Erolisk
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LAgence durbanisation et de développement dAnfa (Auda), filiale de la CDG, chargée de piloter la reconversion du site de lancien aéroport dAnfa, doit faire face à un problème de taille. 180 familles qui habitent la «Cité de lair» dAnfa se disent insatisfaits de lindemnisation proposée par ladite filiale.
Celle-ci met sur la table 900 000 DH par maison, indépendamment de la superficie. Or, «la superficie des maisons varie entre 150 et 700 m2. Il nest pas logique dindemniser tout le monde de la même manière sans prendre en compte la superficie et les changements apportés aux maisons», sinsurge un habitant de la Cité de lair. Ingénieurs de la direction de la météorologie, de lONDA ou encore de la base aérienne, les habitants se sont constitués en association pour défendre leurs intérêts.
A signaler que les maisons en question ne sont pas la propriété des habitants qui les louaient auprès de la direction des domaines. «Au moment où la CDG a acquis les terrains de la zone, nous étions sur le point de signer des contrats dacquisition de ces maisons que nous occupons depuis plusieurs années. Nous souhaitons juste discuter avec lAUDA afin de trouver une solution équitable», ajoute la même source.
Cela dit, certaines familles nont pas hésité à porter laffaire devant les juges. Contactée par La Vie éco, la direction de lAUDA, à lheure où nous mettions sous presse, navait pas encore fait connaître sa position.
La Vie Eco
Celle-ci met sur la table 900 000 DH par maison, indépendamment de la superficie. Or, «la superficie des maisons varie entre 150 et 700 m2. Il nest pas logique dindemniser tout le monde de la même manière sans prendre en compte la superficie et les changements apportés aux maisons», sinsurge un habitant de la Cité de lair. Ingénieurs de la direction de la météorologie, de lONDA ou encore de la base aérienne, les habitants se sont constitués en association pour défendre leurs intérêts.
A signaler que les maisons en question ne sont pas la propriété des habitants qui les louaient auprès de la direction des domaines. «Au moment où la CDG a acquis les terrains de la zone, nous étions sur le point de signer des contrats dacquisition de ces maisons que nous occupons depuis plusieurs années. Nous souhaitons juste discuter avec lAUDA afin de trouver une solution équitable», ajoute la même source.
Cela dit, certaines familles nont pas hésité à porter laffaire devant les juges. Contactée par La Vie éco, la direction de lAUDA, à lheure où nous mettions sous presse, navait pas encore fait connaître sa position.
La Vie Eco