La pédophilie fait des ravages en Algérie

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La pédophilie fait des ravages en Algérie
Plus de 1000 victimes par an comptabilisées

Le phénomène de la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur en Algérie. Si les victimes des violences sexuelles se comptent parmi toutes les catégories d’âge et sans distinction de sexe, il n’en demeure pas moins que les mineurs restent les cibles les plus privilégiées des agresseurs. Attentat à la pudeur, viol, acte indécent, inceste... sont autant de maux qui continuent bel et bien d’exister dans notre société qui, souvent, refuse de regarder en face ces phénomènes. Il ne se passe pas un jour sans que ce genre de violence occupe les manchettes des journaux. Si l’on se fie aux décomptes des différents services de lutte contre ce phénomène, c’est près d’un millier de cas qui a été recensé durant l’année 2008. Mais la réalité est tout autre.


lundi 16 mars 2009, par notre partenaire El Watan

Combien y a-t-il de victimes ? « En réalité beaucoup plus, certainement 3 à 4 fois plus de ce qui est rendu public », commente le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Khiati. Contacté hier, il estime que « c’est un phénomène qui ne fait que croître parce que les gens en parlent et le signalent de plus en plus ». Sans omettre de préciser que « d’autres cas de violences sexuelles existent à des taux qui restent à préciser ». En tout état de cause, pour ce spécialiste des enquêtes sur la violence à l’égard des enfants, « les parents transgressent les tabous et déclarent ces violences qui étaient auparavant cachées ». Pour lui, « les chiffres donnés aujourd’hui traduisent les plus grandes communications des personnes touchées mais restent en deçà de la réalité ». Pourquoi ? « Difficile de connaître cette réalité, car il s’agit de distinguer la vérité que disent les enfants », selon le Pr Khiati qui nuance : « Pour parler de la violence, il faut qu’il y ait des situations et surtout des déclarations des enfants qui confortent les auteurs. »

Il cite le cas des attouchements où, selon lui, « les déclarations des enfants sont en fonction de leur âge et de leur niveau intellectuel ». Il explique : « Lorsqu’il s’agit d’attouchements, c’est encore plus compliqué. Pour ce cas d’abus, il faut mettre cela entre les mains de personnels très avisés, des juges bien formés, des psychologues, des points d’écoute, des éducateurs et des maîtres d’école », explique-t-il. C’est pourquoi le Pr Khiati pense qu’« une meilleure information dirigée avec tact envers les enfants pourrait nous donner une projection plus réaliste ». Cela étant, l’abus sexuel est souvent découvert suite à une fugue de la victime alors que l’acte se déroule souvent dans une maison cloîtrée, sur un chantier ou dans un endroit isolé. Bien sûr, chez les familles, savoir que son enfant a subi d’atroces sévices est quelque chose d’insupportable. La douleur est profonde. Chez la victime, le viol laisse une empreinte indélébile. S’il est déjà une atteinte physique, le viol est aussi une souillure psychologique qui l’accompagne toute sa vie ; la victime demeure prisonnière de cet acte abject et condamnable tant qu’elle n’aura pas exorcisé son mal.

L’inceste reste un tabou

Les abus sexuels intrafamiliaux sont aussi plus fréquents au moment de la puberté, celui le plus souvent rencontré est l’inceste qui conduit à des conséquences encore plus fâcheuses sur le plan psychologique. « L’inceste reste un tabou "jalousement gardé", il n’y a que les adolescentes (ou les adolescents) qui le révèlent quand elles (ils) quittent la maison », selon Pr Khiati. C’est dire que cette forme de criminalité requiert un combat sans merci contre ses auteurs qui, en usant de violence, font aussi preuve de lâcheté et de vilenie pour ne citer que ces deux adjectifs qui sont encore loin de décrire la gravité de l’acte du viol. Pour y faire face, des ONG imaginent souvent des outils pédagogiques de sensibilisation et d’information au profit des enfants. Est-ce suffisant ? « Il est nécessaire de mettre en place des mécanismes de prise en charge immédiatement », estime M. Khiati. Plus explicite, notre interlocuteur invite les pouvoirs publics à « créer des mécanismes de coordination entre les associations qui s’occupent des enfants et les différents organes de protection, la GN, la police et la justice, mais aussi les structures d’accueil ».

