Cependant, de multiples faits historiques et les différentes
positions prises par cette organisation par le passé montrent que l’image qu’elle s’est forgée d’elle-même n’est pas aussi dorée qu’il n’y paraît à première vue.
Dans le contexte de la confrontation entre le gouvernement marocain et Amnesty International, tout ralliement hâtif à un parti au détriment de l’autre empêcherait la production d’analyse sereine et donc de parvenir à des conclusions objectives. Or il ne fait aucun doute que le Maroc devrait permettre aux gens de s’exprimer librement sans risque d’emprisonnement ou de harcèlement, de défendre la liberté d’expression et de promouvoir l’existence d’une pluralité de voix dans son paysage médiatique.
Il est également vrai que bien que le pays ait fait des progrès notables dans le domaine des droits de l’homme au cours des dernières décennies, le Maroc a également encore un long chemin à parcourir en termes d’amélioration de son bilan en matière de droits de l’homme et de l’aligner sur les normes internationales.
Ceci étant dit, le rapport qu’Amnesty International a publié le 22 juin, sur les allégations d’espionnage par le gouvernement marocain contre le journaliste marocain Omar Radi et d’autres militants, suscitent des interrogations quant aux intentions de cette organisation. Il met en lumière le deux poids deux mesures que cette organisation internationale de défense des droits de l’homme utilise dans la rédaction de ses rapports.
positions prises par cette organisation par le passé montrent que l’image qu’elle s’est forgée d’elle-même n’est pas aussi dorée qu’il n’y paraît à première vue.
Dans le contexte de la confrontation entre le gouvernement marocain et Amnesty International, tout ralliement hâtif à un parti au détriment de l’autre empêcherait la production d’analyse sereine et donc de parvenir à des conclusions objectives. Or il ne fait aucun doute que le Maroc devrait permettre aux gens de s’exprimer librement sans risque d’emprisonnement ou de harcèlement, de défendre la liberté d’expression et de promouvoir l’existence d’une pluralité de voix dans son paysage médiatique.
Il est également vrai que bien que le pays ait fait des progrès notables dans le domaine des droits de l’homme au cours des dernières décennies, le Maroc a également encore un long chemin à parcourir en termes d’amélioration de son bilan en matière de droits de l’homme et de l’aligner sur les normes internationales.
Ceci étant dit, le rapport qu’Amnesty International a publié le 22 juin, sur les allégations d’espionnage par le gouvernement marocain contre le journaliste marocain Omar Radi et d’autres militants, suscitent des interrogations quant aux intentions de cette organisation. Il met en lumière le deux poids deux mesures que cette organisation internationale de défense des droits de l’homme utilise dans la rédaction de ses rapports.