L’addiction aux jeux vidéo vous menace

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je ne suis qu'un prince..
L’addiction aux jeux vidéo vous menace

(18/09/2010)



© Reporters

Tous les joueurs potentiels sont en proie au risque de dépendance

Histoire rocambolesque que celle relatée il y a quelques jours par le Daily Mail. Selon le quotidien britannique, une femme âgée de 33 ans aurait été tellement accro à un jeu vidéo qu’elle en aurait négligé ses trois enfants et laissé mourir ses deux chiens, affamés.

Preuve, s’il en était encore besoin, que l’addiction aux jeux vidéo n’est pas qu’une vue de l’esprit. “C’est une maladie qui, au départ, guette chacun d’entre nous”, insiste le thérapeute Serge Minet (CHU Brugmann). “Et il n’y a pas de prédispositions; le terrain est très fertile. Pour autant, bien sûr, que nous soyons exposés à ces jeux vidéo.”

Cette addiction aux jeux n’est pas immédiatement perceptible. Mais certains signes ne trompent pas. “Lorsqu’une personne n’est plus libre d’arrêter ou bien de commencer à jouer quand elle le souhaite, il est déjà question de dépendanc e”, poursuit Serge Minet. “C’est très marquant avec ces gens qui, lorsqu’ils ne sont pas connectés à un réseau quelconque, se sentent directement comme dépourvus.”

Quant aux risques, outre le cas extrême cité précédemment, ils sont pour la plupart déjà connus. Ainsi, un enfant qui passe 8, 10 ou 12 heures par jour devant sa console mettra sa scolarité en danger. “A contrario , analyse le thérapeute, ce sont parfois des enfants qui ont tellement de facilités à l’école qu’ils finissent par s’y ennuyer; le jeu est alors un moyen pour eux de s’occuper.” Des cas peu majoritaires, convenons-en.

Il y a aussi le risque de conflits familiaux, que ce soit entre les parents et l’enfant ou vice versa.

P lus généralement, les personnes qui souffrent de problèmes personnels ou qui sont en manque de relations sociales (du fait de leur timidité, par exemple) trouvent dans ces communautés virtuelles le moyen d’exister tout en évitant le regard des autres.

La solution ? “Pas le sevrage”, insiste Serge Minet. “Il y a des cas qui nécessitent une hospitalisation, mais c’est plutôt rare. L’idéal est vraiment d’arriver à sceller une sorte de pacte familial négocié, qui puisse satisfaire les deux parties : parents et enfants.”
 
Ici, on parle spécifiquement de jeux vidéos.. Mais c'est aussi valable pour Internet.
D'où la nécessité d'être vigilant avec ses enfants et d'imposer des règles claires dès le départ.

Pour les adultes, comme la femme dont il est question dans l'article, c'est plus qu'inquiètant!
 
Ici, on parle spécifiquement de jeux vidéos.. Mais c'est aussi valable pour Internet.
D'où la nécessité d'être vigilant avec ses enfants et d'imposer des règles claires dès le départ.

Pour les adultes, comme la femme dont il est question dans l'article, c'est plus qu'inquiètant!

Il y a mieux que d'utiliser le " parental control" . it does help.
 
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