la collecte des céréales une hausse de 85% que de la précédente campagne

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la collecte des céréales s’élève à 7,52 millions qx au 15 juin
Soit une hausse de 85% par rapport à la même période de la précédente campagne



La collecte cumulée des céréales a atteint, au 15 juin courant, quelque 7,52 millions de quintaux, soit une hausse de 67% par rapport à la moyenne des cinq dernières années et de 85% par rapport à la période correspondante lors de la campagne précédente, indique l'Office national interprofessionnel des céréales et légumineuses (ONICL).
Cette collecte est constituée presque exclusivement de blé tendre (7,50 millions qx), précise l'Office qui vient de publier les statistiques sur la commercialisation des céréales et des légumineuses de la récolte 2009, rapporte l’agence Maghreb Arabe Presse (MAP).
Par groupe d'opérateurs, les commerçants ont intervenu à hauteur de 74% dans le volume total collecté au 15 juin courant, contre 79% lors de la campagne précédente à la même date.
Pour leur part, les coopératives et les minotiers ont réalisé 15% et 11% respectivement de ce total, contre 9% et 12% une année auparavant.
Par ailleurs, l’ONICL affirme que 50% de la collecte globale du blé tendre est répartie à part égale entre la région de Fès-Boulemane et celle de Doukkala-Abda. La région de Souss-Massa-Draa, elle, s'est accaparée 19% de la collecte enregistrée au 15 juin.
Signalons que l'ONICL s'attend à une production céréalière avoisinant les 102 millions qx lors de l'actuelle campagne, en progression de 99 pc par rapport à la production de la campagne précédente et 77% par rapport à la moyenne des cinq dernières années.

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Conservation et utilisation du blé
Le problème de la conservation du blé est très délicat. Pour éviter que les récoltes ne pourrissent ou que se forment des moisissures pendant le stockage, il faut attendre, pour moissonner, que les grains soient parfaitement mûrs et secs.
Le taux d'humidité ne devrait pas dépasser 14 à 15 % du poids du grain. La plus grosse partie de la récolte est recueillie dès la moisson par des organismes stockeurs qui disposent de silos de grande capacité. Certains agriculteurs qui disposent de moyens suffisants, stockent leur blé à la ferme.
Les silos construits autrefois en bois, sont maintenant, généralement en béton armé, parfois en métal. Le blé à l'intérieur est à l'abri du froid, de la chaleur et de l'humidité. Ils sont divisés en cellules à parois lisses, parfaitement étanches. De nombreux systèmes de séchage, par ventilation d'air chaud, ont été mis au point et permettent d'assurer la conservation du grain de blé dans de bonnes conditions.
Les moulins disposent également de silos qui leur permettent de s'approvisionner régulièrement et d'avoir toujours sur place une quantité de grains suffisante à leurs besoins. Le transport du blé s'effectue par train, par camion, par péniche ou par bateau, et le plus souvent livré en vrac.

http://www.boulangerie.net/MP/InfoBlefar.html#ble
 
L'année dernière n'avaient pas été bonne.
Avec les pluies de cette année, ça ne pouvait pas être pire.
 
L'année dernière n'avaient pas été bonne.
Avec les pluies de cette année, ça ne pouvait pas être pire.

Azul,

voila .... lmohim ce qui intersse le consomateur et le flah c est le prix de cereales..
facto le prix de cereales ne va pas dimunier radicalement .. donc aucain infliance sur le prix que on produit bcp ou moins ..
 
Céréales: Enfin, un stock de sécurité

· La capacité portée à plus de 49 millions de quintaux

· La récolte exceptionnelle se confirme

· Les prix du blé tendre jugés satisfaisants

«Le processus de restructuration de la filière céréalière est sur de bons rails». Le constat est dressé par Ahmed Ouayach, président de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (Comader). C’était à l’occasion d’une tournée organisée mercredi dernier dans la région de Chaouia-Ourdigha. Selon Aziz Akhannouch, qui était accompagné des professionnels de la filière, l’objectif «est de s’enquérir sur le terrain du déroulement de la campagne de collecte du blé tendre». Et pour cause! «Le risque d’une dégringolade des prix de cette céréale n’était pas écarté», reconnaît le ministre de l’Agriculture. Du fait de l’importance de l’actuelle récolte mais aussi en raison du niveau des stocks provenant de l’importation. Ainsi le démarrage de la commercialisation s’est caractérisé par des prix bas sans commune mesure avec le prix de référence fixé à 270 DH/ql (cf. www.leconomiste.com). Mais la situation s’est redressée à partir de la 3e décade de juin dernier.
Actuellement, la moyenne des prix payés par les commerçants, qui concentrent 60% du volume, est de l’ordre de 262 DH/ql. Elle s’élève à 263 DH/ql chez les minoteries et se situe aux alentours de 250 DH auprès des coopératives. Mais faut-il encore préciser que ces dernières prennent en charge le transport et la manutention. Cette revalorisation des prix «fait suite à une campagne de sensibilisation des opérateurs et des agriculteurs sur les mesures arrêtées par la tutelle», signale Akhannouch.
A tel point que certaines unités de collectes visitées affichent le prix de référence bien visible à l’entrée des locaux administratifs. Mais au-delà, les quatre sites visités permettent de se fixer sur l’étendue des avancées enregistrées par la filière.

economiste
 
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