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La contraception a amélioré les conditions de vie des femmes : Les Marocaines maîtrisent mieux leur fécondité
La contraception a amélioré les conditions de vie des femmes : Les Marocaines maîtrisent mieux leur fécondité
Quatre naissances par seconde, 8 à 10 milliards d'habitants sur la planète en 2050. Des chiffres qui interpellent, en cette Journée mondiale de la population, sur l'urgence et l'importance des questions de population, notamment dans le cadre des plans et programmes généraux de développement et sur la nécessité de trouver des solutions. Bon nombre de défis sont à relever.
La question du rapport entre la démographie et les ressources terrestres a toujours été d'actualité. Elle est indissociable d'un débat sur l'inégale utilisation de ces ressources, qui se fait principalement au profit des pays industrialisés. Ces derniers, qui représentent 20 % de la population mondiale, détiennent 80 % des richesses du globe, et les sept pays les plus industrialisés produisent à eux seuls près des deux tiers de la richesse mondiale.
En Afrique subsaharienne et en Asie, la pauvreté frappe 40 % de la population. Selon la FAO, 800 millions de personnes souffrent de la faim. La pénurie n'est pas consécutive au surpeuplement, mais à la désorganisation politique et économique des pays. Mais le phénomène qui dérange le plus demeure encore et toujours la mauvaise répartition des richesses. On assiste à un gaspillage de la nourriture d'un côté et de la prolifération de la famine de l'autre.
Les pronostics des Nations unies quant à la population mondiale pour la fin du siècle, vont jusqu' à plus de 15 milliards en 2100. Les démographes ne cachent pas leur étonnement devant la chute vertigineuse de la fécondité en Asie de l'Est, qui a commencé dans les années 1960 et 1970. À l'inverse, l'essor démographique en Afrique, malgré l'épidémie de sida, surprend tout autant les experts. Il n'est pas exclu, d'après l'ONU que la population africaine avoisine les 3,4 milliards en 2100.
Au Maroc, une nette évolution a été enregistrée suite, à la fois, aux efforts et mécanismes installés par les pouvoirs publics afin de mieux réguler les naissances et au changement des mentalités.
source:Libération
La contraception a amélioré les conditions de vie des femmes : Les Marocaines maîtrisent mieux leur fécondité
La contraception a amélioré les conditions de vie des femmes : Les Marocaines maîtrisent mieux leur fécondité
Quatre naissances par seconde, 8 à 10 milliards d'habitants sur la planète en 2050. Des chiffres qui interpellent, en cette Journée mondiale de la population, sur l'urgence et l'importance des questions de population, notamment dans le cadre des plans et programmes généraux de développement et sur la nécessité de trouver des solutions. Bon nombre de défis sont à relever.
La question du rapport entre la démographie et les ressources terrestres a toujours été d'actualité. Elle est indissociable d'un débat sur l'inégale utilisation de ces ressources, qui se fait principalement au profit des pays industrialisés. Ces derniers, qui représentent 20 % de la population mondiale, détiennent 80 % des richesses du globe, et les sept pays les plus industrialisés produisent à eux seuls près des deux tiers de la richesse mondiale.
En Afrique subsaharienne et en Asie, la pauvreté frappe 40 % de la population. Selon la FAO, 800 millions de personnes souffrent de la faim. La pénurie n'est pas consécutive au surpeuplement, mais à la désorganisation politique et économique des pays. Mais le phénomène qui dérange le plus demeure encore et toujours la mauvaise répartition des richesses. On assiste à un gaspillage de la nourriture d'un côté et de la prolifération de la famine de l'autre.
Les pronostics des Nations unies quant à la population mondiale pour la fin du siècle, vont jusqu' à plus de 15 milliards en 2100. Les démographes ne cachent pas leur étonnement devant la chute vertigineuse de la fécondité en Asie de l'Est, qui a commencé dans les années 1960 et 1970. À l'inverse, l'essor démographique en Afrique, malgré l'épidémie de sida, surprend tout autant les experts. Il n'est pas exclu, d'après l'ONU que la population africaine avoisine les 3,4 milliards en 2100.
Au Maroc, une nette évolution a été enregistrée suite, à la fois, aux efforts et mécanismes installés par les pouvoirs publics afin de mieux réguler les naissances et au changement des mentalités.
source:Libération