Le journal algérien El Khabar «est le premier organe dAlgérie, de par son fort tirage (environ 400 000 exemplaires par jour).Dans son édition du 25 septembre 2009, il annonce à la une de sa version en langue française (en ligne):nationalité française pour les algériens nés avant 1962″.Il explique dans le même article, tiré de sources diplomatiques, selon lui, que les officiels français étudient en ce moment la possibilité de mise en uvre de cette nouvelle mesure, mais quils chercheraient dabord à mesurer son éventuel impact sur le gouvernement algérien.
Cet effet dannonce a précipité de nombreux algériens à obtenir plus de renseignements sur le sujet par voie de bouche à oreille, dinternet, etc Linformation, forte du caractère crédible de lorigine de sa source, a fait le tour du pays, et même de lhéxagone.La rumeur a dépassé la réalité.
Finalement, le journal a retiré cet article de son site web, mais la rumeur persiste encore. On ne sait trop pourquoi. Dans dautres pays une telle information, même si elle ne fait pas lobjet de poursuites pour information diffamatoire, elle serait tout au moins confirmée ou infirmée par voie autorisée.
Cela na pas été le cas, malheureusement ou heureusement pour les candidats au passage à leldorado. Pourtant, pour moins que cela, les autorités algériennes avaient réagi promptement. Il ny quà se souvenir de la publication du dernier livre de Bruno Tertrais (Le marché noir de la bombe) où lAlgérie est accusée de prolifération nucléaire, au même titre que lIran, qui a fait réagir avec vigueur le Ministre de lénergie et de lindustrie.
Le citoyen lambda ne connait pas la vérité en ce moment et cela laisse la place au doute. Il faut savoir que le taux de la population algérienne, dont la tranche dâge dépasse les 50 ans, est de 8% environ, soit plus de 2 700 000 individus. Avec le bénéfice du droit de filiation, si cette information savérait fondée, lAlgérie se viderait de sa population en peu de temps. Ceci, dans le cas où tous les individus ciblés, serait intéressés par cette mesure, bien entendu. Cela na pas fait réagir non plus le quai dOrsay, qui dhabitude, réplique par le biais de ses services de presse ou diplomatiques à létranger, en de telles circonstances. Là non plus il ne se passe rien.
Certains algériens sont allés même jusquà dire que cette mesure serait en rapport avec le contenu des accords dEvian, et quelle croupissait dans les tiroirs français depuis le refroidissement des relations entre Alger et Paris, du temps du Président Boumediene.
Ce quil faut savoir, cest que :
-Les accords dEvian ne renferment aucune disposition qui permettrait aux
Cet effet dannonce a précipité de nombreux algériens à obtenir plus de renseignements sur le sujet par voie de bouche à oreille, dinternet, etc Linformation, forte du caractère crédible de lorigine de sa source, a fait le tour du pays, et même de lhéxagone.La rumeur a dépassé la réalité.
Finalement, le journal a retiré cet article de son site web, mais la rumeur persiste encore. On ne sait trop pourquoi. Dans dautres pays une telle information, même si elle ne fait pas lobjet de poursuites pour information diffamatoire, elle serait tout au moins confirmée ou infirmée par voie autorisée.
Cela na pas été le cas, malheureusement ou heureusement pour les candidats au passage à leldorado. Pourtant, pour moins que cela, les autorités algériennes avaient réagi promptement. Il ny quà se souvenir de la publication du dernier livre de Bruno Tertrais (Le marché noir de la bombe) où lAlgérie est accusée de prolifération nucléaire, au même titre que lIran, qui a fait réagir avec vigueur le Ministre de lénergie et de lindustrie.
Le citoyen lambda ne connait pas la vérité en ce moment et cela laisse la place au doute. Il faut savoir que le taux de la population algérienne, dont la tranche dâge dépasse les 50 ans, est de 8% environ, soit plus de 2 700 000 individus. Avec le bénéfice du droit de filiation, si cette information savérait fondée, lAlgérie se viderait de sa population en peu de temps. Ceci, dans le cas où tous les individus ciblés, serait intéressés par cette mesure, bien entendu. Cela na pas fait réagir non plus le quai dOrsay, qui dhabitude, réplique par le biais de ses services de presse ou diplomatiques à létranger, en de telles circonstances. Là non plus il ne se passe rien.
Certains algériens sont allés même jusquà dire que cette mesure serait en rapport avec le contenu des accords dEvian, et quelle croupissait dans les tiroirs français depuis le refroidissement des relations entre Alger et Paris, du temps du Président Boumediene.
Ce quil faut savoir, cest que :
-Les accords dEvian ne renferment aucune disposition qui permettrait aux