vendredi 05 FÉVRIER 2010, 16:08 France
Des spectateurs ont été extraits de force d'une salle parce que leur fille avait moins de 3 ans. Le directeur général d'UGC France-Europe, Jean-Marie Dura, explique que l'exploitant n'a fait que respecter la loi.
Tout avait pourtant bien commencé. Samedi matin, six adultes et neuf enfants décident daller voir le dernier Disney, La Princesse et la Grenouille , dans un cinéma parisien. Mais au contrôle, louvreuse demande lâge des petits. La plus jeune a deux ans et dix mois. "Du coup, l'entrée nous a été refusée", témoigne l'un des pères, Éric Bordron, dans Le Figaro . Ils décident malgré tout de passer outre et sinstallent dans la salle de lUGC des Halles.
Très vite, des policiers débarquent dans la salle, torche en main et accompagnés de lemployée de lentrée. Ils obligent alors les trois familles à quitter les lieux. Effrayés, les enfants pleurent. À la sortie, "nous avons été encerclés par une dizaine d'autres policiers, matraques en évidence", raconte Éric Bordron. "Pour éviter de finir au commissariat, nous avons quitté les lieux. Nous avons perdu nos cent euros car UGC a refusé de nous rembourser."
Le directeur général d'UGC France-Europe, Jean-Marie Dura, explique que lexploitant na fait que respecter la loi. L'article 198 de l'ordonnance de préfecture de police de Paris du 1 er janvier 1927, en loccurrence, qui interdit lentrée aux enfants de moins de 3 ans. "La réglementation est un peu vieille, mais il sagit de protéger les enfants parce que le son et les images peuvent être parfois un peu perturbants pour les enfants". (Source Europe 1)
Des spectateurs ont été extraits de force d'une salle parce que leur fille avait moins de 3 ans. Le directeur général d'UGC France-Europe, Jean-Marie Dura, explique que l'exploitant n'a fait que respecter la loi.
Tout avait pourtant bien commencé. Samedi matin, six adultes et neuf enfants décident daller voir le dernier Disney, La Princesse et la Grenouille , dans un cinéma parisien. Mais au contrôle, louvreuse demande lâge des petits. La plus jeune a deux ans et dix mois. "Du coup, l'entrée nous a été refusée", témoigne l'un des pères, Éric Bordron, dans Le Figaro . Ils décident malgré tout de passer outre et sinstallent dans la salle de lUGC des Halles.
Très vite, des policiers débarquent dans la salle, torche en main et accompagnés de lemployée de lentrée. Ils obligent alors les trois familles à quitter les lieux. Effrayés, les enfants pleurent. À la sortie, "nous avons été encerclés par une dizaine d'autres policiers, matraques en évidence", raconte Éric Bordron. "Pour éviter de finir au commissariat, nous avons quitté les lieux. Nous avons perdu nos cent euros car UGC a refusé de nous rembourser."
Le directeur général d'UGC France-Europe, Jean-Marie Dura, explique que lexploitant na fait que respecter la loi. L'article 198 de l'ordonnance de préfecture de police de Paris du 1 er janvier 1927, en loccurrence, qui interdit lentrée aux enfants de moins de 3 ans. "La réglementation est un peu vieille, mais il sagit de protéger les enfants parce que le son et les images peuvent être parfois un peu perturbants pour les enfants". (Source Europe 1)