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La mort et l'intensité de la vie
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[QUOTE="Floraison, post: 14910334, member: 276533"] [B]Marie de Hennezel, l’écoute pour vocation[/B] [B] Spécialiste de la fin de vie, la psychologue Marie de Hennezel a consacré sa carrière à l’accompagnement des mourants et appris d’eux le sens même de l’existence [/B] Marie de Hennezel est partout, partout où l’on parle de la fin de vie. Un jour, en Chine, invitée à un colloque sur le grand âge ; le lendemain, à Paris, à un séminaire consacré au « bien vieillir » ; le surlendemain, devant des parlementaires pour débattre d’une éventuelle révision de la loi Leonetti. Entre deux, elle passe en coup de vent dans son appartement parisien, situé à deux pas du Louvre. Là, entre ses kilims marocains, les toiles post-impressionnistes de son grand-père et sa très exigeante bibliothèque, elle écrit… sur la fin de vie. C’est d’ailleurs ainsi qu’elle s’est fait connaître, il y a un peu plus de vingt ans, en réussissant comme peu auparavant à « dire » la mort à travers son expérience de psychologue en unité de soins palliatifs. [B]« Ceux qui vont mourir nous apprennent à vivre »[/B] [B][/B] La mort, c’est un peu sa vie. Aucune morbidité à cela. Au contraire. « Ceux qui vont mourir nous apprennent à vivre », écrivait-elle en 1992 dans La Mort intime, son principal opus. À bientôt 70 ans, elle se dit plus convaincue que jamais de la dimension initiatique de la mort. « Réfléchir sur notre propre finitude est forcément douloureux », concède celle qui, au passage de la soixantaine, dit avoir vécu un moment dépressif. « C’est pourtant en méditant sur la mort qu’on finit par réellement se préoccuper de sa vie intérieure, de sa fécondité psychique. Penser que l’on est mortel nous renvoie à l’essentiel. » L’essentiel, elle l’a découvert tard. Précoce (bachelière à 16 ans et maman à 21), elle n’accouche vraiment d’elle-même qu’à sa seconde grossesse. Contrainte de rester immobile pendant neuf mois, elle en profite pour lire Françoise Dolto, « une vraie révélation ». [/QUOTE]
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