de faire une croix pour situer sa position sur le lieu, il nous répond « Je ne sais pas ».
- Pourquoi aucune plainte na été déposée ? Le manager de lartiste est pourtant formel : « je ne suis pas laffaire, mais les commissaires et les lieutenants de Suresnes sen occupent ». Après quelques vérifications il semble nexister aucune plainte déposée dans ce commissariat.
- Un hôpital mystère : Lorsque nous demandons à Kenza Farah dans quel hôpital parisien elle a séjourné, son manager prend la parole et répond fermement : « On préfère ne pas répondre, cest secret. » ( Pourquoi garder cette information secrète si Kenza ny est plus ?)
- Absence totale de blessures apparentes : 15 jours après laccident la chanteuse ( qui était bras nus le jour de linterview) na ni hématome ni marque dimpact visible avec une voiture lancée à plus de 90 km/h ! Un miracle ? La chanteuse assure que sa cuisse gauche et son ventre ont été touchés. Nous ne lui avons pas demandé de se déshabiller.
Alors manipulation pour faire la promo de son album ou amnésie partielle dû à un éventuel choc ? Faites vous votre avis en lisant linterview de Kenza Farah dans le numéro 1096 de Voici en kiosque