La guerre propre d'Algérie

« Se battre en Algérie » Un demi-siècle s’est écoulé et les passions sont toujours vives...
publié le mardi 16 septembre 2008



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« Se battre en Algérie » démontre que cette guerre ne se résumait pas à des opérations de ratissage ou de contrôles dans le bled, ni même à de rares scènes de torture et d’exécutions sommaires. Elle ne fut pas non plus une guerre où tous les Appelés désoeuvrés dans un poste perdu dans le djebel, se livraient à des actes répréhensibles sur les populations civiles. Réduire la Guerre d’Algérie à ces clichés est intellectuellement malhonnête.

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Un livre écrit à partir de nombreux témoignages recueillis par l’auteur durant près de 25 ans, recoupés et complétés à l’aide des archives officielles. Prix : 28,00 € + frais de port et d’emballage (4,50 € pour un exemplaire)

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Elle fut émaillée de combats, parfois farouches, livrés par des combattants français et algériens courageux, dans des paysages apocalyptiques, dans le froid, la pluie, la neige et le vent, ou sous une chaleur excessive. Elle fut aussi et surtout faite par de jeunes français respectueux de l’adversaire, dont l’immense majorité ne s’est pas livrée aux actes barbares dont font état certains.

De 1954 à 1962, l’élite de l’Armée Française s’est battue en Algérie, en première ligne : légionnaires, parachutistes, commandos, équipages d’hélicoptères, pilotes de chasse et d’observation, marins, tirailleurs, sahariens, artilleurs, cavaliers, etc. A travers des récits poignants et véridiques, ce livre vous fait revivre des combats âpres dans lesquels ces hommes ont été engagés.

Il vous emmène dans les djebels arides et déchiquetés, dans les sables et oasis du Sahara, dans les forêts tapissées de ronces ou de chênes-lièges, dans les airs à bord d’avions de chasse et d’hélicoptères qui survolaient des paysages magnifiques que la furie guerrière pouvait rapidement métamorphoser en enfer. Au fil des pages, vous côtoyez aussi ces rudes moudjahidin, parfois vétérans des Campagnes d’Italie et d’Indochine, qui se battaient pour leur indépendance avec détermination.


Les grands épisodes de la Guerre d’Algérie sont relatés : les opérations de Timimoun, la bataille de Souk Ahras, les combats livrés dans l’Atlas Saharien, dans les Aurès et à proximité des frontières tunisiennes et marocaines, la traque et la fin de « moudjahidin » éminents comme les colonels Amirouche, Si M’hamed, Lotfi, tous les trois chefs de Wilaya, jusqu’à la Bataille de Bizerte en Tunisie au cours de laquelle les parachutistes, venus d’Algérie, ont dégagé la base et la ville menacées.

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50 ans après...
Un demi-siècle s’est écoulé et les passions sont toujours vives au point que certains parlent de « repentance ». Si durant toutes ces années l’on a surtout évoqué à juste titre les souffrances des Pieds-Noirs et des Algériens, l’on a passé sous silence celles qu’ont endurées les familles des militaires français, souvent appelés du contingent, tués lors des opérations de maintien de l’ordre. Les autres, ceux qui sont revenus, sont dans leur majorité blessés à jamais dans leur corps et dans leur âme.
Mon oncle, Claude Lepage, était un Appelé du Contingent qui a été incorporé dans un régiment de parachutistes. Il a été tué au combat sur la frontière algéro-tunisienne en février 1958. A ses obsèques, mes grands-parents étaient effondrés. Ma grand-mère se tenait assise sur une chaise que deux de ses fils portaient, avec un médecin à ses côtés pour lui administrer des piqûres. Jamais ils ne se sont remis de la disparition de leur « gamin » tout juste âgé de vingt-deux ans. Il y a quelques années, j’ai rencontré le frère d’un parachutiste du même régiment, mort au cours d’une embuscade. A l’époque, il était enfant. Dans les mois qui ont suivi la disparition de son grand frère, sa mère puis son père ont dépéri jusqu’à mourir de chagrin. Il n’avait que douze ans lorsqu’il fut placé à l’Assistance Publique…


