Les gros mensonges .
Il y a aussi le gros mensonges des 600 000 "juifs" . Chiffre que l'on ressasse tout le temps comme si que la population n'avait pas augmentée.
Beaucoup plus dans les faits . On retrouve toujours ce chiffre de 600000 dans le passé .
Dans son dernier livre, l'historien Jacques Sémelin raconte comment il a enquêté sur les plus de 200 000 "juifs" qui, en France, n'ont pas été conduits vers les centres de mise . Et cela n'est pas dû à une quelconque protection du régime de Vichy.
"Deux tiers des "juifs" de France sont partis en zone libre et se sont dispersés un peu partout", décrit-il. "Il faut aussi noter que ceux qui parlaient français et qui avaient plus d’argent s'en sortaient mieux". Jacques Sémelin estime pourtant qu'au printemps 1944, 40 000 "juifs" vivaient encore à Paris,
Quatorze ans après la question posée par Simone Veil, l’historien a relevé son défi. "Il s’agit juste de rétablir les faits et c’est la meilleure riposte aux falsifications de l’histoire", insiste-il.
Rien que 200 000 en 1945 au bout de 75 ans cette population n'aurait pas augmentée ?
Il y a aussi le gros mensonges des 600 000 "juifs" . Chiffre que l'on ressasse tout le temps comme si que la population n'avait pas augmentée.
Beaucoup plus dans les faits . On retrouve toujours ce chiffre de 600000 dans le passé .
France | 448 000 | 0,69 | 650 000 wikipedia |
"Deux tiers des "juifs" de France sont partis en zone libre et se sont dispersés un peu partout", décrit-il. "Il faut aussi noter que ceux qui parlaient français et qui avaient plus d’argent s'en sortaient mieux". Jacques Sémelin estime pourtant qu'au printemps 1944, 40 000 "juifs" vivaient encore à Paris,
Quatorze ans après la question posée par Simone Veil, l’historien a relevé son défi. "Il s’agit juste de rétablir les faits et c’est la meilleure riposte aux falsifications de l’histoire", insiste-il.
Rien que 200 000 en 1945 au bout de 75 ans cette population n'aurait pas augmentée ?