La guerre de l’information sur l’autodétermination des peuples : le cas de la Kabylie

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PLD (Peace, Love and Diversity)

Le droit des peuples à l’autodétermination (ou droit des peuples à disposer d’eux-mêmes) demeure un pilier du droit international contemporain. Plusieurs nouveaux Etats ont vu le jour sur cette base, depuis l’adoption de la Charte des Nations Unies (1945), rendant ce droit à l’autodétermination actionnable, que ces peuples soient réputés colonisés ou non.

Ce droit à l’autodétermination peut être malencontreusement instrumentalisé, par certaines puissances, qu’elles soient internationales ou régionales. Ainsi, les règles de reconnaissance d’un nouvel Etat sont multiples : reconnaissance par un seul Etat (Ossétie du Sud), par un groupe d’Etats (Kosovo) ou parfois, naissance d’un nouvel Etat même lorsque la majorité de la population s’y oppose (Bosnie-Herzégovine). Il est à souligner que le système international que l’on connait aujourd’hui, permet l’émergence et le maintien de régimes corrompus et totalitaristes, réduisant à néant toute mention de droits humains ou toute tentative d’application de principes démocratiques…

Dans ce cadre, la guerre de l’information voire la stratégie de désinformation initiée à l’encontre de ces peuples autochtones clamant leur droit à disposer d’eux-mêmes, revêt une importance stratégique, pour le maintien du pouvoir central. L’Algérie occupe une place particulière dans ce débat dans la mesure où elle soutient l’autodétermination dans certains cas et qu’elle la renie à la propos de la question kabyle.
 

Le droit des peuples à l’autodétermination (ou droit des peuples à disposer d’eux-mêmes) demeure un pilier du droit international contemporain. Plusieurs nouveaux Etats ont vu le jour sur cette base, depuis l’adoption de la Charte des Nations Unies (1945), rendant ce droit à l’autodétermination actionnable, que ces peuples soient réputés colonisés ou non.

Ce droit à l’autodétermination peut être malencontreusement instrumentalisé, par certaines puissances, qu’elles soient internationales ou régionales. Ainsi, les règles de reconnaissance d’un nouvel Etat sont multiples : reconnaissance par un seul Etat (Ossétie du Sud), par un groupe d’Etats (Kosovo) ou parfois, naissance d’un nouvel Etat même lorsque la majorité de la population s’y oppose (Bosnie-Herzégovine). Il est à souligner que le système international que l’on connait aujourd’hui, permet l’émergence et le maintien de régimes corrompus et totalitaristes, réduisant à néant toute mention de droits humains ou toute tentative d’application de principes démocratiques…

Dans ce cadre, la guerre de l’information voire la stratégie de désinformation initiée à l’encontre de ces peuples autochtones clamant leur droit à disposer d’eux-mêmes, revêt une importance stratégique, pour le maintien du pouvoir central. L’Algérie occupe une place particulière dans ce débat dans la mesure où elle soutient l’autodétermination dans certains cas et qu’elle la renie à la propos de la question kabyle.
Quand l' Europe n'aura plus besoin du pétrole et du gaz Algérien ça pourrait se faire... Ou bien si l' Europe y voit une opportunité pour renégocier les contrats ce sera possible aussi... Pour l'instant ça négocie encore à la valise plein de dollars et c'est très opaque...
 
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