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Let's duck face
Légalité de la bestialité au Canada, les défenseurs des animaux scandalisés https://fr.sputniknews.com/international/201606101025733479-canada-zoophilie-legalisation/
La Cour suprême canadienne a statué sur la définition du crime de bestialité. Selon les juges, la pénétration est nécessaire pour qu'un crime de bestialité soit commis.
Cette décision juridique fait suite au procès d'un homme reconnu coupable d'agressions sexuelles sur ses belles-filles pendant plusieurs années, et condamné à 16 ans de prison. Un des chefs d'accusation à son encontre était d'avoir forcé une de ses belles-filles à commettre des actes de bestialité.
Mais comme l'accusé a plaidé que la définition traditionnelle de la bestialité, qui trouve ses racines dans la Common Law, nécessitait un élément de pénétration, il a été acquitté de ce chef d'inculpation.
Les associations des droits des animaux ont vivement critiqué ce jugement. Selon une porte-parole du groupe Animal Justice, citée par Lapresse.ca, "C'est un signal d'alarme quant au fait que les lois sur la protection des animaux sont totalement archaïques au Canada".
Mais ce n'est pas à la Cour de statuer sur la définition, mais au Parlement. Seulement, comme la Cour suprême a voté à six contre un la définition actuellement en vigueur, difficile de croire en une révolution, ce qui ne manque pas d'inquiéter les défenseurs des animaux.
La Cour suprême canadienne a statué sur la définition du crime de bestialité. Selon les juges, la pénétration est nécessaire pour qu'un crime de bestialité soit commis.
Cette décision juridique fait suite au procès d'un homme reconnu coupable d'agressions sexuelles sur ses belles-filles pendant plusieurs années, et condamné à 16 ans de prison. Un des chefs d'accusation à son encontre était d'avoir forcé une de ses belles-filles à commettre des actes de bestialité.
Mais comme l'accusé a plaidé que la définition traditionnelle de la bestialité, qui trouve ses racines dans la Common Law, nécessitait un élément de pénétration, il a été acquitté de ce chef d'inculpation.
Les associations des droits des animaux ont vivement critiqué ce jugement. Selon une porte-parole du groupe Animal Justice, citée par Lapresse.ca, "C'est un signal d'alarme quant au fait que les lois sur la protection des animaux sont totalement archaïques au Canada".
Mais ce n'est pas à la Cour de statuer sur la définition, mais au Parlement. Seulement, comme la Cour suprême a voté à six contre un la définition actuellement en vigueur, difficile de croire en une révolution, ce qui ne manque pas d'inquiéter les défenseurs des animaux.