Ces jeunes garçons sont « Morts pour la France ». Leurs noms ont été gravés sur les Monuments aux Morts, au même titre que ceux qui sont tombés durant la Première et la Seconde Guerre mondiale. Et pourtant, si leurs aînés ont défendu une cause « noble », l’opinion publique considère que les « soldats du djebel » se sont battus contre un peuple désireux de recouvrer son indépendance, ce qui suffit à les déconsidérer. C’est sans doute pour cette raison qu’aujourd’hui certains baissent encore la tête et refusent d’évoquer cette période douloureuse de leur vie, d’autant qu’ils ont été la cible de certains médias et d’une intelligentsia moraliste qui se refuse à prendre en compte tous les paramètres. Il est toujours facile de juger lorsque l’Histoire a rendu son verdict. Mais dans la plupart des familles affectées, la cicatrice ne s’est encore pas refermée.
Dernièrement, un ancien parachutiste du régiment de « Bigeard », retourné en Algérie en 2006, m’écrivait :

Je suis retourné à Alger et plus particulièrement à El Biar ou j’ai retrouvé les anciens de mon âge. Parmi eux des commerçants et deux anciens prisonniers. Je peux assurer que tous m’ont réservé le meilleur accueil possible ; certains m’ont invité à partager leur repas deux anciens commerçants aujourd’hui à la retraite avaient même gardé ma photo en para. Les jeunes qui nous entouraient me disaient : « tu as habité ici tu es chez toi, tu es le bienvenu ». Il est vraisemblable que si j’avais été le tortionnaire para tel qu’on se plait à le caricaturer encore aujourd’hui, l’accueil eut été différent. Nous étions des soldats professionnels. A aucun moment nous n’avons cherché à humilier un adversaire que nous respections…Dans le régiment, toutes les races et toutes les religions étaient représentées… A cette époque nous avions tous une petite amie européenne, arabe, berbère ou juive, nous n’étions pas racistes. Je pense qu’il est temps d’effacer nos rancœurs et tenter de rapprocher les adversaires d’hier…

Une bonne fois pour toute, il faudra admettre que les jeunes gens qui se sont battus en Algérie n’étaient pas des « barbares ». Ils ont eu à remplir une mission difficile et ingrate.

En janvier 1990, le général Jacques Massu m’écrivait dans une lettre : … Nous voyons bien aujourd’hui qu’en nous battant pour l’Algérie Française nous étions en pleine utopie… Il faudrait se décider à voir les choses en face, raisonnablement, et reconnaître que la passion nous a aveuglés, en l’absence d’avertissements sérieux…

Arrêtons de faire payer plus d’un siècle de colonisation à une seule génération. Décoloniser par la guerre, est sans doute la pire des solutions. Ceux qui ont eu à remplir une telle mission méritent un minimum de considération et qu’on leur rende leur Honneur.
Patrick-Charles RENAUD
 
Il faut commencer par vaincre un ennemi idéologique. Comme en 1945 et en 1991, l’objectif doit consister à marginaliser et affaiblir un mouvement idéologique agressif, de sorte qu’il cesse d’attirer des partisans ou de constituer une menace grave pour le monde. La Deuxième Guerre mondiale, remportée par le sang, l’acier et les bombes atomiques, propose un modèle de victoire très différent de celui de la guerre froide, basé sur la dissuasion, la complexité et un effondrement presque pacifique.
La guerre contre l’islamisme va vraisemblablement intégrer des éléments de ces deux legs pour former un mélange inédit de guerre conventionnelle, de contreterrorisme, de contre-propagande et de nombreuses autres stratégies. L’éventail va de l’action militaire qui a causé la chute du gouvernement taliban d’Afghanistan à l’effort qui consiste à repousser les islamistes légaux travaillant légitimement au sein des systèmes éducatifs, religieux, médiatiques, juridiques et politiques.

Le deuxième objectif implique d’aider les Musulmans qui s’opposent aux visées islamistes et qui souhaitent offrir une alternative aux dépravations de l’islamisme en réconciliant l’Islam avec le meilleur du monde moderne. Mais ces Musulmans sont faibles – ce ne sont encore que des individus isolés, qui ont à peine entamé le dur travail qui consiste à se chercher, à communiquer organiser, financer, mobiliser.

