assalamoualaikoum wa rahmatoullah wa barakatouh,
La médisance fait l'objet d'une grave interdiction, compte tenu de la parole du Très Haut:
" ...et ne médisez pas les uns des autres. Lun de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? (Non!) vous en aurez horreur. Et craignez Allah..."(Coran,49:12)
et en vertu de ce qui a été rapporté du Prophète de façon authentique d'après Anas (P.A.a):
«Lors de mon ascension, je suis passé auprès de gens dotés d'ongles en cuivre dont ils se grattaient leurs visages et leurs poitrines
J'ai dit: qui sont ces gens-là, Ô Gabriel?-
Il dit: ce sont des gens qui mangeaient la chair des autres et remettaient en cause leur honorabilité.»
(Rapporté par l'imam Ahmad et par Abou Dawoud grâce à une chaîne authentique).
Le Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) a expliqué la médisance en disant que c'est dire de ton frère ce qu'il réprouve.
La médisance est cependant permise dans certains cas limités en cas de nécessité comme l'attestent des arguments religieux.
C'est le cas quand on est consulté à propos de l'acceptation d'une demande de mariage ou de partenariat. C'est aussi le cas d'une plainte portée contre quelqu'un auprès de l'autorité compétente pour mettre fin à une injustice et mettre son auteur hors d'état de nuire.
Dans ces cas , il n'y a pas de mal à dire du mis en cause ce qu'il désapprouverait, compte de l'intérêt bien réel à le faire. Quelqu'un a recensé les cas dans lesquels la médisance est permises dans ces deux vers:
«Dénigrer n'est pas médire dans six (situations):l'expression d'une plainte, le signalement d'un agissement, la mise en garde appropriée,
«la dénonciation d'un dévoyé notoire, l'élucidation de l'objet d'une fatwa, la justification d'une demande de secours pour mettre fin à un acte répréhensible»
Quant à la dénonciation qui n'est pas motivée par la préservation d'un intérêt majeur, elle relève de la médisance interdite.
et craignons allah dans nos paroles les uns envers les autres...
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La médisance fait l'objet d'une grave interdiction, compte tenu de la parole du Très Haut:
" ...et ne médisez pas les uns des autres. Lun de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? (Non!) vous en aurez horreur. Et craignez Allah..."(Coran,49:12)
et en vertu de ce qui a été rapporté du Prophète de façon authentique d'après Anas (P.A.a):
«Lors de mon ascension, je suis passé auprès de gens dotés d'ongles en cuivre dont ils se grattaient leurs visages et leurs poitrines
J'ai dit: qui sont ces gens-là, Ô Gabriel?-
Il dit: ce sont des gens qui mangeaient la chair des autres et remettaient en cause leur honorabilité.»
(Rapporté par l'imam Ahmad et par Abou Dawoud grâce à une chaîne authentique).
Le Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) a expliqué la médisance en disant que c'est dire de ton frère ce qu'il réprouve.
La médisance est cependant permise dans certains cas limités en cas de nécessité comme l'attestent des arguments religieux.
C'est le cas quand on est consulté à propos de l'acceptation d'une demande de mariage ou de partenariat. C'est aussi le cas d'une plainte portée contre quelqu'un auprès de l'autorité compétente pour mettre fin à une injustice et mettre son auteur hors d'état de nuire.
Dans ces cas , il n'y a pas de mal à dire du mis en cause ce qu'il désapprouverait, compte de l'intérêt bien réel à le faire. Quelqu'un a recensé les cas dans lesquels la médisance est permises dans ces deux vers:
«Dénigrer n'est pas médire dans six (situations):l'expression d'une plainte, le signalement d'un agissement, la mise en garde appropriée,
«la dénonciation d'un dévoyé notoire, l'élucidation de l'objet d'une fatwa, la justification d'une demande de secours pour mettre fin à un acte répréhensible»
Quant à la dénonciation qui n'est pas motivée par la préservation d'un intérêt majeur, elle relève de la médisance interdite.
et craignons allah dans nos paroles les uns envers les autres...
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