L'Equateur avait une dette, extérieure, de 3 milliards de dollars. Des experts non conventionnels ni financiers avait suggéré d'annuler unilatéralement cette dette. Les Equatoriens ont fait plus rigolo. Ils ont fait courir le bruit qu'ils allaient annuler cette dette. Effet garanti, les créanciers ont commencer à brader leurs titres. En sous-main, Correa et ses complices ont racheté les titres au tiers de leur valeur d'émission. Gain : 2 milliards de dollars et over the counter, s'il vous plaît. C'est pas un Papandreou ou un Sarkozy qui les auraient d'en faire pareil.