La deuxième droite - documentaire

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Résumé : Le 10 mai 1981, François Mitterrand devient président de la République.

Les illusions de la gauche tiennent jusqu'au fameux "tournant de la rigueur" en 1983. Dès 1981, Jean-Pierre Garnier et Louis Janover faisaient partis des sceptiques sur la volonté de changement de cap.

En 1986, ils co-écrivent "La deuxième droite" pour répondre à ceux qui s'auto-proclamaient "deuxième gauche", une gauche moderne, entrepreneuriale. Jean-Pierre Garnier est au moins d'accord sur un point avec Manuel Valls : il faut changer le nom du parti socialiste. J-P Garnier propose de le rebaptiser : le Parti de Solférino.

Un an après le retour aux affaires du PS, un an après le retour d'un François au château, l'analyse de J-P Garnier sonne comme un claquement de fouet... ça réveille ! A l'occasion de la sortie de la nouvelle édition du livre "La deuxième droite" chez les éditions Agone (http://agone.org/contrefeux/ladeuxiemedroite), et du premier anniversaire du retour aux affaires du Parti Solférinien, nous mettons à disposition ici, en libre circulation, une vidéo réalisée dans notre série des entretiens mutins (contre la pensée tiède). "


 
C'es très intéressant.
Ma conviction c'est que demander à ce qu'actuellement la France soit gouvernée avec des idées de "droite" ou de "gauche" est une hérésie.
En fonction de l'état préoccupant de l'économie de notre pays il y a UNE manière de la prendre en charge pour y trouver
des solutions. Elle n'est à mes yeux ni de droite ni de gauche, mais celle qui conviendrait pour refaire surface.
Elle est sans étiquette, mais tout simplement assez audacieuse pour permettre au pays de sortir la tête de l'eau.
Parler de droite ou de gauche aujourd'hui me semble absurde, il faut dépasser ces idées trop restrictives.
Le pays a besoin de vraies réformes, d'un vrai changement ou d'une vraie restructuration, avec la mentalité
des français ce n'est pas gagné certes mais si un homme inspirant une vraie confiance surgissait on pourrait avancer.
Sans chercher à savoir si sa politique est de gauche ou de droite.
 
Garnier a comparé le "Je suis Charlie" placardé et surgissant un peu partout à la propagande exercée en Corée du Nord......

S'il est vrai que nous avons tous compris une fois l'émotion et l'effet de surprise passés que Hollande avait su magnifiquement exploiter ce drame pour redorer son image en convoquant les dirigeants de tous poils, car ils ne sont pas venus spontanément, la
comparaison entre cette propagande-là et celle qui est exploitée par le pouvoir de la Corée du Nord est quand même déplacée
voire outrancière.

Indépendamment de cela, on ne nous a jamais dit combien cela avait coûté à la France cette réunion de "grands de la terre" car on imagine bien que c'était "tous frais payés"...:(
 
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