Mounir8
Al 3AZ Oula KHOZ
La Banque du Canada maintient pour le moment son taux directeur à 0,25 %, mais estime qu'il faut commencer à atténuer la détente monétaire.
Elle revoit aussi à la hausse sa prévision de croissance pour l'économie canadienne qui devrait être de 3,7% cette année.
À court terme, la reprise économique se révèle un peu plus rapide que la banque ne lentrevoyait dans le Rapport sur la politique monétaire de janvier.
La banque centrale canadienne estime maintenant que le rythme de progression de léconomie atteindra 3,7 % en 2010 et ralentira par la suite à 3,1 % en 2011 et à 1,9 % en 2012.
Ce profil reflète une croissance économique plus forte à court terme à léchelle mondiale et le fort dynamisme du marché de lhabitation au Canada.
La banque croit de plus que les mesures de relance ont donné lieu à un devancement à la fin de 2009 et au début de 2010 dun plus grand volume de dépenses que prévu.
Toutefois, parallèlement à cette situation, l'institution fédérale souligne que la vigueur persistante du dollar canadien, la piètre tenue du pays au chapitre de la productivité relative et le bas niveau de la demande américaine, en chiffres absolus, continueront de freiner considérablement lactivité économique au Canada.
La Banque sattend à ce que léconomie retourne à son plein potentiel au deuxième trimestre de 2011.
Linflation mesurée par lIPC global devrait se situer légèrement au-dessus de 2 % au cours de la prochaine année, avant de regagner la cible au second semestre de 2011.
Les perspectives de linflation reflètent les influences conjuguées de la demande intérieure plus robuste, du ralentissement de la progression des salaires et de loffre excédentaire au sein de léconomie.
Linflation devrait reculer quelque peu au deuxième trimestre de 2010 et continuer à avoisiner 2 % jusquà la fin de la période de projection.
La Banque du Canada conclut qu'il convient de commencer à atténuer la détente monétaire en vigueur.
Lampleur et le moment où cela se produira, indique-t-on, seront fonction des prévisions concernant lactivité économique et linflation et seront compatibles avec la réalisation de la cible dinflation de 2 %.
Elle revoit aussi à la hausse sa prévision de croissance pour l'économie canadienne qui devrait être de 3,7% cette année.
À court terme, la reprise économique se révèle un peu plus rapide que la banque ne lentrevoyait dans le Rapport sur la politique monétaire de janvier.
La banque centrale canadienne estime maintenant que le rythme de progression de léconomie atteindra 3,7 % en 2010 et ralentira par la suite à 3,1 % en 2011 et à 1,9 % en 2012.
Ce profil reflète une croissance économique plus forte à court terme à léchelle mondiale et le fort dynamisme du marché de lhabitation au Canada.
La banque croit de plus que les mesures de relance ont donné lieu à un devancement à la fin de 2009 et au début de 2010 dun plus grand volume de dépenses que prévu.
Toutefois, parallèlement à cette situation, l'institution fédérale souligne que la vigueur persistante du dollar canadien, la piètre tenue du pays au chapitre de la productivité relative et le bas niveau de la demande américaine, en chiffres absolus, continueront de freiner considérablement lactivité économique au Canada.
La Banque sattend à ce que léconomie retourne à son plein potentiel au deuxième trimestre de 2011.
Linflation mesurée par lIPC global devrait se situer légèrement au-dessus de 2 % au cours de la prochaine année, avant de regagner la cible au second semestre de 2011.
Les perspectives de linflation reflètent les influences conjuguées de la demande intérieure plus robuste, du ralentissement de la progression des salaires et de loffre excédentaire au sein de léconomie.
Linflation devrait reculer quelque peu au deuxième trimestre de 2010 et continuer à avoisiner 2 % jusquà la fin de la période de projection.
La Banque du Canada conclut qu'il convient de commencer à atténuer la détente monétaire en vigueur.
Lampleur et le moment où cela se produira, indique-t-on, seront fonction des prévisions concernant lactivité économique et linflation et seront compatibles avec la réalisation de la cible dinflation de 2 %.