Pour faire tout cela plus rapidement et efficacement, ces modérés ont besoin de l’encouragement et du parrainage des non-Musulmans. Aussi peu impressionnants qu’ils soient à l’heure actuelle, les modérés sont les seuls en mesure de moderniser l’Islam, avec l’aide de l’Occident, et ainsi de mettre un terme à la menace islamiste.
En fin d’analyse, l’islamisme présente essentiellement deux défis pour les Occidentaux : ils doivent en parler franchement et aspirer à la victoire. Or aucune de ces deux attitudes n’est naturelle pour l’homme moderne, qui tend à préférer la rectitude politique et la résolution des conflits, voire l’apaisement. Mais une fois ces obstacles surmontés, la faiblesse objective de l’ennemi islamiste en termes d’arsenal, d’économie et de ressources permettra de le vaincre aisément.

Un français vient d'écrire un livre sur la guerre d'Algérie en traitant les moudjahidines de terrorisme et en disant que la guerre était propre est légitime, les viols contre des mères de familles de cinq enfants devant leur mari et enfants était légitime commis par de véritables professionel ayant des qualité morales irréprochables, des anges, les massacres chimiques, nucléaires, les femmes et bébés musulmans brûlés au Napalme étaient des actions chirurgicales, et la baillonette du fameux Famas avait été conçu spécialement pour éventrer la femme musulmane et Viet Kong qui refusait de donner son blé et son riz gratuitement aux français.Comme chacin le sait il ya le vol propre, l'assassinat propre, l'escroquerie propre le colonialisme propre, le génocide propre.
 

dejavu

Et déjà pris
et...? Je ne fais que donner "mon avis" ok ? Le voici : pourquoi balancer 12 000 lignes sans donner un thème précis ? S'agit-il encore une fois de ne pas oublier certaines choses ? Si tel est le cas (et en ce qui me concerne) : je n'y participerais pas sous cette forme.

Proverbe Chinois : " Mieux vaut dire une seule phrase plutôt que dix faisant perdre tout son sens."
 
la guerre d algérie était atroce pour les 2 camps,sauf que le peuple algérien a souffert plus que le peuple francais,50 ans apres les séquelles se font ressortir surtout en algérie avec la guerre civile ,dommage que les autorités francaise ne fasse pas leur méa culpa sur les atrocités qu ont subit les peuples du maghreb pendant la colonisation.
 

3ourwa

الويل لل
la guerre d algérie était atroce pour les 2 camps,sauf que le peuple algérien a souffert plus que le peuple francais,50 ans apres les séquelles se font ressortir surtout en algérie avec la guerre civile ,dommage que les autorités francaise ne fasse pas leur méa culpa sur les atrocités qu ont subit les peuples du maghreb pendant la colonisation.

l'ocupation francaise etrait atroce pour les algeriens seulment , les algeriens souffre meme aujourdhuis de ce comportement barbare qui est la l'ocupation ,

en quoi ca a toucher les francés , tous les clochard qui etait en algerie sont rentrer les poches pleines
 
L'Algerie n'a jamais existe comme pays dans l'hiostoire, elle fesait partie du Maroc.
L'Egypt etait tjr un pays.
Le Maroc etait tjr un pays.
La palestine etait tjr un pays.
L'Algerie, La Jordanie, L'Iraq, Kowait, Saoudi Arabia, Qatar, Bahrein, La Tunisie, La Lybie, United Arab Emarat, Mauritania, .....etc
n'ont jamais ete des pays.
ils ont ete crees par les colons.
 
l'ocupation francaise etrait atroce pour les algeriens seulment , les algeriens souffre meme aujourdhuis de ce comportement barbare qui est la l'ocupation ,

en quoi ça a toucher les francés , tous les clochard qui etait en algerie sont rentrer les poches pleines

Voila le post parle de ce genre de cliché.
Vraiment pas envie de perdre mon temps à t'ouvrir l'esprit, je n'ai qu'une vie.
 
l'ocupation francaise etrait atroce pour les algeriens seulment , les algeriens souffre meme aujourdhuis de ce comportement barbare qui est la l'ocupation ,

en quoi ca a toucher les francés , tous les clochard qui etait en algerie sont rentrer les poches pleines

Non seulement atroce pour le Maroc qui a perdu une grande partie de ses ressources, mais aussi une partie de son territoire au sud-est (colomb bechar et tindouft...) au profit du voisin, et aussi le probleme du sahara encore en litige.
La fameuse declaration de Ben Bella a propos de ce territoire "nous avons accepte ce venemeux cadeau des francias..." mais n'a jamais pu le restituer car riche en mineraie et surtout le Fer.
 
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