Erolisk
VIB
Lentreprise nationale de navigation aérienne continue dêtre placée sous haute surveillance par les autorités de lUnion européenne.
La menace de lui retirer lautorisation de survoler lespace aérien européen, brandie telle une épée de Damoclès, est toujours de mise si Air Algérie ne souscrit pas, toutefois, aux normes draconiennes imposées par les Européens.
Cest ainsi que le Journal officiel de lUnion européenne, du 5 juillet dernier, a évoqué le règlement établissant la liste communautaire des transporteurs aériens qui font lobjet dune interdiction dexploitation dans la communauté, il y est fait cas de la compagnie nationale et lon apprend que cette dernière est soumise à des contrôles et à des inspections periodiques et réguliers.
Dans ce numéro du Journal officiel, qui est similaire à un bulletin contenant des informations sur les différentes mesures prises par les autorités de lUnion européenne à lencontre de quelques transporteurs aériens, dont certains sont frappés par des mesures de suspension de leur licence dexploitation du transport aérien, il est en effet réservé une importante place à la compagnie nationale où est retracée, à travers les points 10, 11, 12, 13 et 14, les multiples contacts entrepris entre les deux parties.
Lon apprend ainsi quaprès analyse des résultats des inspections Safa effectuées sur des aéronefs exploitées par Air Algérie dans lUnion européenne depuis le mois de janvier 2009, les Européens ont engagé des consultations avec les Algériens le 7 décembre 2009 et le 5 février 2010.
Lobjectif étant, selon le Journal officiel européen, «de remédier aux manquements constatés dans le domaine de la sécurité du transport de marchandises, de la navigabilité et de lexploitation des appareils et des licences du personnel navigant».
Cest dire combien il reste du chemin à faire par la compagnie nationale pour se conformer aux normes de lUE au risque dêtre bannie du ciel européen, comme cest le cas de certains pays à limage du Bangladesh.
Dailleurs non satisfait des explications des Algériens, présentées dans leur réponse du 15 mars dernier, les Européens ont demandé des informations complementaires sur les cas de non-conformité établis à la suite des inspections au sol.
Cependant le directeur dAir Algérie et le directeur de laviation civile algérienne se sont engagés, à la suite dune réunion tenue le 9 juin dernier avec les autorités compétentes de France et de lAgence européenne de la sécurité aérienne (AESA), à soumettre à bref délai un plan de mesure détaillé, accompagné dun calendrier de vérification et de mise en uvre de ce plan.
La menace de lui retirer lautorisation de survoler lespace aérien européen, brandie telle une épée de Damoclès, est toujours de mise si Air Algérie ne souscrit pas, toutefois, aux normes draconiennes imposées par les Européens.
Cest ainsi que le Journal officiel de lUnion européenne, du 5 juillet dernier, a évoqué le règlement établissant la liste communautaire des transporteurs aériens qui font lobjet dune interdiction dexploitation dans la communauté, il y est fait cas de la compagnie nationale et lon apprend que cette dernière est soumise à des contrôles et à des inspections periodiques et réguliers.
Dans ce numéro du Journal officiel, qui est similaire à un bulletin contenant des informations sur les différentes mesures prises par les autorités de lUnion européenne à lencontre de quelques transporteurs aériens, dont certains sont frappés par des mesures de suspension de leur licence dexploitation du transport aérien, il est en effet réservé une importante place à la compagnie nationale où est retracée, à travers les points 10, 11, 12, 13 et 14, les multiples contacts entrepris entre les deux parties.
Lon apprend ainsi quaprès analyse des résultats des inspections Safa effectuées sur des aéronefs exploitées par Air Algérie dans lUnion européenne depuis le mois de janvier 2009, les Européens ont engagé des consultations avec les Algériens le 7 décembre 2009 et le 5 février 2010.
Lobjectif étant, selon le Journal officiel européen, «de remédier aux manquements constatés dans le domaine de la sécurité du transport de marchandises, de la navigabilité et de lexploitation des appareils et des licences du personnel navigant».
Cest dire combien il reste du chemin à faire par la compagnie nationale pour se conformer aux normes de lUE au risque dêtre bannie du ciel européen, comme cest le cas de certains pays à limage du Bangladesh.
Dailleurs non satisfait des explications des Algériens, présentées dans leur réponse du 15 mars dernier, les Européens ont demandé des informations complementaires sur les cas de non-conformité établis à la suite des inspections au sol.
Cependant le directeur dAir Algérie et le directeur de laviation civile algérienne se sont engagés, à la suite dune réunion tenue le 9 juin dernier avec les autorités compétentes de France et de lAgence européenne de la sécurité aérienne (AESA), à soumettre à bref délai un plan de mesure détaillé, accompagné dun calendrier de vérification et de mise en uvre de ce plan.