La musique, trésor le plus riche et le plus intense qui soit. Langage universel qui relie l'humanité

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Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Ces dernières années, les progrès des neurosciences ont démontré l’impact incroyable de la musique sur notre cerveau, à chaque étape de notre vie, du fœtus jusqu'au dernier âge.
Antidote contre le stress, la douleur, les pertes de mémoire, mais aussi auxiliaire favorisant l’apprentissage du langage chez les enfants ou aidant à lutter contre la dyslexie, ses bienfaits apparaissent d’autant plus nombreux que des expériences, souvent étonnantes, se multiplient à travers le monde pour en mesurer l’étendue.
 
Pas depuis que la frequence de la musique est passée à 440 hertz au lieu de 432...
Elle n'est plus en harmonie avec la vibration musicale de l'univers et devient donc mauvaise pour l'Homme...
 
Contrairement à ce qu'on peut lire un peu partout, Le la 440 est loin d'être une nouveauté.
Pour la musique du XVIe siècle, on utilise le la 466 Hz. Pour le baroque vénitien (du temps de Vivaldi), c’est déjà le la 440 Hz. Pour le baroque allemand (du temps de Telemann, de Jean-Sébastien Bach…), c’est le la 415 Hz. Pour le baroque français (Couperin, Marais, Charpentier…) on s’accorde sur le la 392 Hz ! Il existe différents diapasons comme le diapason Haendel, réglé sur 423 Hz, le diapason Mozart, 422 Hz, celui de l’opéra de Paris, dit Berlioz, 449 Hz, et celui des pianos Steinway aux USA, 457 Hz.
 
Pas depuis que la frequence de la musique est passée à 440 hertz au lieu de 432...
Elle n'est plus en harmonie avec la vibration musicale de l'univers et devient donc mauvaise pour l'Homme...
OK la musique ne te plaît pas.
Mais combien d'oreilles dans le monde sont capables de distinguer une différence de 7 Hz sur le la ?
 
Qui t'as dit que la musique ne me plaisait pas?
Le corps humain les perçoit...
Me voilà rassuré.
Il est vrai qu'une infime minorité de personnes souffrent d'amusie qui est une anomalie neurologique dans laquelle le rythme, la mélodie, les accords de musique ne sont pas perçus ou n’ont pas de sens pour une personne d'audition par ailleurs normale. L'amusie peut être congénitale ou résulter d'une lésion cérébrale.
Un peu comme les daltoniens avec les couleurs.
 
Me voilà rassuré.
Il est vrai qu'une infime minorité de personnes souffrent d'amusie qui est une anomalie neurologique dans laquelle le rythme, la mélodie, les accords de musique ne sont pas perçus ou n’ont pas de sens pour une personne d'audition par ailleurs normale. L'amusie peut être congénitale ou résulter d'une lésion cérébrale.
Un peu comme les daltoniens avec les couleurs.
amusant !
 
Je m'en fout des pathologies de ta grand mère, c'est pas le sujet...
Tu as raison, il ne faut pas chercher à accroître ses connaissances.
Ça fatigue inutilement sa matière grise.
Mieux vaut passer du temps a écouter Mozart
 
Tu as raison, il ne faut pas chercher à accroître ses connaissances.
Ça fatigue inutilement sa matière grise.
Mieux vaut passer du temps a écouter Mozart
Les maladies de ta grand mère ne m'intéressent pas non..
Je préfère Beethoven... Bien que Mozart aussi était à 432 hz....
 
Les maladies de ta grand mère ne m'intéressent pas non..
Je préfère Beethoven... Bien que Mozart aussi était à 432 hz...
Puisque tu en parles avec beaucoup d'insistance, tout en prétendant le contraire.
Ma grand mère était prof de violon
Une oreille musicale parfaite.
 
Ces dernières années, les progrès des neurosciences ont démontré l’impact incroyable de la musique sur notre cerveau, à chaque étape de notre vie, du fœtus jusqu'au dernier âge.
Antidote contre le stress, la douleur, les pertes de mémoire, mais aussi auxiliaire favorisant l’apprentissage du langage chez les enfants ou aidant à lutter contre la dyslexie, ses bienfaits apparaissent d’autant plus nombreux que des expériences, souvent étonnantes, se multiplient à travers le monde pour en mesurer l’étendue.

Pourtant je me suis brouillé avec @Trackergirl parce qu'elle ne veut pas admettre que la bastringue est meilleure que les trucs de l'Inde. :fou:
 
La musique empêche le cerveau de vieillir
Une étude scientifique a révélé que la pratique et l’écoute active de la musique pouvaient freiner le déclin cognitif chez les seniors en bonne santé.
Une étude, menée conjointement par l’Université de Genève, la Haute Ecole Spécialisée de Suisse occidentale et l’EPFL, a révélé qu’écouter de la musique de manière active pouvait ralentir le vieillissement des performances du cerveau.

Environ 130 retraités ont été séparés en deux groupes. Chaque groupe a suivi un type de cours de musique à raison d’une heure par semaine pendant 12 mois. Ces seniors, âgés de 62 à 78 ans, avaient également des «devoirs»: ils devaient pratiquer 30 minutes chaque jour à la maison. Les conditions pour participer? Etre en bonne santé mentale et ne pas avoir suivi de cours de musique pendant plus de six mois au cours de sa vie. «Nous voulions des personnes dont le cerveau ne portait encore aucune trace de plasticité cérébrale liée à un apprentissage musical.
En effet, même un bref apprentissage au cours de l’existence peut laisser des empreintes sur le cerveau, ce qui aurait faussé nos résultats», explique Damien Marie, collaborateur scientifique au Centre d’imagerie biomédicale de la Faculté de Médecine à Genève.
 
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