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a été officiellement démentie par les portes parole de l'allianceSelon une information parue dans lédition dhier du quotidien espagnol El Pais
celle là aussipar usinenouvelle 30.01.2009
La seconde est que le groupe japonais doit trouver un autre endroit pour produire la petite fourgonnette, dont la production était initialement prévue à lusine de Tanger-Med. El Pais dira par ailleurs que Barcelone pourrait être une excellente alternative de substitution.
dans la mesure où l'alliance économisera sur l'investissement puisque les sites existent déjà sur place (2 même !)A partir de là, je ne comprend pas comment Barcelone pourrait être un meilleur choix que Tanger en sachant que Tanger-Med est appelé à être un port important et que l'ouvrier marocain touche beaucoup moins que l'ouvrier espagnol.
a été officiellement démentie par les portes parole de l'alliance
celle là aussi
il n'y a-t-il pas autres choses de plus crédible ?
effectivement !Nissan confirme qu'il réétudie le projet d'usine à Tanger avec Renault
ou bien le titre que tu as misLe quotidien espagnol El Pais a affirmé vendredi que Nissan a décidé de se retirer de ce projet, annoncé en 2007. L'usine, qui doit être mise en service à Tanger en 2010, représente un investissement de 600 millions d'euros.
je tiens à te faire savoir que ça a été démentiLa crise économique frappe au Maroc: Nissan abandonne son projet à Tanger
je tiens à te faire savoir que ça a été démenti![]()
23 janv. 2009 RABAT (AFP) —
Le constructeur automobile japonais Nissan a cependant indiqué vendredi à Tokyo qu'il était en train de réétudier sa participation au projet d'usine commune à Tanger, en raison de la crise économique mondiale."Nous sommes actuellement en train d'étudier des délais et des reports de certains de nos projets, y compris celui au Maroc", a déclaré la porte-parole de Nissan Pauline Kee.
"Mais à ce stade, rien n'est encore confirmé et il n'y a rien à annoncer", a-t-elle ajouté.Le quotidien espagnol El Pais a pour sa part affirmé vendredi que Nissan a décidé de se retirer de ce projet, annoncé en 2007.
Le journal, qui cite des "sources au fait des projets de Nissan", précise que la décision de se retirer du projet a été prise lundi par la direction du groupe japonais.Le quotidien note que la conséquence de cette décision du constructeur japonais est que Renault va construire seul une usine plus petite.
D'autre part, Nissan va devoir chercher un autre site pour construire les fourgonnettes qu'il souhaitait monter à Tanger, et Barcelone (nord-est de l'Espagne), où le groupe possède deux sites de production, pourrait être retenue, selon El Pais.
c'est une re-confirmation, il n'y a donc aucain démenti de la part de Nissan sur les informations rapporté par l'AFP et El Pais.
Maroc: retard probable pour la première Renault construite à Tanger
23 janv. 2009
RABAT (AFP) La sortie de la première Renault construite dans la future usine Renault Nissan près de Tanger (nord) "pourrait être repoussée de quelques mois", a déclaré vendredi Zineb El Jiazouli, responsable de la communication commerciale du constructeur français au Maroc.
"L'ensemble du projet industriel Renault Nissan (au Maroc) continue, comme les travaux de terrassement pour la future usine" du groupe, sur la zone franche de Meloussa, a indiqué Zineb El Jiazouli.
d'abord il fallait écrire ça ! pour bien mettre les choses au clairDans ce cas, il faut que tu nous donne une source officielle crédible de Nissan qui démenti l'info rapporté par l'AFP et El Pais.
Dans ce cas, il faut que tu nous donne une source officielle crédible de Nissan qui démenti l'info rapporté par l'AFP de El Pais.
Supputations. Des journaux parlent de l'arrêt du projet Renault Tanger-Méditerranée. Renault répond que c'est de la pure spéculation.
