Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Général
La location de terres, une astuce pour contourner (aussi) l'obstacle du foncier en agriculture
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="mam80, post: 15155495, member: 228134"] [B]Bruxelles menacerait l'interdiction française des néonicotinoïdes, selon Pollinis[/B] [B][/B] Selon l'ONG Pollinis, la Commission européenne aurait critiqué le 3 mai dernier l'interdiction, prévue par la France, de sept substances actives de la famille des néonicotinoïdes à partir du 1er septembre 2018 : acétamipride, clothianidine, dinotéfurane, imidaclopride, nitenpyrame, thiaclopride, thiamétoxame. Cette liste a été fixée dans un projet de décret, pris en application de la loi sur la biodiversité d'août 2016. Le clothianidine, l'imidaclopride et le thiamétoxame font déjà l'objet, depuis 2013, d'une restriction temporaire d'usage en Europe. Fin mars dernier, la Commission européenne a proposé aux Etats membres une interdiction de l'usage des trois pesticides dans les cultures et celui des semences traitées aux serres fermées. "Pourtant, sous la pression de l'industrie agrochimique, la Commission européenne critique le décret d'application, demandant en substance aux autorités françaises de renoncer à l'interdiction", dénonce Pollinis. Alors que la France a notifié son projet de décret le 2 février dernier à la Commission, cette dernière évoquerait une violation des règlements européens, d'après l'ONG qui s'est procurée un document confidentiel. La Commission devait soumettre en mai sa proposition d'interdiction des trois substances au vote des Etats membres, pour une entrée en application dans les mois à venir. Pollinis a lancé ce lundi 29 mai une pétition pour "obliger le gouvernement français à maintenir l'interdiction des pesticides tueurs d'abeilles en 2018". "Nous demandons donc au Premier ministre et aux ministres de la Santé, de l'Environnement et de l'Agriculture, qui portent ce dossier, de résister aux pressions et de signer le décret d'application", a déclaré Nicolas Laarman, délégué général de Pollinis. Durant sa campagne, le Président Emmanuel Macron s'est engagé à éliminer progressivement les pesticides et les perturbateurs endocriniens les plus nocifs avérés ou probables. [URL]https://www.actu-environnement.com/ae/news/neonicotinoides-interdiction-francaise-menace-bruxelles-pollinis-29090.php4?xtor=AL-33[/URL] rappel des faits : [B]La Commission européenne confirme l'interdiction de trois pesticides à compter du 1er décembre[/B] Agroécologie | 24 mai 2013 | Florence Roussel Réduire la taille du texteAugmenter la taille du texteImprimer cette pageEnvoyer par e-mail Suite à l'absence de décision à la majorité entre les Etats membres de l'UE, la Commission européenne a confirmé le 24 mai sa décision de restreindre l'utilisation de trois pesticides de la famille des néonicotinoïdes : la clothianidine, l'imidaclopride et le thiaméthoxame. Elle avait fait cette proposition aux Etats membres suite à trois avis de l'Efsa soulignant des risques sanitaires importants pour les abeilles. Par deux fois, les Etats n'ont pas réussi à se mettre d'accord. Lors du dernier vote le 29 avril, quinze pays se sont prononcés pour dont la France, huit pays contre et quatre se sont abstenus. Ces restrictions pour le traitement des semences, l'application au sol (en granulés) et le traitement foliaire des végétaux qui attirent les abeilles - y compris les céréales, à l'exception des céréales d'hiver - entreront en vigueur le 1er décembre 2013. Les États membres doivent donc retirer ou modifier les autorisations existantes pour s'y conformer d'ici le 30 septembre 2013. Ils peuvent autoriser l'utilisation des stocks existants jusqu'au 30 novembre au plus tard. [I]"Dès que de nouvelles informations seront disponibles, et au plus tard dans les deux ans, la Commission réexaminera les restrictions adoptées pour tenir compte des évolutions intervenues dans le domaine scientifique et technique",[/I] précise la Commission. mam [B][/B] [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Général
La location de terres, une astuce pour contourner (aussi) l'obstacle du foncier en agriculture
Haut