La Charte du Likoud ne reconnaît pas à la Palestine le droit d’exister

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Casablanca d'antan
VIB
lundi 9 février 2009 - 07h:02

Frank Barat

Dans quelques jours, le 10 février, Israël élira ses nouveaux dirigeants au cours d’élections législatives. Les trois principaux candidats sont Tzipi Livni du parti Kadima (le parti d’Ariel Sharon), Ehoud Barak du parti Travailliste et Benjamin Netanyahou du Likoud.


Avant la « guerre » de Gaza, il y avait deux chevaux dans la course : Livni contre Netanyahou, avec pour ce dernier des sondages lui donnant une bonne marge d’avance. La course est passée à trois chevaux grâce à la « guerre » de Gaza lancée par Livni et Barak. Barak a vu gonfler son score et il est à nouveau dans la course. Même s’il n’est pas élu, son parti obtiendra sensiblement plus de sièges qu’il ne l’escomptait il y a quelques mois.

Mais le favori a toujours été Benjamin Netanyahou et il reste, aux yeux de la majorité des journalistes israéliens (Gideon Lévy, de Haaretz) ou des militants (Jeff Halper de l’ICAHD), le plus que probable futur Premier ministre.

Le monde espère que cette élection sera aussi « régulière et démocratique » (comme l’ont dit Jimmy Carter et la plupart des observateurs internationaux) que les dernières élections palestiniennes qui ont eu lieu en 2006 et qui furent gagnées à une large majorité par le Hamas.

Nous savons ce qui s’est produite ensuite. Pour la faire courte, rappelons qu’Israël et la majorité de la communauté internationale ont refusé de reconnaître le Hamas comme un parti légitime et ont ensuite refusé de reconnaître le gouvernement d’unité nationale nouvellement formé (en mars 2007).

Abbas, dont le but a toujours été d’être reconnu par les Etats-Unis et Israël, a chassé le Hamas du gouvernement pour en former un nouveau avec pour Premier ministre Salam Fayyad, politicien et économiste made in USA. Une guerre préventive a été lancée par le Hamas contre le Fatah et les milices dirigées par Mohamed Dahlan et appuyées par Israël et les Etats-Unis, et le Hamas a « pris le contrôle » de la Bande de Gaza.

Même s’ils ont réagi par de l’étonnement et en condamnant fermement ce coup, les Etats-Unis et Israël avaient atteint un de leurs objectifs à long terme en Palestine. La stratégie du « diviser pour régner » (stratégie employée avec un grand succès par les Etats-Unis au cours de leur histoire) était de retour avec une Cisjordanie devenant le territoire de la respectable (comprenez : collaborante) Autorité Palestinienne et Gaza transformé en un Hamastan islamique et malfaisant.

S’en est suivi un blocus israélien - internationalement soutenu - de la Bande de Gaza et, encore une fois pour la faire courte, la « guerre » de Gaza a été lancée en décembre 2008 par Israël. Nous voilà aujourd’hui 1300 Palestiniens tués et 5000 blessés plus tard. Mais pourquoi tout ceci a-t-il eu lieu ? Quelle a été la raison officielle donnée par Israël et la communauté internationale pour ne pas reconnaître le Hamas ? La raison avancée était que le Hamas refusait de reconnaître Israël et qu’il avait une Charte appelant à la destruction de l’Etat juif.

Tout le monde (politiciens et dirigeants des groupes de médias) ont accepté cela sans poser quelques questions importantes. Quel Israël le Hamas devrait-il reconnaître ? Israël n’a pas encore déclaré quelles étaient ses frontières. Le Hamas devrait-il reconnaître l’Israël de 1948 ? L’Israël de 1967 ? L’Israël de 2009 avec son mur de l’apartheid, ses colonies (la construction y a augmenté de 60 pourcent en 2008, l’année du « Processus de Paix » d’Annapolis - selon un rapport de La Paix Maintenant), avec ses citoyens arabes de seconde classe et avec l’annexion de Jérusalem-Est ?