Le projet industriel de l'alliance Renault-Nissan à Tanger fait l'objet de spéculations dans la presse», c'est la réponse de la responsable en communication de Renault Maroc, Zineb El Jazouli. Par cette déclaration, elle fait, bien sûr allusion à l'information publiée par le quotidien espagnol ‘'El Pais''. Ce journal avait laissé entendre que le constructeur automobile japonais Nissan «a décidé de se retirer du projet de la construction d'une usine d'assemblage de voitures en partenariat avec Renault».Revenons un peu en arrière pour comprendre plus clairement les contours de cette affaire.
Le 1er septembre 2007, sous la présidence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Driss Jettou, alors Premier ministre, et Carlos Ghosn, président de Renault et président de Nissan, «un protocole d'intention portant sur les modalités d'implantation d'un complexe industriel dans la région de Tanger» avait été signé. Renault, Nissan et le Royaume du Maroc s'étaient sont engagés à étudier les modalités d'implantation d'un complexe industriel comprenant une usine d'assemblage située sur un terrain de 300 hectares de la Zone économique spéciale de Tanger- Méditerranée et utilisant la plateforme portuaire du port de Tanger-Med. Ce complexe industriel devait bénéficier des infrastructures logistiques de pointe développées par le Maroc dans le cadre de Tanger- Med.
Les précisions allaient plus loin. Il était précisé que la capacité installée serait de 400.000 véhicules, avec dans une première étape, une capacité opérationnelle de 200.000 véhicules à partir de 2010. Le montant des investissements capacitaires prévus pour ce projet était estimé à 600 millions d'euros, avec une première phase de 350 millions d'euros. A ce montant s'ajouterait un investissement spécifique compris entre 200 et 400 millions d'euros, en fonction de la variété des véhicules produits.Dans ce cadre, de part et d'autre, l'objectif tracé était clair. Ce site, managé par Renault, était destiné à compléter le dispositif industriel de Renault pour les véhicules économiques dérivés de la plate-forme Logan et celui de Nissan pour la fabrication de véhicules utilitaires de nouvelle génération. Même la vision était claire. Ces véhicules seraient destinés à l'exportation à 90%. Du côté marocain, ce projet conduirait à la création de près de 6.000 emplois directs et de 30.000 autres indirects. Avec ces 6.000 emplois directs, l'alliance Renault-Nissan devait être considérée comme l'un des principaux employeurs industriels de la région de Tanger. Elle s'engageait à former et accompagner le développement des compétences de ses employés locaux.
Ensuite, le 18 janvier 2008, avec le gouvernement Abass Fassi, les termes de ce protocole d'accord ont été entérinés. Un accord -cadre et six accords d'application ont été signés.Par la signature de ces accords, l'alliance Renault-Nissan avait confirmé «la réalisation du projet d'implantation d'un complexe industriel dans la région de Tanger». Le 30 octobre, les trois partenaires sont passés à l'étape de concrétisation. Une convention a été signée pour la mise en place du Centre de formation aux métiers de l'automobile de Tanger- Méditerranée (CFMA/TM). Cette convention s'insère, évidement, dans le cadre de l'accord- cadre signé le 18 janvier 2008. Dans cette convention, l'Etat concède à Renault Tanger- Méditerranée (RTM) la réalisation et la gestion du CFMA/TM dans le cadre d'un partenariat public-privé.
Ce centre devrait être opérationnel à partir du 1er mars 2010 et avoir pour mission d'assurer au personnel composé d'opérateurs, de techniciens et de cadres des formations à l'embauche et des formations continues en vue de répondre aux besoins en compétences de l'usine prévue et des équipementiers automobiles.
Qu'est-ce qui a changé donc ? Effectivement, les travaux concernant la construction de l'usine sont lancés. Puis est venue la crise financière qui a touché tous les secteurs, y compris les constructeurs de voitures.
Ce sont des journaux qui ont lancé la rumeur comme quoi le projet de RTM sera retiré. Alors que les responsables des deux marques de voitures n'ont rien déclaré.
