L’Afrique et l’Europe, les vedettes de Davos

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Défis: Demande en énergie et en nourriture
La taxe sur les transactions financières décriée
Le Maroc et la Tunisie rassurent

C’EST l’Afrique qui est mise en avant aux premières interventions du 42e Forum de Davos en Suisse qui se tient du 25 au 29 janvier. Infrastructures, éducation, nouvelles technologies, diversification économique, commerce… ce sont des sujets remis sur la table. Les décideurs politiques et économiques veulent que «l’Afrique change son image et que ses dirigeants changent de comportement». Car les défis sont énormes: «vaste demande en énergie et en nourriture conjuguée à l’explosion démographique». Présent comme à l’accoutumée, Bill Gates, le président de la Fondation Bill and Melinda Gates, a affirmé que le monde doit doubler ses dépenses en recherche agricole. Il a promis aussi de donner 570 millions d’euros au Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, en difficulté.
Et il fallait s’y attendre Davos rend hommage à une Union européenne si déprimée. C’est la chancelière allemande Angela Merkel qui a ouvert le bal des interventions. La crise revient et sur toutes les langues. Le Premier ministre britannique David Cameron évoque la taxe sur les transactions financières ou encore la dérégulation. Il hausse le ton contre cette taxe au moment où la Commission européenne chiffre à près de 500.000 le nombre d’emplois perdus si elle entrait en vigueur en Europe. Cameron est plutôt en faveur de plus de dérégulation au sein de l’UE pour relancer l’économie européenne. Ses conseils: éviter les barrières au commerce et surtout explorer la possibilité des ALE avec les Etats-Unis ou l’Afrique. Les participants au forum ont évoqué également une mobilisation pour éliminer la cybercriminalité. Edward Knight, vice-président exécutif du Nasdaq, a fait état pour sa part de plus d’un million de cyber-attaques contre la plus grande Bourse des valeurs technologiques.

http://www.leconomiste.com/article/890771-l-afrique-et-l-europe-les-vedettes-de-davos
 
Le Premier ministre britannique David Cameron évoque la taxe sur les transactions financières ou encore la dérégulation. Il hausse le ton contre cette taxe au moment où la Commission européenne chiffre à près de 500.000 le nombre d’emplois perdus si elle entrait en vigueur en Europe. Cameron est plutôt en faveur de plus de dérégulation au sein de l’UE pour relancer l’économie européenne.

Il est bien de la race de des Margaret Thatcher celui-là...Il te ferait passer passer la maladie pour le médicament ce c*n...
 
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