Tout observateur avisé aurait aussi pu faire objection en rappelant que le Hamas (par la voix de Haniyeh et de Meshal) a dit à plusieurs reprises qu’il était disposé à accepter Israël comme entité politique à l’intérieur des frontières de 1967. Il ne vous faut pas chercher beaucoup pour cela : cela a été énoncé, entre autres, dans le Guardian et le Washington Post, ce qui signifie qu’en acceptant une solution à deux Etats, le Hamas est maintenant aligné sur l’essentiel de la communauté internationale.

Une autre question n’a cessé de revenir. Il nous faudrait entendre que le problème réside dans la Charte du Hamas. Quoi que Meshal ou Haniyeh pussent être disposés à accepter, la Charte revenait les hanter en permanence. Mais qu’en est-il de la Charte du Likoud ? Avec Netanyahou et son parti de droite prêts à accéder au pouvoir, il est juste de chercher à en savoir un peu plus à leur sujet.

Le chapitre « Paix et Sécurité » de la plateforme du Likoud, un document récent (1999), commence par déclarer : « La paix est un objectif premier de l’Etat d’Israël. Le Likoud renforcera les accords de paix existants avec les pays arabes et s’efforcera d’aboutir à des accords de paix avec tous les voisins d’Israël, dans le but d’arriver à une solution globale du conflit arabo-israélien ».

Mais alors, à propos des colonies, il poursuit ainsi : « Les communautés juives de Judée, Samarie et Gaza sont la réalisation des valeurs sionistes.

La colonisation du pays est l’expression claire du droit irréfutable du peuple juif sur la Terre d’Israël et constitue un atout important dans la défense des intérêts vitaux de l’Etat d’Israël. Le Likoud continuera de renforcer et de développer ces communautés et il empêchera leur déracinement ».

Voilà dès lors anéanti tout espoir d’une solution à deux Etats.

A propos de l’autonomie palestinienne, le texte dit ceci : « Le gouvernement d’Israël rejette catégoriquement l’établissement d’un Etat arabe palestinien à l’ouest du Jourdain. Les Palestiniens peuvent mener leur vie librement dans le cadre d’une autonomie mais pas en tant qu’Etat indépendant et souverain. Ainsi par exemple, en matière d’affaires étrangères, de sécurité, d’immigration et d’écologie, leur activité sera limitée pour se conformer aux impératifs de l’existence d’Israël, de sa sécurité et de ses besoins nationaux ».

Anéanti cette fois tout espoir de voir un Etat palestinien souverain.

Sur Jérusalem : « Jérusalem est la capitale éternelle et unifiée de l’Etat d’Israël et seulement d’Israël. Le gouvernement rejettera catégoriquement les propositions palestiniens de division de Jérusalem, y compris le plan de partage de la ville qui a été présenté au Parlement israélien par les factions arabes et soutenu par de nombreux membres du parti Travailliste et du Meretz ». Voilà qui anéantit toute chance de futures négociations de paix puisque Jérusalem-Est comme capitale d’un futur Etat palestinien est une question non négociable pour n’importe quel Palestinien.

Nous avons par conséquent établi que la Charte du Likoud ne reconnaissait pas la Palestine et n’acceptera pas un Etat palestinien souverain. La toute prochaine non reconnaissance du Likoud par la communauté internationale et la mise en place d’un blocus contre Israël ne devrait dès lors pas apparaître comme une surprise pour les Israéliens.
 
CE matin les informations sur France Inter : le partie de mr Liberman encore plus à droite du likoud ... préconise même d'atomiser, Ghaza façon hiroshima, .. Il considère les musulmans israeliens comme des ennemis de l'intérieur ...Ce parti a le vent en poupe.. les sondage le donne même devant les travaillistes .. et pourtant aucun parti n'exclue la possibilité de gouverner avec eux.

