Pour résoudre le problème du chômage, il faut au moins en avoir l’intention. C’est tout bête, mais c’est bien là que ça coince. Aucun des partis politiques élus jusque maintenant ne l’a vraiment souhaité, simplement parce que les gens qui les élisent, ne sont en majorité, pas concernés par le chômage, et s’en moquent.
Au FN et à l’UMP, c’est même plus explicite : pour une nette majorité des électeurs du FN et de l’UMP, c’est bien simple, le problème du chômage n’existe simplement pas, et le chômage on ne le doit qu’aux chômeurs.
Pour 65% des lepenistes, les chômeurs cherchent avant tout à profiter du système.
Pour 71% des sarkozistes, les chômeurs n’ont pas de travail parce qu’ils n’en veulent pas.
65% des électeurs FN pensent que les chômeurs en profitent : les louvoiements de Florian Philippot (europe1.fr). 8 Août 2013.
Les électorats du MoDem et de l'UDI: quelles valeurs communes? (huffingtonpost.fr). 27 Septembre 2013.
J’aurais aimé trouver les chiffres pour l’ensemble de la population, et pour les autres partis : PS, EELV, FdG. Dans le second lien, je sais pas trop si l’ensemble des interviewés correspond à l’ensemble de la population interviewé ou à la population à laquelle s’intéresse le second article seulement.
Malgré les chiffres que je ne trouve pas, une chose est certaine : on ne peut pas résoudre le problème du chômage quand on a pas l’intention de le résoudre (sauf si on pense qu’il peut se résoudre par l’effet d’un hasard), et pour le FN et l’UMP, et même encore plus pour l’UMP que pour le FN (!), le problème n’est pas le chômage, pour eux, le problème c’est les chômeurs.
Si le chiffre « Ensemble des interviewés » dans le second lien correspond à la population en général (ce qui ne m’étonnerait pas), on a peut‑être là une des principale causes de l’inaction politique contre le chômage. Toujours si ce chiffre correspond à l’ensemble de la population, alors l’UDI est proche de l’opinion moyenne, et le MoDem est plus soucieux de la réalité que ne l’est l’ensemble de la population. À vérifier quand‑même.
Au FN et à l’UMP, c’est même plus explicite : pour une nette majorité des électeurs du FN et de l’UMP, c’est bien simple, le problème du chômage n’existe simplement pas, et le chômage on ne le doit qu’aux chômeurs.
Pour 65% des lepenistes, les chômeurs cherchent avant tout à profiter du système.
Pour 71% des sarkozistes, les chômeurs n’ont pas de travail parce qu’ils n’en veulent pas.
65% des électeurs FN pensent que les chômeurs en profitent : les louvoiements de Florian Philippot (europe1.fr). 8 Août 2013.
Europe 1 a dit:
Les électorats du MoDem et de l'UDI: quelles valeurs communes? (huffingtonpost.fr). 27 Septembre 2013.
HuffingtonPost a dit:
J’aurais aimé trouver les chiffres pour l’ensemble de la population, et pour les autres partis : PS, EELV, FdG. Dans le second lien, je sais pas trop si l’ensemble des interviewés correspond à l’ensemble de la population interviewé ou à la population à laquelle s’intéresse le second article seulement.
Malgré les chiffres que je ne trouve pas, une chose est certaine : on ne peut pas résoudre le problème du chômage quand on a pas l’intention de le résoudre (sauf si on pense qu’il peut se résoudre par l’effet d’un hasard), et pour le FN et l’UMP, et même encore plus pour l’UMP que pour le FN (!), le problème n’est pas le chômage, pour eux, le problème c’est les chômeurs.
Si le chiffre « Ensemble des interviewés » dans le second lien correspond à la population en général (ce qui ne m’étonnerait pas), on a peut‑être là une des principale causes de l’inaction politique contre le chômage. Toujours si ce chiffre correspond à l’ensemble de la population, alors l’UDI est proche de l’opinion moyenne, et le MoDem est plus soucieux de la réalité que ne l’est l’ensemble de la population. À vérifier quand‑même.