Chahyine
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« La nouvelle drogue qui ne dit pas son nom »
Le Journal du Dimanche
Le Journal du Dimanche consacre près dune page à la GBL (gamma-butyrolactone), « en vente libre et bon marché, qui produit les mêmes effets que la «drogue du violeur» [et qui] inquiète les autorités sanitaires ».
Le journal cite le Dr Jean-Claude Mathieu-Daudé, responsable de lunité de toxicologie au CHU Lapeyronie, à Montpellier, qui explique que la substance « entraîne dabord de la désorientation, les gens ne savent plus où ils sont. Les utilisateurs ressentent ensuite de leuphorie, ils recherchent le contact avec les autres et perdent toute inhibition au point davoir des rapports sexuels ».
Le Journal du Dimanche note que « la suite est moins agréable : un engourdissement qui, en cas de dose importante, peut conduire au coma et à larrêt respiratoire », puis indique que « pour les autorités sanitaires, le phénomène commence à devenir préoccupant ».
Nathalie Richard, responsable du département stupéfiants et psychotropes à lAfssaps, relève ainsi que « depuis le début de lannée, on constate une augmentation notable des cas notifiés par des médecins ».
Le journal précise que le dossier est « complexe à gérer », car la GBL, « présente dans des vernis, des peintures, des produits nettoyants pour jantes, des dissolvants, est indispensable à lindustrie, aux carrossiers, aux peintres, aux restaurateurs de meubles anciens, aux laborantins ».
Le Journal du Dimanche indique qu« à Bercy, la cellule chargée de surveiller les substances qui peuvent servir à la fabrication de drogues a demandé aux fournisseurs de GBL de lui signaler toute commande suspecte. [ ] Mais les dealers et consommateurs ont tôt fait de se replier sur Internet pour sapprovisionner ».
Le journal publie un entretien avec le président de la Mildt, Etienne Apaire, qui note que « la GBL est impossible à interdire », puis souligne dans un encadré que « le Code pénal devrait bientôt senrichir dun nouveau délit : celui de «soumission chimique» ».
Le Journal du Dimanche
Le Journal du Dimanche consacre près dune page à la GBL (gamma-butyrolactone), « en vente libre et bon marché, qui produit les mêmes effets que la «drogue du violeur» [et qui] inquiète les autorités sanitaires ».
Le journal cite le Dr Jean-Claude Mathieu-Daudé, responsable de lunité de toxicologie au CHU Lapeyronie, à Montpellier, qui explique que la substance « entraîne dabord de la désorientation, les gens ne savent plus où ils sont. Les utilisateurs ressentent ensuite de leuphorie, ils recherchent le contact avec les autres et perdent toute inhibition au point davoir des rapports sexuels ».
Le Journal du Dimanche note que « la suite est moins agréable : un engourdissement qui, en cas de dose importante, peut conduire au coma et à larrêt respiratoire », puis indique que « pour les autorités sanitaires, le phénomène commence à devenir préoccupant ».
Nathalie Richard, responsable du département stupéfiants et psychotropes à lAfssaps, relève ainsi que « depuis le début de lannée, on constate une augmentation notable des cas notifiés par des médecins ».
Le journal précise que le dossier est « complexe à gérer », car la GBL, « présente dans des vernis, des peintures, des produits nettoyants pour jantes, des dissolvants, est indispensable à lindustrie, aux carrossiers, aux peintres, aux restaurateurs de meubles anciens, aux laborantins ».
Le Journal du Dimanche indique qu« à Bercy, la cellule chargée de surveiller les substances qui peuvent servir à la fabrication de drogues a demandé aux fournisseurs de GBL de lui signaler toute commande suspecte. [ ] Mais les dealers et consommateurs ont tôt fait de se replier sur Internet pour sapprovisionner ».
Le journal publie un entretien avec le président de la Mildt, Etienne Apaire, qui note que « la GBL est impossible à interdire », puis souligne dans un encadré que « le Code pénal devrait bientôt senrichir dun nouveau délit : celui de «soumission chimique» ».