Son constat : « D’une façon générale, la prise en charge des enfants victimes de maltraitance est déficitaire et les mécanismes sont très lents à mettre en place. » Il est vrai que les structures d’accueil en font défaut. Beaucoup de victimes demeurent sans prise en charge – psychologique surtout – après avoir été victimes d’abus sexuels. Il n’y a pas d’assistance sociale. Pire que cela, « il n’y a pas de structures en dehors de celles habituelles, police, Gendarmerie nationale et tribunaux pour déposer plainte ». C’est pourquoi d’ailleurs, « même le nombre de plaintes est un chiffre à reconsidérer, car les gens en parlent plus », selon M. Khiati, qui indique que « selon des chiffres des différents organes de lutte depuis début 2000 à aujourd’hui, le nombre de plaintes a été multiplié par 4 ». Peu importe, n’est-il pas temps pour les pouvoirs publics de sortir de leur hibernation et d’entamer un travail d’accompagnement et de sensibilisation pour venir à bout de cette absurdité ? Cela, sans compter que la famille doit elle aussi jouer son rôle.

Par Rabah Beldjenna pour El Watan
 
Ne nous dénigrons pas sur ce sujet svp, vous allez juste récolter dnoub, avant d'être algériens ou marocains, ce sont d'abord des enfants, nous devons tous lutter avec force contre ce fléau. Essayons de nous comparer sur le taux d'analphabétisme, le taux de chomage, le nombre de diplomés ou autres, mais pas sur ça.
 
La pédophilie fait des ravages en Algérie
Plus de 1000 victimes par an comptabilisées

Le phénomène de la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur en Algérie. Si les victimes des violences sexuelles se comptent parmi toutes les catégories d’âge et sans distinction de sexe, il n’en demeure pas moins que les mineurs restent les cibles les plus privilégiées des agresseurs. Attentat à la pudeur, viol, acte indécent, inceste... sont autant de maux qui continuent bel et bien d’exister dans notre société qui, souvent, refuse de regarder en face ces phénomènes. Il ne se passe pas un jour sans que ce genre de violence occupe les manchettes des journaux. Si l’on se fie aux décomptes des différents services de lutte contre ce phénomène, c’est près d’un millier de cas qui a été recensé durant l’année 2008. Mais la réalité est tout autre.


lundi 16 mars 2009, par notre partenaire El Watan

Combien y a-t-il de victimes ? « En réalité beaucoup plus, certainement 3 à 4 fois plus de ce qui est rendu public », commente le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Khiati. Contacté hier, il estime que « c’est un phénomène qui ne fait que croître parce que les gens en parlent et le signalent de plus en plus ». Sans omettre de préciser que « d’autres cas de violences sexuelles existent à des taux qui restent à préciser ». En tout état de cause, pour ce spécialiste des enquêtes sur la violence à l’égard des enfants, « les parents transgressent les tabous et déclarent ces violences qui étaient auparavant cachées ». Pour lui, « les chiffres donnés aujourd’hui traduisent les plus grandes communications des personnes touchées mais restent en deçà de la réalité ». Pourquoi ? « Difficile de connaître cette réalité, car il s’agit de distinguer la vérité que disent les enfants », selon le Pr Khiati qui nuance : « Pour parler de la violence, il faut qu’il y ait des situations et surtout des déclarations des enfants qui confortent les auteurs. »

