Le projet de gazoduc oriental Chine-Russie est prêt. Cet important canal énergétique pour le pays, a été achevé et entre dans la phase finale de préparation avant la mise en production. Le gazoduc oriental Chine-Russie s'étend sur 5 111 kilomètres et il pourra fournir 38 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an à plusieurs régions chinoises.
Avec notre correspondante à Pékin, Clea Broadhurst
Une fois pleinement opérationnel, le gazoduc Chine-Russie, surnommé « Force de Sibérie » pourra répondre aux besoins annuels en gaz de 130 millions de ménages urbains dans les régions du nord-est de la Chine.
En fournissant du gaz naturel, une énergie plus propre que le charbon, il devrait, une fois à pleine capacité, réduire les émissions de dioxyde de carbone de 162 millions de tonnes et celles de dioxyde de soufre de 1,82 million de tonnes chaque année.
Enfin, pour Pékin, qui dépend encore fortement du charbon, ce projet s’inscrit dans ses objectifs climatiques, visant un pic d’émissions de carbone d’ici 2030 et la neutralité carbone à l’horizon 2060.
RFI
Avec notre correspondante à Pékin, Clea Broadhurst
Une fois pleinement opérationnel, le gazoduc Chine-Russie, surnommé « Force de Sibérie » pourra répondre aux besoins annuels en gaz de 130 millions de ménages urbains dans les régions du nord-est de la Chine.
En fournissant du gaz naturel, une énergie plus propre que le charbon, il devrait, une fois à pleine capacité, réduire les émissions de dioxyde de carbone de 162 millions de tonnes et celles de dioxyde de soufre de 1,82 million de tonnes chaque année.
Source de revenus essentielle pour Moscou
C’est un renforcement du partenariat stratégique croissant entre Pékin et Moscou dans le domaine énergétique. Pour la Chine, il permet de diversifier ses importations d’énergie, réduisant ainsi sa dépendance au Moyen-Orient et aux routes maritimes, vulnérables aux tensions géopolitiques comme dans le détroit de Malacca.Enfin, pour Pékin, qui dépend encore fortement du charbon, ce projet s’inscrit dans ses objectifs climatiques, visant un pic d’émissions de carbone d’ici 2030 et la neutralité carbone à l’horizon 2060.
RFI