Plusieurs hauts responsables iraniens ont demandé jeudi aux puissances du groupe 5+1 de reconnaître les droits nucléaires de la République islamique pour assurer le succès de la réunion de Moscou, les 18 et 19 juin, ont rapporté les médias iraniens.
Nous espérons que les pays du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) participeront avec réalisme à la réunion de Moscou et prendront leurs décisions en respectant les droits justes de lIran pour développer un programme nucléaire civil, a déclaré Ali Akbar Velayati, le conseiller pour les affaires internationales du guide suprême, layatollah Ali Khamenei.
LIran et le groupe 5+1 doivent se retrouver à Moscou pour poursuivre les négociations nucléaires entamées en avril à Istanbul et poursuivies en mai à Bagdad.
LOccident doit savoir que le chemin du succès dans les négociations passe par la reconnaissance des droits justes de lIran et la non utilisation de la politique miteuse de pression, de menace et de sanctions, a déclaré de son côté lancien président Akbar Hachemi Rafsandjani, chef du Conseil de discernement, une instance chargée notamment de conseiller le guide suprême.
LIran a accusé mercredi les Occidentaux de vouloir perdre du temps dans les négociations en refusant des rencontres préparatoires avant celle de Moscou au niveau des adjoints de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton et du chef des négociateurs nucléaires iraniens, Saïd Jalili.
M. Jalili a envoyé mercredi une lettre à Mme Ashton pour critiquer le refus dorganiser une réunion préparatoire, et Mme Ashton a fait savoir par lintermédiaire de sa porte-parole quelle allait soccuper de cette question directement avec M. Jalili.
Par ailleurs, dans un discours devant le Conseil des gouverneurs de lAgence internationale de lénergie atomique (AIEA), le représentant de lIran, Ali Asghar Soltanieh, a répété que lIran ne renoncerait pas à lenrichissement duranium.
LIran poursuivra ses activités nucléaires, y compris lenrichissement duranium pour un usage pacifique sans aucune interruption et sous le contrôle de lAIEA, a-t-il déclaré selon les médias iraniens.
La secrétaire dEtat américaine Hillary Clinton a appelé jeudi lIran à être prêt à faire des pas concrets lors des discussions à Moscou.
De son côté, le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi à Pékin au président iranien Mahmoud Ahmadinejad que la Russie soutenait le droit du peuple iranien aux technologies modernes, parmi lesquelles lusage pacifique de lénergie atomique.
De son côté, M. Ahmadinejad a affirmé que lIran voulait poursuivre les négociations et ne cherchait pas à fabriquer larme atomique.
Le peuple iranien est engagé par les négociations mais les grandes puissances ne semblent pas vouloir trouver une solution (...) et très probablement elles ne permettront pas que la question soit résolue à Moscou, a-t-il déclaré selon lagence Isna.
Si lIran voulait construire la bombe, il naurait pas peur de le déclarer et personne ne pourrait len empêcher (...) mais la politique (...) de principe de la République islamique ne permet pas au pays daller vers larme atomique, a-t-il déclaré.
Les responsables iraniens, notamment le guide suprême, ont déclaré à plusieurs reprises ces derniers mois que la construction, la possession et lutilisation de larme atomique étaient haram, cest-à-dire interdites par lislam.
Nous espérons que les pays du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) participeront avec réalisme à la réunion de Moscou et prendront leurs décisions en respectant les droits justes de lIran pour développer un programme nucléaire civil, a déclaré Ali Akbar Velayati, le conseiller pour les affaires internationales du guide suprême, layatollah Ali Khamenei.
LIran et le groupe 5+1 doivent se retrouver à Moscou pour poursuivre les négociations nucléaires entamées en avril à Istanbul et poursuivies en mai à Bagdad.
LOccident doit savoir que le chemin du succès dans les négociations passe par la reconnaissance des droits justes de lIran et la non utilisation de la politique miteuse de pression, de menace et de sanctions, a déclaré de son côté lancien président Akbar Hachemi Rafsandjani, chef du Conseil de discernement, une instance chargée notamment de conseiller le guide suprême.
LIran a accusé mercredi les Occidentaux de vouloir perdre du temps dans les négociations en refusant des rencontres préparatoires avant celle de Moscou au niveau des adjoints de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton et du chef des négociateurs nucléaires iraniens, Saïd Jalili.
M. Jalili a envoyé mercredi une lettre à Mme Ashton pour critiquer le refus dorganiser une réunion préparatoire, et Mme Ashton a fait savoir par lintermédiaire de sa porte-parole quelle allait soccuper de cette question directement avec M. Jalili.
Par ailleurs, dans un discours devant le Conseil des gouverneurs de lAgence internationale de lénergie atomique (AIEA), le représentant de lIran, Ali Asghar Soltanieh, a répété que lIran ne renoncerait pas à lenrichissement duranium.
LIran poursuivra ses activités nucléaires, y compris lenrichissement duranium pour un usage pacifique sans aucune interruption et sous le contrôle de lAIEA, a-t-il déclaré selon les médias iraniens.
La secrétaire dEtat américaine Hillary Clinton a appelé jeudi lIran à être prêt à faire des pas concrets lors des discussions à Moscou.
De son côté, le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi à Pékin au président iranien Mahmoud Ahmadinejad que la Russie soutenait le droit du peuple iranien aux technologies modernes, parmi lesquelles lusage pacifique de lénergie atomique.
De son côté, M. Ahmadinejad a affirmé que lIran voulait poursuivre les négociations et ne cherchait pas à fabriquer larme atomique.
Le peuple iranien est engagé par les négociations mais les grandes puissances ne semblent pas vouloir trouver une solution (...) et très probablement elles ne permettront pas que la question soit résolue à Moscou, a-t-il déclaré selon lagence Isna.
Si lIran voulait construire la bombe, il naurait pas peur de le déclarer et personne ne pourrait len empêcher (...) mais la politique (...) de principe de la République islamique ne permet pas au pays daller vers larme atomique, a-t-il déclaré.
Les responsables iraniens, notamment le guide suprême, ont déclaré à plusieurs reprises ces derniers mois que la construction, la possession et lutilisation de larme atomique étaient haram, cest-à-dire interdites par lislam.