La mosquée Assounna à Amiens visée par un incendie volontaire

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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La mosquée Assounna à Amiens a été victime d’un incendie tôt ce mardi matin. Une enquête pour "dégradation volontaire par incendie" a été ouverte.

D’après le Courrier Picard, un incendie volontaire a été déclenché devant l’une des portes de la mosquée Assounna. Deux salles, dédiées aux cours et activités des enfants pendant leurs vacances, ont également été endommagées. Une enquête a été ouverte pour "dégradation volontaire par incendie".

"Ce sont des personnes qui allaient effectuer la prière de l’aube qui ont senti une odeur de brûlé", a expliqué Bilel Furtado, vice-président de l’association cultuelle en charge de la mosquée, au Courrier Picard.

Mohammed Rahhali, l’ancien président de l’association musulmane cultuelle et culturelle d’Amiens Sud, a précisé à France 3 Hauts-de-France que "la personne a utilisé des tapis de prière en petits morceaux pour brûler la mosquée".

Cet acte a suscité des réactions dans la classe politique. “Tout mon soutien aux fidèles. Les auteurs de cet acte inacceptable doivent être retrouvés, et sévèrement condamnés”, a écrit sur X Xavier Bertrand, président de la Région.

Le conseiller départemental Frédéric Fauvet a rappelé que la liberté de culte est un droit fondamental. “Nous devons garantir la sécurité des édifices et des pratiquants. Tout mon soutien aux fidèles musulmans et à toute la communauté”, a-t-il exprimé.

"J’apporte tout mon soutien aux fidèles musulmans. Personne ne doit subir des menaces en raison de son culte ou de ses croyances", a réagi de son côté François Ruffin, député de la Somme.

"Je condamne avec la plus grande fermeté l’incendie volontaire qui a visé la mosquée Assounna", a déclaré Zahia Hamdane, députée LFI de la Somme, dans un communiqué publié sur X.
 
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Imagine le tollé à jusqu'à l'Assemblée et dans les medias non stop avec des politiques opportunistes qui se succèdent

s'il s'agissait d'une synagogue.

Et ça fait des années qu'il y'a ce genre d'actes terroristes sans suite.

Lois de république à la carte. Il faut juste enlever du fronton des bâtiments officiels le mot "égalité" pour rejoindre la réalité du terrain.

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