Il cite le cas des attouchements où, selon lui, « les déclarations des enfants sont en fonction de leur âge et de leur niveau intellectuel ». Il explique : « Lorsqu’il s’agit d’attouchements, c’est encore plus compliqué. Pour ce cas d’abus, il faut mettre cela entre les mains de personnels très avisés, des juges bien formés, des psychologues, des points d’écoute, des éducateurs et des maîtres d’école », explique-t-il. C’est pourquoi le Pr Khiati pense qu’« une meilleure information dirigée avec tact envers les enfants pourrait nous donner une projection plus réaliste ». Cela étant, l’abus sexuel est souvent découvert suite à une fugue de la victime alors que l’acte se déroule souvent dans une maison cloîtrée, sur un chantier ou dans un endroit isolé. Bien sûr, chez les familles, savoir que son enfant a subi d’atroces sévices est quelque chose d’insupportable. La douleur est profonde. Chez la victime, le viol laisse une empreinte indélébile. S’il est déjà une atteinte physique, le viol est aussi une souillure psychologique qui l’accompagne toute sa vie ; la victime demeure prisonnière de cet acte abject et condamnable tant qu’elle n’aura pas exorcisé son mal.

L’inceste reste un tabou

Les abus sexuels intrafamiliaux sont aussi plus fréquents au moment de la puberté, celui le plus souvent rencontré est l’inceste qui conduit à des conséquences encore plus fâcheuses sur le plan psychologique. « L’inceste reste un tabou "jalousement gardé", il n’y a que les adolescentes (ou les adolescents) qui le révèlent quand elles (ils) quittent la maison », selon Pr Khiati. C’est dire que cette forme de criminalité requiert un combat sans merci contre ses auteurs qui, en usant de violence, font aussi preuve de lâcheté et de vilenie pour ne citer que ces deux adjectifs qui sont encore loin de décrire la gravité de l’acte du viol. Pour y faire face, des ONG imaginent souvent des outils pédagogiques de sensibilisation et d’information au profit des enfants. Est-ce suffisant ? « Il est nécessaire de mettre en place des mécanismes de prise en charge immédiatement », estime M. Khiati. Plus explicite, notre interlocuteur invite les pouvoirs publics à « créer des mécanismes de coordination entre les associations qui s’occupent des enfants et les différents organes de protection, la GN, la police et la justice, mais aussi les structures d’accueil ».

Son constat : « D’une façon générale, la prise en charge des enfants victimes de maltraitance est déficitaire et les mécanismes sont très lents à mettre en place. » Il est vrai que les structures d’accueil en font défaut. Beaucoup de victimes demeurent sans prise en charge – psychologique surtout – après avoir été victimes d’abus sexuels. Il n’y a pas d’assistance sociale. Pire que cela, « il n’y a pas de structures en dehors de celles habituelles, police, Gendarmerie nationale et tribunaux pour déposer plainte ». C’est pourquoi d’ailleurs, « même le nombre de plaintes est un chiffre à reconsidérer, car les gens en parlent plus », selon M. Khiati, qui indique que « selon des chiffres des différents organes de lutte depuis début 2000 à aujourd’hui, le nombre de plaintes a été multiplié par 4 ». Peu importe, n’est-il pas temps pour les pouvoirs publics de sortir de leur hibernation et d’entamer un travail d’accompagnement et de sensibilisation pour venir à bout de cette absurdité ? Cela, sans compter que la famille doit elle aussi jouer son rôle.

Par Rabah Beldjenna pour El Watan

La solution est simple.Pour les violeurs (les pedo inclus) il faut un chatiment exemplaire dans la source juridique serait la sharia, mais pour cela il faut generaliser la formation et la "daoua".
Le probleme de l Algerie un pays que je connais bien, c est qu il est passe par 40 ans de pouvoir koufar, les 30 premiers annees, les rouges (en parti) etaient au pouvoir, apres la chute de soviets, les royges du monde entier et ceux d algerie sont devenu des businessmen mais tjr kouafr.C e qui sauve l Algerie se sont les oulemas qui ont toujours continuer a faire la daoua qui a atteint son meilleurs niveau durant la fin des annees80 debut 90 mais bon certains et c est dommage ont prefere faire de la politique (fis) au lieu de continuer a former le peuple.
 