Les palestiniens et les israeliens de PAIX ont encore des années noires à vivre devant eux ... et les pouvoirs en place en occidents ne laissent rien présager de bon ... même OBAMA et son miracle ne se prononce sur aucun piste pour limiter cette injustice, je dis bien limiter .. car il faut être Utopiste dooux rêveur pour croire en la justice de l'occident vis a vis des palestiniens
 
Eux ils ont l'arge... euh tous les droits!
donc pourkoi autant d'organisations internationales si ces dernières en servent à rien face aux plus puissants?

pourquoi pointer du doigt des pays qui ne respectent pas soit disant les droits de l'Homme et fermer les yeux sur les massacres perpetrés par les dites démocraties du monde??
 
CE matin les informations sur France Inter : le partie de mr Liberman encore plus à droite du likoud ... préconise même d'atomiser, Ghaza façon hiroshima, .. Il considère les musulmans israeliens comme des ennemis de l'intérieur ...Ce parti a le vent en poupe.. les sondage le donne même devant les travaillistes .. et pourtant aucun parti n'exclue la possibilité de gouverner avec eux.

Les palestiniens et les israeliens de PAIX ont encore des années noires à vivre devant eux ... et les pouvoirs en place en occidents ne laissent rien présager de bon ... même OBAMA et son miracle ne se prononce sur aucun piste pour limiter cette injustice, je dis bien limiter .. car il faut être Utopiste dooux rêveur pour croire en la justice de l'occident vis a vis des palestiniens

faut rien attendre de lui..mais vraiment rien!!!

Sur-représentation sioniste au sein du cabinet Obama (2°)
dimanche 8 février 2009 - 06h:55

IAR Noticias

Vous pouvez consulter la première partie à : http://www.info-palestine.net/artic...

Le recyclage du lobby sioniste

Mais si les presses européennes et américaines, y compris la presse républicaine, relèvent déjà avec « ironie » l’évidente influence de Bill Clinton au sein du gouvernement Obama, elles oublient de dire (pour la bonne raison qu’elles font partie du système) que les postes clés du cabinet seront occupés par des acteurs reconnus du lobby sioniste qui contrôle le Trésor Public, la Réserve Fédérale et tous les ressorts stratégiques du pouvoir impérial américain.

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6067
 
donc pourkoi autant d'organisations internationales si ces dernières en servent à rien face aux plus puissants?

pourquoi pointer du doigt des pays qui ne respectent pas soit disant les droits de l'Homme et fermer les yeux sur les massacres perpetrés par les dites démocraties du monde??

L'ONU doit être réformé et ne plus dépendre de 5 pays... et qu'un seul veto puisse l'immobiliser!
 
C'est le petit qui agitait un drapeau blanc et qui s'est fait bombardé!
Qui veut poursuivre Israel car ils lui ont détruit sa cabane... Par contre il ne peut rien faire contre le fait que toute la forêt alentour et ses animaux soient morts...
ben ce ne sont que des animaux..quand je vois le militantisme de BB pour la cause des animaux et l'incapacité de ttes ces organisations face à ce drame humain..ça me donne envie de gerber..

j'implore aussi le silence des citoyens qui se fait de plus en plus entendre, plus de sang plus de militantisme (sous toutes ces formes), enfin il se fait de moins en moins, c'est désolant d'attendre que les terres soient ensanglantées pour bouger..Gaza a besoin de tout le monde!!
 
CE matin les informations sur France Inter : le partie de mr Liberman encore plus à droite du likoud ... préconise même d'atomiser, Ghaza façon hiroshima, .. Il considère les musulmans israeliens comme des ennemis de l'intérieur ...Ce parti a le vent en poupe.. les sondage le donne même devant les travaillistes .. et pourtant aucun parti n'exclue la possibilité de gouverner avec eux.

