Khwaja ghulam farid (1845-1901) - tariqa naqshbandi

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اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Khawaja Ghulam Farid , le plus grand poète spirituel de la langue Siraiki, est né en 1845 à Kot Mithan, dans une famille de colons arabes venus dans ce pays avec les forces arabes.

Maulana Khuda Bux a eu deux fils, Khawaja Farid-ud-Din et Khawaja Fakhar-ud-Din.
Il est dit que lorsque Khawaja Ghulam Farid était un enfant, Maulana Muhammad lui a donné la première leçon du premier alphabet " ALIF " et lui a demandé de dire "ALIF".
Il a répété la même encore et encore jusqu'à ce que tout le monde là était enveloppé par une transe. Certains chanteurs de qawali ont été invités et eux aussi ont récité le même mot sur leurs instruments de musique..

La mère de Khawaja Farid est morte alors qu'il n'avait que quatre ans. Il a été pris en charge par son frère Eider. À l'âge de huit ans, il avait mémorisé tout le saint Coran. Par la suite, Nawab Sadiq Muhammad Khan a emmené l'enfant à son palais à Ahmad Pur Sharqia pour lui avoir transmis les connaissances religieuses d'un érudit de renom.
À l'âge de treize ans, Khawaja Farid devint le disciple de Khawaja Fakhar-ud-Din, son frère aîné. Quand il a traversé 28 ans de son âge Khawaja Fakhar-ud-Din est mort. Il est parti pour Ruhi où il est resté environ dix-huit ans.
C'était un désert typique mais adapté à un saint reclus. C'était très bénéfique pour la connexion avec Kot Mithan ou Chachar. A propos de ce désert de Ruhi, nous lisons souvent dans ses paroles. He performed Haj Baitullah in 1876. Il a joué Haj Baitullah en 1876.

Khawaja Farid connaissait sept langues: Viz, Arabe, Persan, Ourdou, Multani, Sindhi, Hindi et Sansakrat. Il menait une vie de pureté et était entièrement dévoué au droit chemin du Saint Prophète (PSL) de l'Islam. Que son âme repose en paix.

Les paroles de Khawaja Farid parlent de la tristesse de sa séparation de Dieu et Muhammad, le bien-aimé d'Allah. Il ne s'est jamais compté loin de son but. Mais parfois il sentait une grande séparation et ainsi il pleurait, gémissait et chantait dans son extase de l'amour qui l'unissait à son créateur mais avec un voile entre eux. Le corps agit comme un esclave très obéissant, le corps doit donner la vie au corps et l'esprit infuse le pouvoir mécanique dans l'homme. Toutes ces facultés il a utilisé seulement pour l'amour d'Allah pour l'approcher, le seul but pour que l'homme atteigne.

L'aspiration spirituelle, la purification et l'élévation dépendent de tant de facteurs qui ont été expliqués par les saints et les spiritualistes. Le plus court chemin vers le créateur est l'Amour et Khawaja a utilisé cette Méthode pour atteindre la sublimation. Tous les attributs d'Allah, nous le savons, sont les rejetons de l'Amour. Khawaja Farid a exprimé cet amour dans ses beaux versets.

Khawaja Ghulam Farid a rendu de nombreux services pour répandre l'islam et a laissé derrière lui des disciples à Lacs.
1. . Nawab Qaisar Khan Magassi du Baloutchistan et ses sujets.
2. Nawab Sadiq Khan 4ème de l'Etat de Bahawalpur et ses sujets.
3. Mirza Ahmad Akhtar, le petit-fils de Bahadur Shah Zafar.

Khawaja Farid a écrit les livres suivants à la fois dans la poésie et la prose: -

1. Dewan-E-Farid in 1882. (Saraiki Poetry) 1. Dewan-E-Farid en 1882. (Poésie de Saraiki)
2. Dewan-e-Farid in 1884. (Urdu Poetry) 2. Dewan-e-Farid en 1884. (Poésie ourdou)
3. Manaqabe Mehboobia (in Persian prose) 3. Manaqabe Mehboobia (en prose perse)
4. Fawaid Faridia (in Persian prose) 4. Fawid Faridia (en prose perse)
Khawaja Farid died on 24th July, 1901 and was laid to rest in Kot Mithan. Khawaja Farid est décédé le 24 juillet 1901 et a été enterré à Kot Mithan

https://sufipoetry.wordpress.com/poets/khawaja-ghulam-farid/
 
You Are My Ardour – Poem by Khwaja Ghulam Farid (1845-1901)

You are my ardour, my friend, faith, creed.
You are my body, you are my spirit, heart, soul.
You’re the direction towards which I pray.
You are my Mecca, my mosque, my pulpit.
You are my holy books and my Koran.
You are my religious obligations,
My Hajj, charity, fasting, call to prayer.
You are my asceticism, worship,
My obedience and my piety.
You are my knowledge and you’re my gnosis .
You’re my remembrance, my contemplation
You are my tasting and my ecstasy.
You are my love, my sweet, my darling, my honey
You are my favourite, and my soulmate!
You’re my spiritual preceptor, my guide ,
You are my Shaykh and my Enlightened One
You are my hope, my wish, my gains, losses.
You’re all I see, my pride, my deliv’rance.
You’re my faith, my honour, modesty, glory
You’re my pain, sorrow, my crying, playing
You are my illness and my remedy.
You are what lulls me to a peaceful sleep.
You are my beauty and my fate, fortune, fame.
You are my looking, enquiring, seeking
You are my understanding, my knowing
You are my henna, my collyrium,
My rouge, my tobacco, my betel-leaf!
You are my terror, my passion, madness
You’re my crying and my lamentation.
You are my Alpha and my Omega,
My Inner, Outer, Hidden, Manifest.
If, O’Belovéd, you accept Farid
You are my Sovereign and my Sultan.

Translated from Punjabi by Asif J. Naqshbandi
 
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