JUSTICE - Il s'agirait d'un tir accidentel selon l'un des six suspects, toujours en garde à vue
Aurélien Dancelme aurait été tué par accident. C'est en tout cas ce que déclare un des suspects qui aurait également dit être l'auteur de tirs. L'homme aurait fait feu accidentellement au cours d'une rixe, selon une source proche du dossier.
Plusieurs tirs en l'air
Les enquêteurs commencent enfin à y voir plus clair. Interpellés dimanche matin dans le cadre de ce meurtre, cinq hommes de 26 à 29 ans, et une femme de 49 ans, tous Sri Lankais, se trouvaient toujours en garde à vue mardi matin à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris. Les cinq hommes devraient être déférés dans la journée au parquet de Bobigny. Mais les témoignages contradictoires des cinq suspects ne permettraient pas pour le moment de favoriser une des pistes.
Au cours de son audition, un des interpellés, âgé de 28 ans, a expliqué que le policier aurait assisté à une altercation et aurait demandé aux protagonistes de partir. Ne se faisant pas entendre, il aurait alors fait état de sa qualité de policier et se serait fait frapper. Il aurait ensuite sorti son arme et aurait été désarmé par le suspect de 28 ans. Celui-ci avait indiqué, lors de son audition, avoir tiré plusieurs fois en l'air et au sol, affirmant n'avoir pas visé le policier.
Une rixe qui tourne mal
Lundi, après des informations confuses sur le nombre de balles reçues par la victime, le parquet de Bobigny, s'appuyant sur les résultats de l'autopsie, soulignait que le gardien de la paix de 34 ans avait été tué d'une seule balle l'ayant atteint à la tête, la traversant de part en part. «Un point d'entrée et un point de sortie» de la balle mortelle, qui n'a pas été retrouvée, ont été relevés au niveau de la tête. «Aucune autre lésion par balle n'a été relevée», a précisé le parquet.
Le corps présentait également de nombreuses lésions traumatiques ainsi que des ecchymoses, semblant prouver que le policier avait été battu. «Des traces de blessures défensives» ont aussi été relevées, laissant penser que le policier était toujours en vie à ce moment-là. «Il semblerait que ce soit son arme qui ait servi à le tuer», a ajouté le parquet, «sans certitude cependant», car le projectile n'a pas été retrouvé.
MD avec agence
Aurélien Dancelme aurait été tué par accident. C'est en tout cas ce que déclare un des suspects qui aurait également dit être l'auteur de tirs. L'homme aurait fait feu accidentellement au cours d'une rixe, selon une source proche du dossier.
Plusieurs tirs en l'air
Les enquêteurs commencent enfin à y voir plus clair. Interpellés dimanche matin dans le cadre de ce meurtre, cinq hommes de 26 à 29 ans, et une femme de 49 ans, tous Sri Lankais, se trouvaient toujours en garde à vue mardi matin à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris. Les cinq hommes devraient être déférés dans la journée au parquet de Bobigny. Mais les témoignages contradictoires des cinq suspects ne permettraient pas pour le moment de favoriser une des pistes.
Au cours de son audition, un des interpellés, âgé de 28 ans, a expliqué que le policier aurait assisté à une altercation et aurait demandé aux protagonistes de partir. Ne se faisant pas entendre, il aurait alors fait état de sa qualité de policier et se serait fait frapper. Il aurait ensuite sorti son arme et aurait été désarmé par le suspect de 28 ans. Celui-ci avait indiqué, lors de son audition, avoir tiré plusieurs fois en l'air et au sol, affirmant n'avoir pas visé le policier.
Une rixe qui tourne mal
Lundi, après des informations confuses sur le nombre de balles reçues par la victime, le parquet de Bobigny, s'appuyant sur les résultats de l'autopsie, soulignait que le gardien de la paix de 34 ans avait été tué d'une seule balle l'ayant atteint à la tête, la traversant de part en part. «Un point d'entrée et un point de sortie» de la balle mortelle, qui n'a pas été retrouvée, ont été relevés au niveau de la tête. «Aucune autre lésion par balle n'a été relevée», a précisé le parquet.
Le corps présentait également de nombreuses lésions traumatiques ainsi que des ecchymoses, semblant prouver que le policier avait été battu. «Des traces de blessures défensives» ont aussi été relevées, laissant penser que le policier était toujours en vie à ce moment-là. «Il semblerait que ce soit son arme qui ait servi à le tuer», a ajouté le parquet, «sans certitude cependant», car le projectile n'a pas été retrouvé.
MD avec agence