Le meurtre de Kristina Joksimovic avait endeuillé la Suisse en février 2024. Elle avait été retrouvée morte près de Bâle, et son compagnon était rapidement devenu le suspect numéro un. La femme de 38 ans était mère de deux enfants, et avait concouru pour devenir miss Suisse en 2008.
Mais l’horreur atteint des sommets avec la publication du contenu de la décision de justice, partagée par le média Berner Zeitung, qui révèle les circonstances de la mort de Kristina. La femme aurait été étranglée, puis son compagnon l’aurait démembré dans la buanderie avec une scie sauteuse, un couteau de cuisine et un sécateur. Le suspect aurait placé plusieurs parties du corps dans un mixeur pour les hacher et tenter de les faire disparaître dans un produit chimique.
D’après les déclarations en février 2024 du suspect, trouvé sa femme morte dans la buanderie et l’aurait démembré dans la panique. Puis, lors d’une reconstitution des faits en mars, il a expliqué qu’il s’en serait pris à sa femme dans un cadre de légitime défense, car elle l’aurait attaqué avec un couteau. Deux versions mises à mal par le rapport médico-légal, désignant l’homme de 41 ans comme le potentiel meurtrier.
L’époux était en instance de divorce avec Kristina Joksimovic, ils étaient mariés depuis 2017 et ont eu deux enfants. Ce coach pour mannequins de 41 ans a présenté des signes "concrets" de "maladie mentale" selon les experts. Le rapport évoque une "volonté d’utiliser la violence avec des traits sadiques". Les faits relèvent un "niveau d’énergie criminelle élevé, d’un manque d’empathie et de sang-froid après avoir tué sa femme".
Mais l’horreur atteint des sommets avec la publication du contenu de la décision de justice, partagée par le média Berner Zeitung, qui révèle les circonstances de la mort de Kristina. La femme aurait été étranglée, puis son compagnon l’aurait démembré dans la buanderie avec une scie sauteuse, un couteau de cuisine et un sécateur. Le suspect aurait placé plusieurs parties du corps dans un mixeur pour les hacher et tenter de les faire disparaître dans un produit chimique.
D’après les déclarations en février 2024 du suspect, trouvé sa femme morte dans la buanderie et l’aurait démembré dans la panique. Puis, lors d’une reconstitution des faits en mars, il a expliqué qu’il s’en serait pris à sa femme dans un cadre de légitime défense, car elle l’aurait attaqué avec un couteau. Deux versions mises à mal par le rapport médico-légal, désignant l’homme de 41 ans comme le potentiel meurtrier.
"Des traits sadiques"
Ces détails atroces ont été dévoilés en même temps que le refus de remise en liberté du suspect, mercredi 11 septembre 2024, par le tribunal fédéral de Lausanne.L’époux était en instance de divorce avec Kristina Joksimovic, ils étaient mariés depuis 2017 et ont eu deux enfants. Ce coach pour mannequins de 41 ans a présenté des signes "concrets" de "maladie mentale" selon les experts. Le rapport évoque une "volonté d’utiliser la violence avec des traits sadiques". Les faits relèvent un "niveau d’énergie criminelle élevé, d’un manque d’empathie et de sang-froid après avoir tué sa femme".
Étranglée, démembrée, passée au mixeur : les révélations atroces du meurtre de Kristina, ancienne candidate de miss Suisse
Plus de 6 mois après le meurtre de Kristina Joksimovic en Suisse, le tribunal révèle ce qui est arrivé à la femme de 38 ans, ancienne finaliste du concours de miss Suisse en 2008.
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