Des Séfarades prennent des patronymes «ashkénazes» pour obtenir l’inscription de leurs enfants dans les séminaires religieux
Pour finir, me direz-vous : mais pourquoi s’embêtent-ils à vouloire inscrire leurs enfants dans une école talmudique ? Que n’étudient-ils pas la chimie ou la sociologie ?
Outre qu’on peut être sincèrement intéressé par les études religieuses, il faut juste savoir que ces écoles permettent l’accès au rabbinat et éventuellement à la capacité à maîtriser la halacha (la loi religieuse juive), c’est-à-dire d’accéder à un pouvoir spirituel et temporel qui se traduit volontiers en espèces sonnantes et trébuchantes (et ceci n’est évidemment pas particulier au judaïsme).
la fracture ouverte entre ashkénazes et séfarades.Les déclarations racistes
un mercenaire de haut rang, membre des commissions de la Défense et des Affaires étrangères de la Knesset, Ori Orr avait déclaré: la communauté juive marocaine d'être «la plus problématique». «Je suis triste parce qu'il n'y a pas, au sein de ces couches-là, la curiosité de connaître leur environnement», déclare-t-il. «Quand je leur parle, je remarque leur manque d'intérêt à m'écouter, à connaître la vie pour savoir ce qui est bon ou mauvais. C'est inquiétant parce que cela ne les concerne pas seulement mais aussi toute la société israélienne»
Pour finir, me direz-vous : mais pourquoi s’embêtent-ils à vouloire inscrire leurs enfants dans une école talmudique ? Que n’étudient-ils pas la chimie ou la sociologie ?
Outre qu’on peut être sincèrement intéressé par les études religieuses, il faut juste savoir que ces écoles permettent l’accès au rabbinat et éventuellement à la capacité à maîtriser la halacha (la loi religieuse juive), c’est-à-dire d’accéder à un pouvoir spirituel et temporel qui se traduit volontiers en espèces sonnantes et trébuchantes (et ceci n’est évidemment pas particulier au judaïsme).
la fracture ouverte entre ashkénazes et séfarades.Les déclarations racistes
un mercenaire de haut rang, membre des commissions de la Défense et des Affaires étrangères de la Knesset, Ori Orr avait déclaré: la communauté juive marocaine d'être «la plus problématique». «Je suis triste parce qu'il n'y a pas, au sein de ces couches-là, la curiosité de connaître leur environnement», déclare-t-il. «Quand je leur parle, je remarque leur manque d'intérêt à m'écouter, à connaître la vie pour savoir ce qui est bon ou mauvais. C'est inquiétant parce que cela ne les concerne pas seulement mais aussi toute la société israélienne»