Un des responsables de Nissan (qui semble être le constructeur le plus touché par la crise) a affirmé: «Nous sommes actuellement en train d'étudier des délais et des reports de certains de nos projets, y compris celui au Maroc. Mais à ce stade, rien n'est encore confirmé et il n'y a rien à annoncer». Ce sont là les propos de Pauline Kee, porte-parole de Nissan.La chargée de communication de Renault Maroc, Zineb El Jazouli, nous a expliqué la situation plus clairement. Elle a dit : «Le projet industriel de l'alliance Renault-Nissan n'est pas remis en question. Les travaux de terrassement continuent, même s'ils ont été affectés par le mauvais temps qui s'est abattu sur le Maroc ces derniers mois.
Néanmoins, en cette période de crise financière et économique, les projets concernant les véhicules de Renault pourraient être repoussés de quelques mois. Nissan étudie l'optimisation des investissements concernant ses véhicules utilitaires. Des études sont en cours et, à ce stade, nous n'avons pas de commentaire à faire sur leurs conclusions. L'alliance Renault-Nissan et le Royaume du Maroc travaillent d'arrache-pied pour trouver les meilleures solutions dans l'intérêt de toutes les parties concernées». C'est dire qu'en dehors de communiqués officiels émanant des entités qui s'étaient engagées, solennellement, dans le cadre d'un «accord définitif», toute autre allégation ne sera que pure spéculation.
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Centre de formation dédié à Renault
Un Centre de formation aux métiers de l'automobile de Tanger-Méditerranée (CFMA/TM) a fait l'objet d'une convention selon laquelle le Maroc concède à Renault Tanger-Méditerranée (RTM) la réalisation et la gestion de ce centre.Il serait opérationnel, selon les termes de cette convention, à partir du 1er mars 2010. Il a pour mission d'assurer, au personnel composé d'opérateurs, de techniciens et de cadres, des formations à l'embauche et des formations continues en vue de répondre aux besoins en compétences de RTM et des équipementiers automobiles.
Des formations pour des opérateurs dans les écoles de dextérité dans 15 métiers de l'automobile dans les filières de l'emboutissage, de la tôlerie, de la peinture, du montage, de la logistique et du contrôle seront dédiées aux salariés de RTM. Les formations de professionnels et de techniciens de maintenance dans les filières de l'hydraulique, de l'électromécanique, de l'électronique industrielle, de la mécanique, de la soudure et de la manutention, ainsi que les formations dans les domaines connexes aux métiers de l'automobile notamment les achats, la qualité, la logistique, l'ingénierie, la gestion et les ressources humaines bénéficieront conjointement aux employés de RTM et des équipementiers automobiles.
source: lemtin.ma
et voilà le démenti:
Un des responsables de Nissan (qui semble être le constructeur le plus touché par la crise) a affirmé: «Nous sommes actuellement en train d'étudier des délais et des reports de certains de nos projets, y compris celui au Maroc. Mais à ce stade, rien n'est encore confirmé et il n'y a rien à annoncer». Ce sont là les propos de Pauline Kee, porte-parole de Nissan.
Matin.ma
Pauline Kee,le porte-parole de Nissan n'a pas pas démenti l'information rapporté par l'AFP et El Pais.C'est donc une re-confirmation.
La crise économique frappe au Maroc: Nissan abandonne son projet à Tanger
par usinenouvelle 30.01.2009
Nissan vient, lui, d'annoncer qu'il renonçait à son projet commun avec Renault à Tanger.
source: usinenouvelle.com
Je pense pas que c'est la crise qui frappe
je pense que le marché intérieur marocain ne connaitra pas la crise
Pauline Kee,le porte-parole de Nissan n'a pas pas démenti l'information rapporté par l'AFP et El Pais.C'est donc une re-confirmation.
Je pense pas que c'est la crise qui frappe
mais plutot les multinationales touchaient par la crise mondiale qui préfére jouer la carte de la sécurité et freiner leurs investissements.
je pense que le marché intérieur marocain ne connaitra pas la crise
Tu penses que tout ce que le Maroc produit est consommé sur place ? Le Maroc exporte beaucoup et forcément quand la demande extérieure baisse, c'est l'économie à l'échelle nationale qui trinque.