La solution est simple.Pour les violeurs (les pedo inclus) il faut un chatiment exemplaire dans la source juridique serait la sharia, mais pour cela il faut generaliser la formation et la "daoua".
Le probleme de l Algerie un pays que je connais bien, c est qu il est passe par 40 ans de pouvoir koufar, les 30 premiers annees, les rouges (en parti) etaient au pouvoir, apres la chute de soviets, les royges du monde entier et ceux d algerie sont devenu des businessmen mais tjr kouafr.C e qui sauve l Algerie se sont les oulemas qui ont toujours continuer a faire la daoua qui a atteint son meilleurs niveau durant la fin des annees80 debut 90 mais bon certains et c est dommage ont prefere faire de la politique (fis) au lieu de continuer a former le peuple.

Avec les resultats que l'on sait. :rolleyes:
 
Avec les resultats que l'on sait. :rolleyes:

Les massacres en Algerie ont ete commis par les rouges et autres kouffars au pouvoir, d ailleurs l un d eux qui est je crois general (formation chez les soviet bien sur et la RF) a la retraite a dit qu il aurait massacrer 2 millions d algeriens s il le fallait pour garantir l ordre...son ordre et celui de sa horde bien sur.
 
Les massacres en Algerie ont ete commis par les rouges et autres kouffars au pouvoir, d ailleurs l un d eux qui est je crois general (formation chez les soviet bien sur et la RF) a la retraite a dit qu il aurait massacrer 2 millions d algeriens s il le fallait pour garantir l ordre...son ordre et celui de sa horde bien sur.

Un autre à côté a dit grosso modo que Dieu lui autorise à se débarrasser d'un tiers de sa population et continuer avec le reste pour sauvegarder son trône. Comme quoi maroc=algérie
 
Un autre à côté a dit grosso modo que Dieu lui autorise à se débarrasser d'un tiers de sa population et continuer avec le reste pour sauvegarder son trône. Comme quoi maroc=algérie

ben moi je soutien les dieux , c'est mieux que de laisser le maghreb arabe entre les mains des sioniste est de quelque barbar khawana

enlevé quelque pomme pouris du casier est un jeste noble
 
Un autre à côté a dit grosso modo que Dieu lui autorise à se débarrasser d'un tiers de sa population et continuer avec le reste pour sauvegarder son trône. Comme quoi maroc=algérie

Bien sur, l intermittant du spectacle qui fait une mosquee de temps en temps et qui entourrer de koufars doit barboter comme sont homologue de l entite algerienne.
Je rappel que l Algerie et le Maroc sont des creation des koufars colonialistes de la RF.
 
ben moi je soutien les dieux , c'est mieux que de laisser le maghreb arabe entre les mains des sioniste est de quelque barbar khawana

enlevé quelque pomme pouris du casier est un jeste noble

Bien-sûr, c'est vrai que les dirigeants actuels du Maghreb sont des gens pieux, humbles et qui ne sont pas soumis à l'étranger
 
Bien-sûr, c'est vrai que les dirigeants actuels du Maghreb sont des gens pieux, humbles et qui ne sont pas soumis à l'étranger

je ne dit pas ca dutous , est la situation actuelle me derange aussi , mais croit moi pour le momet c'est la moins pire c'est tous

demain le 18 vous aurait votre chaine tv amazygh content :fou: ou
 
La solution est simple.Pour les violeurs (les pedo inclus) il faut un chatiment exemplaire dans la source juridique serait la sharia, mais pour cela il faut generaliser la formation et la "daoua".
Le probleme de l Algerie un pays que je connais bien, c est qu il est passe par 40 ans de pouvoir koufar, les 30 premiers annees, les rouges (en parti) etaient au pouvoir, apres la chute de soviets, les royges du monde entier et ceux d algerie sont devenu des businessmen mais tjr kouafr.C e qui sauve l Algerie se sont les oulemas qui ont toujours continuer a faire la daoua qui a atteint son meilleurs niveau durant la fin des annees80 debut 90 mais bon certains et c est dommage ont prefere faire de la politique (fis) au lieu de continuer a former le peuple.

