La consommation de drogues chez les femmes à Tanger commence à prendre des proportions préoccupantes. «Nous sommes tous interpellés par la gravité de ce fléau et devons réagir au plus vite afin de contrecarrer ses effets dévastateurs.
D’autant que les femmes sont parmi les plus touchées par la toxicomanie à Tanger», indique Saïda Chakir, première vice-présidente du maire de Tanger, lors d’une conférence organisée, vendredi 7 mars, à Tanger, sous le thème «La femme et les drogues».
Cette responsable poursuit que la commune urbaine s’est engagée à apporter le soutien à l’Association Hasnouna de soutien aux usagers de drogues, et ce, grâce à un accord de partenariat liant, il y a quelque temps, les deux parties. «Nous invitons d’autres partenaires à s’associer à cette action et d’aider l’Association Hasnouna à mener à bien sa stratégie de proximité visant à prévenir la consommation de drogues et combattre la toxicomanie», souligne Mme Chakir.
Selon Faouzia Bouzitoune, responsable à l’Association Hasnouna, la toxicomanie touche aussi bien les hommes que les femmes de tout âge, mais bien sûr à des proportions différentes. L’intervenante a tenu à préciser que les effets de la toxicomanie sur la santé de la femme, en particulier celles en période de grossesse, sont beaucoup plus graves que chez l’homme. «L’Association Hasnouna à Tanger accueille actuellement quelque 2.000 usagers et usagères de drogues en vue de les aider à surmonter leur addiction. Parmi lesquels, 500 cas s’injectent de la drogue et dont 10% sont des femmes», affirme Mme Bouzitoune.
Les participants à cette rencontre ont convenu que la toxicomanie chez les femmes est une problématique fortement préoccupante. Car les femmes usagères de drogues sont plus menacées, en plus de la désintégration familiale et la marginalisation, des maladies infectieuses et graves, tel le sida. Les participants ont appelé les responsables à se pencher beaucoup plus sur cette problématique pour contrecarrer ses effets par la création de structures de soins de la toxicomanie à Tanger, en particulier dans les quartiers populaires et pauvres. D’autant plus que la ville dispose du seul centre médico-psychologique, dépendant du ministère de la santé et géré par l’Association Hasnouna. Ce centre est composé des services d’accueil et d’accompagnement des usagers de drogues.
http://www.aujourdhui.ma/maroc/soci...armi-les-femmes-a-tanger--108446#.UyNp6Y7S_tI
D’autant que les femmes sont parmi les plus touchées par la toxicomanie à Tanger», indique Saïda Chakir, première vice-présidente du maire de Tanger, lors d’une conférence organisée, vendredi 7 mars, à Tanger, sous le thème «La femme et les drogues».
Cette responsable poursuit que la commune urbaine s’est engagée à apporter le soutien à l’Association Hasnouna de soutien aux usagers de drogues, et ce, grâce à un accord de partenariat liant, il y a quelque temps, les deux parties. «Nous invitons d’autres partenaires à s’associer à cette action et d’aider l’Association Hasnouna à mener à bien sa stratégie de proximité visant à prévenir la consommation de drogues et combattre la toxicomanie», souligne Mme Chakir.
Selon Faouzia Bouzitoune, responsable à l’Association Hasnouna, la toxicomanie touche aussi bien les hommes que les femmes de tout âge, mais bien sûr à des proportions différentes. L’intervenante a tenu à préciser que les effets de la toxicomanie sur la santé de la femme, en particulier celles en période de grossesse, sont beaucoup plus graves que chez l’homme. «L’Association Hasnouna à Tanger accueille actuellement quelque 2.000 usagers et usagères de drogues en vue de les aider à surmonter leur addiction. Parmi lesquels, 500 cas s’injectent de la drogue et dont 10% sont des femmes», affirme Mme Bouzitoune.
Les participants à cette rencontre ont convenu que la toxicomanie chez les femmes est une problématique fortement préoccupante. Car les femmes usagères de drogues sont plus menacées, en plus de la désintégration familiale et la marginalisation, des maladies infectieuses et graves, tel le sida. Les participants ont appelé les responsables à se pencher beaucoup plus sur cette problématique pour contrecarrer ses effets par la création de structures de soins de la toxicomanie à Tanger, en particulier dans les quartiers populaires et pauvres. D’autant plus que la ville dispose du seul centre médico-psychologique, dépendant du ministère de la santé et géré par l’Association Hasnouna. Ce centre est composé des services d’accueil et d’accompagnement des usagers de drogues.
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