Les palestiniens et les israeliens de PAIX ont encore des années noires à vivre devant eux ... et les pouvoirs en place en occidents ne laissent rien présager de bon ... même OBAMA et son miracle ne se prononce sur aucun piste pour limiter cette injustice, je dis bien limiter .. car il faut être Utopiste dooux rêveur pour croire en la justice de l'occident vis a vis des palestiniens

j'en ai marre de voir les gens prendre Obama pour le Messie!

cest un président américain qui va aider SON pays (ce qui est déjà bien), mais jvois pas ce qu'il va m'apporter... et depuis quelque temps je ne vois absolument pas ce qu'il va apporter à la Palestine !!
 
Pour les Palestiniens, le message d’Obama est limpide
mardi 10 février 2009 - 06h:47

Ramzy Baroud

On ne peut pas s’attendre à ce qu’Obama ait une solution magique pour les problèmes de chacun et en tous lieux. En fait, il faut être réaliste et demander simplement à Obama de remédier aux problèmes et aux conflits que son propre pays a créés ou provoqués, financés et soutenus.

En ce qui concerne le Moyen-Orient, il semble qu’Obama ait pris un départ fulgurant ou c’est du moins ce que l’on nous dit. Peu après son investiture, il a nommé comme envoyé spécial dans la région, l’ancien sénateur George Mitchell. Selon CNN, « Mitchell prend ses fonctions, riche d’une expérience et d’une crédibilité considérables ».

Une fois encore, Obama essaie manifestement de tracer sans tarder une politique qui se démarquera de celle de Bush. Le nom de ce dernier était lié à l’infâme Guantanamo Bay, “le goulag de notre époque » - selon Amnesty International - dont Obama a ordonné la fermeture, dans un an. On a reproché à Bush d’être intervenu tardivement dans le processus de paix au Moyen-Orient et Obama a donc dit clairement que le processus de paix était une priorité pour son administration.

Mais la question qui se pose est de savoir dans quelle mesure Obama se démarquera vraiment de Bush quand son administration aura fait quelques gestes symboliques pour apaiser un public impatient.

Il est normal qu’une administration nouvelle qui promet une ère nouvelle requière un langage nouveau. Bien qu’enrobée d’une noble terminologie, l’ébauche de la nouvelle administration Obama reflète à certains égards celle de Bush.

Voici les remarques faites par Obama (et non par Bush), le 22 janvier, dans la première déclaration importante de son administration sur le conflit palestino-israélien. : « Je vais être clair : l’Amérique s’est engagée à préserver la sécurité d’Israël. Et nous soutiendrons toujours le droit d’Israël à se défendre contre des menaces légitimes... Le Hamas doit remplir des conditions évidentes : reconnaître à Israël le droit d’exister ; renoncer à la violence et respecter les accords antérieurement passés. Quant au schéma d’un cessez-le-feu durable, il est clair : le Hamas doit arrêter ses tirs de roquettes, et Israël terminera le retrait de ses forces de Gaza. Les États-Unis et nos partenaires appuieront un régime crédible, combattant et interdisant la contrebande pour que le Hamas ne puisse pas se réarmer ».

Il est amusant de voir comment Obama a commencé sa déclaration par « je vais être clair ». Il ne lui serait pas possible d’être plus clair dans la mesure où il a passé des heures pendant de longs mois à rassurer Israël et ses partisans tout en condamnant les Palestiniens sans réserve ni remords.

Ceux qui comptaient sur Obama pour apporter une paix juste au Moyen-Orient ont dû avoir le coeur brisé quand ils l’ont vu s’élever contre le terrorisme du Hamas alors qu’Israël tuait et blessait des milliers de Gazaouis, dont 430 enfants, pendant les trois semaines qu’ont duré ses attaques barbares au moyen d’armes principalement américaines (et avec l’appui entier et sans réserve des États-Unis).

Et pourtant, Obama a jugé utile d’expliquer que la politique étrangère de son administration est " critique pour ce qui est d’affirmer non seulement la puissance des Etats-Unis, mais également ses valeurs et ses idéaux ». Bien sûr, c’est parce que les Palestiniens avaient confiance dans ces idéaux qu’ils ont afflué vers les urnes en janvier 2006 pour être ensuite condamnés à la famine et aux massacres à Gaza. Il n’est guère étonnant que les Palestiniens restent de marbre.