Tu peux aussi nous donner le nombre d'algériens morts assassinés, egorgés, violées pour les femmes et autres massacres !!!!!!

L'extrémisme n'a fait qu'enfoncer la tête dans la *****, une Algérie qui avait du mal à se remettre de sa colonisation!
 
Tu peux aussi nous donner le nombre d'algériens morts assassinés, egorgés, violées pour les femmes et autres massacres !!!!!!

L'extrémisme n'a fait qu'enfoncer la tête dans la *****, une Algérie qui avait du mal à se remettre de sa colonisation!

Tout ces povres gens ont ete massacre par les rouges du pouvoir algeriens.Les petit caid rouges de l armee algeirennes ont ete forme comme tout le monde le sait chez les soviets et la RF, ils ont mis en pratique leurs barbare education de koufars pour garder le pouvoir apres que le pays soit passer du socialisme a l econoñie de marche.
 
Tout ces povres gens ont ete massacre par les rouges du pouvoir algeriens.Les petit caid rouges de l armee algeirennes ont ete forme comme tout le monde le sait chez les soviets et la RF, ils ont mis en pratique leurs barbare education de koufars pour garder le pouvoir apres que le pays soit passer du socialisme a l econoñie de marche.

Santpseudo, ton discours est vraiment binaire.
 
Je n'ai pas à t'éclairer, Santpseudo. Les massacres en Algérie sont le fait de terroristes, certains, semble-t-il manipulés par l'armée. L'armée a aussi son lot de massacre. Mais ta manière de toujours ramener cela à une lutte entre Kouffars et Mouminine est vraiment binaire!
 
Pourquoi toujours mettre du bouteflika dans la sauce ? Les Algeriens ne sont pas sujets d'un président comme ils le seraient d'un roi alors il faut éviter de partir dans des raccourcis insensés.

Pour le reste le titre est bien evidemment exagéré, la pédophilie est un fléau que nous devons tous combattre. A part ça certains donneurs de leçons préfèrent faire la morale à ceux qui ne se couvrent pas le visage et les jambes plutôt que de dénoncer ces atteintes à la pudeur ; ah oui pour ça ils se font discrets.
 
el watan,baveux que je lis avec modération (1 par trimestre,le quotidient d'oran ,je lis raina raikoum de kamel daoud et je jette ,ces baveux disais-je donc parle de temps à autre de ce genre de sujet (pedophilie etc)mais comment appelle t'on le phénomène ou tout le peuple est baisé? grands et petits...
 
el watan,baveux que je lis avec modération (1 par trimestre,le quotidient d'oran ,je lis raina raikoum de kamel daoud et je jette ,ces baveux disais-je donc parle de temps à autre de ce genre de sujet (pedophilie etc)mais comment appelle t'on le phénomène ou tout le peuple est baisé? grands et petits...

Ouhda thalitha made by bouteftef!!!
 
je ne dit pas ca dutous , est la situation actuelle me derange aussi , mais croit moi pour le momet c'est la moins pire c'est tous

demain le 18 vous aurait votre chaine tv amazygh content :fou: ou

ça c rien par rapport a se qu'on veut nous on veut que tous le monde soit egaux et pas une petite parti de la population prend la part des autre nous se qu'on veut c que nos dirigeant lute contre l'alcool, la droque, la prostitution, la pedophilie, le tourisme sexuel, qu'on ne ferme pas des mosqués pour le bien des touriste, que les frontières avec l'Algerie soit réouvert que le Maroc ne torture pas et surtout pas pour le compte des autre pays
tous simplement on veut que le pays soit régit par les loi islamique
 
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