J'ai lu plusieurs articles de professionnels du textile, gros pourvoyeurs d'emplois qui tirent la sonnette d'alarme (baisse des commandes, ligne de production à l'arrêt, chômage technique...). Logique puisque la production part souvent pour l'étranger mais peut être mentent ils ?
Même chose pour le secteur automobile avec les sous traitants qui voient leur carnet de commande fondre comme neige au soleil.
Autre secteur qui rapporte de l'argent, le tourisme. Encore une fois, si "l'étranger" se fait rare en raison d'un porte monnaie plus léger, c'est l'économie nationale marocaine qui trinque.
On apprend que Renault repousse son projet à Tanger et que Nissan (à confirmer) se tâte. On apprend aussi que le textile souffre, que le tourisme risque d'en pâtir, que des licenciements dans des sociétés étrangères installées au Maroc (St Micro Electronics) vont avoir lieu et on croit toujours que la crise, se sera pour les autres pays.
Pour se rassurer, on avance quoi ? Le taux de croissance. Wow au Maroc il est supérieur à 6%. A t on pour autant au Maroc, la prospérité, un taux de chômage bas, une population pauvre assez réduite et des sociétés marocaines qui s'imposent à l'étranger ?
Quand je suis au Maroc, je ne vois pas tout cela.
Tu penses que tout ce que le Maroc produit est consommé sur place ? Le Maroc exporte beaucoup et forcément quand la demande extérieure baisse, c'est l'économie à l'échelle nationale qui trinque.
J'ai lu plusieurs articles de professionnels du textile, gros pourvoyeurs d'emplois qui tirent la sonnette d'alarme (baisse des commandes, ligne de production à l'arrêt, chômage technique...). Logique puisque la production part souvent pour l'étranger mais peut être mentent ils ?
Même chose pour le secteur automobile avec les sous traitants qui voient leur carnet de commande fondre comme neige au soleil.
Autre secteur qui rapporte de l'argent, le tourisme. Encore une fois, si "l'étranger" se fait rare en raison d'un porte monnaie plus léger, c'est l'économie nationale marocaine qui trinque.
On apprend que Renault repousse son projet à Tanger et que Nissan (à confirmer) se tâte. On apprend aussi que le textile souffre, que le tourisme risque d'en pâtir, que des licenciements dans des sociétés étrangères installées au Maroc (St Micro Electronics) vont avoir lieu et on croit toujours que la crise, se sera pour les autres pays.
Pour se rassurer, on avance quoi ? Le taux de croissance. Wow au Maroc il est supérieur à 6%. A t on pour autant au Maroc, la prospérité, un taux de chômage bas, une population pauvre assez réduite et des sociétés marocaines qui s'imposent à l'étranger ?
Quand je suis au Maroc, je ne vois pas tout cela.
1-
l'info est diffusée par EL PAIS (selon ses propres sources proches du dossier, dont il n'a pas révélé les noms)
)
Le taux de chômage a considérablement baissé par rapport à quelques années,
El Pais dira par ailleurs que Barcelone pourrait être une excellente alternative de substitution. Aussi, comme pour appuyer ce vu, notre confrère espagnol citera le vice-président financier de Nissan Europe, Eric Nicolas, qui aurait déclaré à la chaîne TV3 que «Barcelone serait un bon candidat».
je tiens à te faire savoir que ça a été démenti![]()
3- et le porte parole de Renault Maroc et le porte parole de Nissan europe (car il n'y pas de porte parole Nissan au Maroc)ont démenti les nouvelles d'EL PAIS
On verra bien que j'ai raison![]()
Donc, pour mettre les choses au clair, Nissan n'a pas abandonné le projet elle reste avec Renault a Tanger, elle va seulement le reetudier a cause de la crise qui l'a tapé de plein fouet.
En ce qui concerne ElPais, le journal est entrain de mener une campagne anti-Maroc, ils ont un probleme avec Tanger-Med et cette usine qui les inquiette pour leur interets.
A lala la propagande ^^
la crise frappe le maroc depuis de très longues années , alors c'est pas quelque chose de nouveau chez nous !