Les villes ont été conçues pour la voiture, c’est un fait flagrant. Dans l’espace publique en ville, il y a plus de place pour les voitures que pour les gens (routes et stationnements). Les équipements destinés aux voitures sont en dur, ils ont initialement été conçus pour rester le plus longtemps possible.
Faire de la place aux piétons ou aux cyclistes, qui sont déjà différents entre eux, peut se faire soit en grignotant sur les surfaces précédemment réservées aux voitures, ce qui provoque des crises chez les automobilistes, soit en créant de nouveaux espaces dédiés, ce qui pose problème quand l’espace manque déjà parce que celui dédié aux voitures est déjà important.
Pour des raisons de coûts et d’espace disponible, l’espace rendu aux cyclistes et aux piétons, est donc surtout pris sur l’espace précédemment réservé aux voitures.
Mais partager un espace initialement prévu exclusivement pour les voitures, n’est pas évident. Il se pose plusieurs problèmes. Le premier est la séparation physique entre les deux, les vélos et les piétons étant plus vulnérables que les voitures, mais s’ils occupent l’espace piéton, les cyclistes sont eux‑même une source d’inquiétude. Si sur un trajet cycliste des tronçons sont sûr et d’autres son dangereux, le résultat est un trajet dangereux. Idem pour les piétons s’ils côtoient trop de cyclistes roulant trop vite.
Ce ne sont que des banalités, mais il est utile de poser le cadre pour que tout le monde ait conscience de comment il est perçu par les usagers différents de lui‑même.
Un documentaire de la RTS (Suisse), aborde ce problème en parlant de deux villes Suisses et d’une ville française. Le ton qui se dégage, est qu’on va probablement vers de moins en moins de place pour les voitures, ce qui est déjà cause de crises.
Faire de la place aux piétons ou aux cyclistes, qui sont déjà différents entre eux, peut se faire soit en grignotant sur les surfaces précédemment réservées aux voitures, ce qui provoque des crises chez les automobilistes, soit en créant de nouveaux espaces dédiés, ce qui pose problème quand l’espace manque déjà parce que celui dédié aux voitures est déjà important.
Pour des raisons de coûts et d’espace disponible, l’espace rendu aux cyclistes et aux piétons, est donc surtout pris sur l’espace précédemment réservé aux voitures.
Mais partager un espace initialement prévu exclusivement pour les voitures, n’est pas évident. Il se pose plusieurs problèmes. Le premier est la séparation physique entre les deux, les vélos et les piétons étant plus vulnérables que les voitures, mais s’ils occupent l’espace piéton, les cyclistes sont eux‑même une source d’inquiétude. Si sur un trajet cycliste des tronçons sont sûr et d’autres son dangereux, le résultat est un trajet dangereux. Idem pour les piétons s’ils côtoient trop de cyclistes roulant trop vite.
Ce ne sont que des banalités, mais il est utile de poser le cadre pour que tout le monde ait conscience de comment il est perçu par les usagers différents de lui‑même.
Un documentaire de la RTS (Suisse), aborde ce problème en parlant de deux villes Suisses et d’une ville française. Le ton qui se dégage, est qu’on va probablement vers de moins en moins de place pour les voitures, ce qui est déjà cause de crises.