tizniti
Soyons sérieux .
Les théologiens divisés sur la licéité de lassurance
· Linterdiction sappuie sur les notions daléa, de pari.
· Rien ninterdit de récupérer son capital et le bénéfice résultant dun commerce
Selon les juristes musulmans qui sopposent à cette activité, lillicéité du contrat dassurance est le fruit de sa ressemblance avec les contrats aléatoires, du jeu du hasard et du pari. A ceci sajoute le fait que ce contrat ne figure pas parmi les la listes des contrats nommés de lislam. Par contre, les jurisconsultes défenseurs de cette institution partent du principe dun islam moderne à même de répondre aux besoins nouveaux de la société. Seule condition : ne pas enfreindre les règles légales de fond.
Ceux qui prônent linterdiction sappuient sur les notions daléa, de pari, de hasard et du riba (usure). Pour le caractère aléatoire, il a été avancé que le contrat dassurance est déséquilibré dans la mesure où les intérêts des uns priment sur ceux des autres. Il a été assimilé à une vente du hasard. En outre, «le remboursement» dépend de la survenance du sinistre. En plus de cela, lassuré peut ou non percevoir la contrepartie de ce quil a avancé. Cette analyse trouve sa justification dans linterdiction par le Prophète de la vente à terme. La finalité étant déviter les éventuels conflits.
Le caractère usuraire du contrat se trouve dans la perception de lassuré dun capital supérieur au total des primes quil a payées, et ce, dans le cadre de lassurance-vie. Si Dieu a autorisé la vente, il a formellement prohibé lusure (riba).
Votre avis.
· Linterdiction sappuie sur les notions daléa, de pari.
· Rien ninterdit de récupérer son capital et le bénéfice résultant dun commerce
Selon les juristes musulmans qui sopposent à cette activité, lillicéité du contrat dassurance est le fruit de sa ressemblance avec les contrats aléatoires, du jeu du hasard et du pari. A ceci sajoute le fait que ce contrat ne figure pas parmi les la listes des contrats nommés de lislam. Par contre, les jurisconsultes défenseurs de cette institution partent du principe dun islam moderne à même de répondre aux besoins nouveaux de la société. Seule condition : ne pas enfreindre les règles légales de fond.
Ceux qui prônent linterdiction sappuient sur les notions daléa, de pari, de hasard et du riba (usure). Pour le caractère aléatoire, il a été avancé que le contrat dassurance est déséquilibré dans la mesure où les intérêts des uns priment sur ceux des autres. Il a été assimilé à une vente du hasard. En outre, «le remboursement» dépend de la survenance du sinistre. En plus de cela, lassuré peut ou non percevoir la contrepartie de ce quil a avancé. Cette analyse trouve sa justification dans linterdiction par le Prophète de la vente à terme. La finalité étant déviter les éventuels conflits.
Le caractère usuraire du contrat se trouve dans la perception de lassuré dun capital supérieur au total des primes quil a payées, et ce, dans le cadre de lassurance-vie. Si Dieu a autorisé la vente, il a formellement prohibé lusure (riba).
Votre avis.