L'été venait de s'achever et une nouvelle année étudiante arrivait bientôt.
Comment être heureux d'avoir laissé amis, famille et proche de l'autre coté, labas, en cet endroit ou le soleil en journée nous brule la peau, pour que le doux vent de début de soirée vienne mieux nous la rafraichir.
Parfois un simple "parce qu'il le faut" est suffisant pour expliqué bien des choses inexplicable.
J'avais la chance de faire de grandes études a Paris et je devais y aller, avec le sourire pour ne pas vexer ceux qui n'avaient pas eu la chance de fuir la misère économique qui nous touchait.
Quelques heures d'avion et j'étais déja ici ou je n'avais pas spécialement envie d'être, les autres années la tristesse de quitter les miens était rapidement remplacé par l'excitation de cet nouvelle année et la motivation de réussir pour faire honneur aux miens que j'avais quitté.
La grisaille Parisienne était arrivé un peu plus tot cette année et semblaitm'avertir a la décente de mon avion que cette année, Paris ne voulait pas de moi.
Un douleureux pressentiment m'envahi et j'appelais dans le taxi, mes parents pour savoir si chez eux tout allait bien, ils sentirent mon inquétude et ma tristesse, ma mère su comme d'habitude trouver les mots pour me rassurer et je pus ainsi gagner ma chambre étudiante que je maudissais comme tout les éléments qui allaient durant les prochains mois constituer mon quotidien.
Les jours qui suivirent mon arrivée dans cette ville ou je ne connaissait personne, me firent, rejoué a l'infini un "best of" de cette été formidable qui venait de s'écouler. Je voulais rentrer et si je faisais semblant d'être fort le jour, le soir, seul dans ma petite pièce mes larmes de nostalgie étaient beaucoup plus difficiles a ravaler.
Je faisait tout chaque jour pour me noyer dans cette routine, pour rester a flot et ne pas laisser mes souvenirs me submerger.
Je me martelais a chaque instant "fait le pour eux" et "rend les fiers" comme un slogan pour ne pas qu'ils me voient adandonné.
Plus triste qu'a l'accoutumé mon malaise était psychologique mais physiquement aussi ça n'allait pas, je ne savais dire mais je me sentais quelque peu different...
Comment être heureux d'avoir laissé amis, famille et proche de l'autre coté, labas, en cet endroit ou le soleil en journée nous brule la peau, pour que le doux vent de début de soirée vienne mieux nous la rafraichir.
Parfois un simple "parce qu'il le faut" est suffisant pour expliqué bien des choses inexplicable.
J'avais la chance de faire de grandes études a Paris et je devais y aller, avec le sourire pour ne pas vexer ceux qui n'avaient pas eu la chance de fuir la misère économique qui nous touchait.
Quelques heures d'avion et j'étais déja ici ou je n'avais pas spécialement envie d'être, les autres années la tristesse de quitter les miens était rapidement remplacé par l'excitation de cet nouvelle année et la motivation de réussir pour faire honneur aux miens que j'avais quitté.
La grisaille Parisienne était arrivé un peu plus tot cette année et semblaitm'avertir a la décente de mon avion que cette année, Paris ne voulait pas de moi.
Un douleureux pressentiment m'envahi et j'appelais dans le taxi, mes parents pour savoir si chez eux tout allait bien, ils sentirent mon inquétude et ma tristesse, ma mère su comme d'habitude trouver les mots pour me rassurer et je pus ainsi gagner ma chambre étudiante que je maudissais comme tout les éléments qui allaient durant les prochains mois constituer mon quotidien.
Les jours qui suivirent mon arrivée dans cette ville ou je ne connaissait personne, me firent, rejoué a l'infini un "best of" de cette été formidable qui venait de s'écouler. Je voulais rentrer et si je faisais semblant d'être fort le jour, le soir, seul dans ma petite pièce mes larmes de nostalgie étaient beaucoup plus difficiles a ravaler.
Je faisait tout chaque jour pour me noyer dans cette routine, pour rester a flot et ne pas laisser mes souvenirs me submerger.
Je me martelais a chaque instant "fait le pour eux" et "rend les fiers" comme un slogan pour ne pas qu'ils me voient adandonné.
Plus triste qu'a l'accoutumé mon malaise était psychologique mais physiquement aussi ça n'allait pas, je ne savais dire mais je me sentais quelque peu different...