Oumshyrine
TANJA AL 3ALYA
(Je ne suis pas l'auteur de ce résumé, qu'Allah récompense son véritable auteur)
As-Salâm `alaykûm,
Voici le résumé que j'ai fait du livre de Norman G. Finkelstein qui mérite vraiment d'être lu.
Chaque phrase était importante dans ce livre de 150 pages, ainsi que tous les nombreux exemples à l'appui pour confirmer ses dires, mais j'ai essayé de reformuler le plus concisément possible.
Bonne lecture!
L’industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs.
Introduction
Ses propos sont de démontrer que l’ Holocauste est une représentation idéologique de l’holocauste nazi ( dans ce livre l’holocauste nazi désigne l’événement historique réel, et l’Holocauste, sa représentation idéologique). Ses dogmes centraux sont au service d’importants intérêts politiques et sociaux.
Grâce à la mise en œuvre de cette industrie, un pays doté d’une puissance militaire parmi les plus redoutables, présentant un dossier désastreux en matière des droits de l’homme, s’est assigné à lui-même un rôle d’Etat victime, et le groupe ethnique qui réussit le mieux aux USA a lui aussi acquis le statut de victime.
Cette façon spécieuse de se poser en victime rapporte des dividendes considérables et en particulier immunise contre toute critique, justifiée soit-elle.
Ses parents (juifs et qui ont connu les camps de concentration) se demandaient souvent pourquoi il était si indigné par la falsification et l’exploitation du génocide nazi. La réponse la plus évidente est qu’elles servent à justifier la politique criminelle de l’Etat d’Israël et l’appui des USA à cette politique.
I. La capitalisation de l’Holocauste
Entre 1945 et les années 60, les Américains en général et les Juifs américains-y compris les intellectuels- n’attachaient pas une grande importance à l’holocauste nazi, il y’avait très peu d’études à ce sujet, et il n’existait ni monuments, ni autres témoignages d’hommage aux victimes de l’holocauste nazi, les grandes organisations juives étaient même opposées à cela. Pourquoi ?
L’explication courante est que les Juifs étaient tellement traumatisés par l’holocauste nazi qu’ils en occultaient la mémoire. Mais la raison principale de ce silence est que les élites juives américaines s’alignaient strictement sur la politique officielle du gouvernement afin d’avoir un accès aux postes de pouvoir, et étant donné que l’Allemagne était devenu un principal allié, il n’était pas bon de se rappeler de cette page de l’Histoire. Il y’a eu également des accords entre les organisations juives et le gouvernement de Bonn pour mettre à néant la vague anti-allemande dans l’opinion populaire juive.
Tout va changer lors de la guerre israélo-arabe de 1967. Pratiquement toutes les sources montrent que c’est seulement après ce conflit que l’Holocauste devient une constante de la vie juive américaine. C’est à partir de là qu’on pouvait vanter le dynamisme militaire d’Israël, puisque ses fusils étaient pointés dans la bonne direction, celle des ennemis de l’Amérique ; et fût un atout stratégique.
Pour protéger leur atout stratégique, les élites juives américaines « se souvirent » donc alors de l’Holocauste. L’histoire officielle veut que cette mémoire à l’Holocauste a été envisagée car les Juifs auraient eu peur de subir un « nouvel Holocauste» (en faisant croire qu’ils étaient vulnérables et isolés comme leur situation en Europe).
Cette raison est démontée par le fait que cette mémoire se développa après la démonstration de l’écrasante supériorité militaire israélienne lors de la guerre des Six Jours (contre les arabes, en 1973) et ceci car après 1973, les américains ont fourni une assistante militaire massive et l’opinion publique était clairement en faveur d’Israël.
As-Salâm `alaykûm,
Voici le résumé que j'ai fait du livre de Norman G. Finkelstein qui mérite vraiment d'être lu.
Chaque phrase était importante dans ce livre de 150 pages, ainsi que tous les nombreux exemples à l'appui pour confirmer ses dires, mais j'ai essayé de reformuler le plus concisément possible.
Bonne lecture!
L’industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs.
Introduction
Ses propos sont de démontrer que l’ Holocauste est une représentation idéologique de l’holocauste nazi ( dans ce livre l’holocauste nazi désigne l’événement historique réel, et l’Holocauste, sa représentation idéologique). Ses dogmes centraux sont au service d’importants intérêts politiques et sociaux.
Grâce à la mise en œuvre de cette industrie, un pays doté d’une puissance militaire parmi les plus redoutables, présentant un dossier désastreux en matière des droits de l’homme, s’est assigné à lui-même un rôle d’Etat victime, et le groupe ethnique qui réussit le mieux aux USA a lui aussi acquis le statut de victime.
Cette façon spécieuse de se poser en victime rapporte des dividendes considérables et en particulier immunise contre toute critique, justifiée soit-elle.
Ses parents (juifs et qui ont connu les camps de concentration) se demandaient souvent pourquoi il était si indigné par la falsification et l’exploitation du génocide nazi. La réponse la plus évidente est qu’elles servent à justifier la politique criminelle de l’Etat d’Israël et l’appui des USA à cette politique.
I. La capitalisation de l’Holocauste
Entre 1945 et les années 60, les Américains en général et les Juifs américains-y compris les intellectuels- n’attachaient pas une grande importance à l’holocauste nazi, il y’avait très peu d’études à ce sujet, et il n’existait ni monuments, ni autres témoignages d’hommage aux victimes de l’holocauste nazi, les grandes organisations juives étaient même opposées à cela. Pourquoi ?
L’explication courante est que les Juifs étaient tellement traumatisés par l’holocauste nazi qu’ils en occultaient la mémoire. Mais la raison principale de ce silence est que les élites juives américaines s’alignaient strictement sur la politique officielle du gouvernement afin d’avoir un accès aux postes de pouvoir, et étant donné que l’Allemagne était devenu un principal allié, il n’était pas bon de se rappeler de cette page de l’Histoire. Il y’a eu également des accords entre les organisations juives et le gouvernement de Bonn pour mettre à néant la vague anti-allemande dans l’opinion populaire juive.
Tout va changer lors de la guerre israélo-arabe de 1967. Pratiquement toutes les sources montrent que c’est seulement après ce conflit que l’Holocauste devient une constante de la vie juive américaine. C’est à partir de là qu’on pouvait vanter le dynamisme militaire d’Israël, puisque ses fusils étaient pointés dans la bonne direction, celle des ennemis de l’Amérique ; et fût un atout stratégique.
Pour protéger leur atout stratégique, les élites juives américaines « se souvirent » donc alors de l’Holocauste. L’histoire officielle veut que cette mémoire à l’Holocauste a été envisagée car les Juifs auraient eu peur de subir un « nouvel Holocauste» (en faisant croire qu’ils étaient vulnérables et isolés comme leur situation en Europe).
Cette raison est démontée par le fait que cette mémoire se développa après la démonstration de l’écrasante supériorité militaire israélienne lors de la guerre des Six Jours (contre les arabes, en 1973) et ceci car après 1973, les américains ont fourni une assistante militaire massive et l’opinion publique était clairement en faveur d’Israël.