Mis à part la clarté sans égale d’Obama en ce qui concerne son « engagement inconditionnel et total envers Israël », lui-même et ses collaborateurs continuent à utiliser les mêmes slogans imprécis utilisés avec enthousiasme par les administrations Bush : sécurité nationale, intérêt national, diffusion des idéaux et des valeurs étasuniennes, et tout le reste.

Commentant cet abus de slogans, un des historiens les plus célèbres des États-Unis, Howard Zinn, a dit « nous devons réfléchir à ces mots et à ces expressions qu’on nous jette sans nous laisser le temps de réfléchir. Il nous faut redéfinir des mots tels que « sécurité nationale ». Qu’est-ce que la sécurité nationale ?... avoir des bases militaires dans le monde entier (ou)... avoir des soins de santé, un emploi ? »

Les Etasuniens auront quatre ans pour établir comment Obama et son administration définissent ces slogans éculés, slogans qui comprennent également démocratie et" terrorisme" (le terrorisme étant une tendance exclusivement arabe et jamais israélienne indépendamment du nombre de victimes d’Israël).

En attendant, le temps ne joue guère en faveur des Palestiniens de Gaza où des dizaines de milliers de personnes n’ont pas de toit et vivent misérablement. Qui plus est, les Gazaouis ont peu d’espoir et n’attendent pas grand-chose d’Obama ni même de Mitchell bien qu’il soit "riche d’expérience et de crédibilité ».

« Obama ne ramènera pas mon mari à la vie" dit Leila Khalil à l’AFP, une femme de Gaza, dont le mari a été tué pendant la sanglante offensive israélienne." Il est mort en martyr et m’a laissée toute seule avec six enfants à nourrir".

Obama a aussi été “clair” concernant le sort du mari de Leïla et de milliers comme lui : "pendant des années, le Hamas a lancé des milliers de roquettes sur d’innocents citoyens israéliens. Aucune démocratie ne peut tolérer un tel danger pour sa population, la communauté internationale non plus, et les Palestiniens ne devraient pas le tolérer car des actes terroristes vont à l’encontre de leurs intérêts ».

Heureusement, Leïla n’a plus de télévision pour entendre les remarques d’Obama. Celle-ci a été pulvérisée en même temps que sa maison par les missiles israéliens, cadeau des États-Unis. Pour les Gazaouis et la plupart des Palestiniens les choses ne peuvent pas être plus claires.
 
Eux ils ont l'arge... euh tous les droits!

Ce n'est pas nouveau pour la charte du Likoud mais cela montre le parti pris des médias qui n'en parle jamais et se focalise sur le Hamas.

Le Monde est complice, et les juifs sont leurs propres ennemis et propre vecteur d'antisémitisme par leur comportement
 
A propos de l’autonomie palestinienne, le texte dit ceci : « Le gouvernement d’Israël rejette catégoriquement l’établissement d’un Etat arabe palestinien à l’ouest du Jourdain. Les Palestiniens peuvent mener leur vie librement dans le cadre d’une autonomie mais pas en tant qu’Etat indépendant et souverain. Ainsi par exemple, en matière d’affaires étrangères, de sécurité, d’immigration et d’écologie, leur activité sera limitée pour se conformer aux impératifs de l’existence d’Israël, de sa sécurité et de ses besoins nationaux ».

Les nappes phréatiques représentent une menace pour l'Etat israelien.

Il est important de les contrôler et ce afin d'en faire une ressource nationale (vol préventif :rolleyes: ) tout en privant les personnes légitimes de s'en servir.



Concernant l'immigration, pour Israel, il faut à tout prix éviter le repeuplement de la Cisjordanie par les populations palestiniennes se trouvant chez leurs voisins.

Trop de monde aujourd'hui, signifie plus d'effort pour les chasser demain.
 
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