La première "salle de shoot" française ouvre à paris

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Des ouvriers mettent, ce vendredi, un dernier coup de vernis sur les murs de l’accueil. Il faudra encore installer un pare-vue afin d’isoler le bâtiment de la maternité voisine et poser des crochets pour que les « usagers de drogue » puissent attacher leurs chiens sur le perron. Mais le chantier touche à sa fin : la très controversée « salle de consommation à moindre risque », dite « salle de shoot », installée en lisière de l’hôpital Lariboisière à Paris, sera achevée pour son inauguration mardi.
Coordinatrice de cette structure pionnière de quelque 400 m2, Céline Debaulieu se réjouit de pouvoir y accueillir « des personnes marginalisées » qu’elle connaît depuis des années par « leur prénom ou leur surnom ». L’association Gaïa, gestionnaire de l’établissement expérimental financé par la Sécurité sociale, pilote déjà plusieurs lieux d’accueil à Paris. Surtout, elle possède un camion qui vient à la rencontre des toxicomanes dans le quartier de la gare du nord. Des hommes en majorité, pour moitié SDF, aux vies cabossées (souvent passés par les services de l’aide sociale à l’enfance et victimes de maltraitances). Des trentenaires ou quadra qui s’injectent du sulfate de morphine ou du Subutex (médicament de substitution détourné de son usage), dans les Sanisette Decaux et le parking sous-terrain. « La salle, ce sera un outil important pour ceux qui vont le plus mal », décode Céline Debaulieu.


Stratégie prônée par l’ONU
Autorisé par la loi santé, le dispositif, déjà opérationnel dans une dizaine de pays, n’a rien d’innovant aux yeux des professionnels des addictions.
 
Sont complètement idiots....en ce moment tous les soirs je suis dans un chu à rendre visite et je vois des malades, des visiteurs, des employés qui fument leur oinj d'herbe en extérieur des bâtiments mais quand même à l'intérieur de l'enceinte hôspitalière....mdrrrrrrrrrr ça me fait bien rire tout ce bling bling tiens!!!
 
Sont complètement idiots....en ce moment tous les soirs je suis dans un chu à rendre visite et je vois des malades, des visiteurs, des employés qui fument leur oinj d'herbe en extérieur des bâtiments mais quand même à l'intérieur de l'enceinte hôspitalière....mdrrrrrrrrrr ça me fait bien rire tout ce bling bling tiens!!!


Récemment rendant visite à un malade dans un hôpital parisien, j'étais accompagné par une jeune femme qui marchait à l'aide d'une canne anglaise , le genou pris par une grosse attelle. Sur le trottoir, à l'entrée du pavillon ou de l'ascenseur, tout le monde nous cédait avec le passage. La blessée me fit remarquer qu'elle a été surprise de voir tant de compassion de la part des visiteurs de le l'hôpital.

Ce serait, je pense la même réaction qu'auront patients et parents à l'encontre des malades pauvres qui fréquenteront la salle de shoot de leur hôpital.
 
Sont complètement idiots....en ce moment tous les soirs je suis dans un chu à rendre visite et je vois des malades, des visiteurs, des employés qui fument leur oinj d'herbe en extérieur des bâtiments mais quand même à l'intérieur de l'enceinte hôspitalière....mdrrrrrrrrrr ça me fait bien rire tout ce bling bling tiens!!!
j'ai pas compris ce qui te faisait rire en fait ?
Une salle de shoot c'est pas pour fumer son pet' hein ...
 
Rien de bien méchant en somme.

Ils sont "drogués" et rien ne pourra les arreter de se piquer... sauf la mort.
Alors autant les laisser faire dans un endroit propre et sécurisé, plutot que de retrouver des emballages de subutex et autres seringues trainant au sol et qui pourrait être dangereux pour le public.
 
Ils sont "drogués" et rien ne pourra les arreter de se piquer... sauf la mort.
Je ne suis pas d'accord...
J'ai connu un couple par le passé (les parents d'une ancienne amie) , ces gens là ont aujourd'hui une cinquantaine d'année, à leur époque c'était l'héro qui était à la mode et ils ont consommés pendant presque 1an, un jour lui a voulu arrêter, elle n'était pas trop chaude mais n'a pas eu le choix, ils se sont enfermés 1mois dans leur appart avec plein de courses et de clopes, ils ont morflés de ouf, surtout lui car elle essayait de l'inciter à reconsommer, ils n'ont tenu que grâce à la volonté du mec, aujourd'hui ils sont mariés depuis belle lurette, ont des enfants assez grands, ont un travail et ne consomment plus rien du tout
 
Je ne suis pas d'accord...
J'ai connu un couple par le passé (les parents d'une ancienne amie) , ces gens là ont aujourd'hui une cinquantaine d'année, à leur époque c'était l'héro qui était à la mode et ils ont consommés pendant presque 1an, un jour lui a voulu arrêter, elle n'était pas trop chaude mais n'a pas eu le choix, ils se sont enfermés 1mois dans leur appart avec plein de courses et de clopes, ils ont morflés de ouf, surtout lui car elle essayait de l'inciter à reconsommer, ils n'ont tenu que grâce à la volonté du mec, aujourd'hui ils sont mariés depuis belle lurette, ont des enfants assez grands, ont un travail et ne consomment plus rien du tout


Je suis d'accord :D

Je parlais des gens qui ne souhaitait pas forcément arrêter la drogue.
 
Rien de bien méchant en somme.

Ils sont "drogués" et rien ne pourra les arreter de se piquer... sauf la mort.
Alors autant les laisser faire dans un endroit propre et sécurisé, plutot que de retrouver des emballages de subutex et autres seringues trainant au sol et qui pourrait être dangereux pour le public.

Pourquoi pas une salle de suicide aussi??
 
Des ouvriers mettent, ce vendredi, un dernier coup de vernis sur les murs de l’accueil. Il faudra encore installer un pare-vue afin d’isoler le bâtiment de la maternité voisine et poser des crochets pour que les « usagers de drogue » puissent attacher leurs chiens sur le perron. Mais le chantier touche à sa fin : la très controversée « salle de consommation à moindre risque », dite « salle de shoot », installée en lisière de l’hôpital Lariboisière à Paris, sera achevée pour son inauguration mardi.
Coordinatrice de cette structure pionnière de quelque 400 m2, Céline Debaulieu se réjouit de pouvoir y accueillir « des personnes marginalisées » qu’elle connaît depuis des années par « leur prénom ou leur surnom ». L’association Gaïa, gestionnaire de l’établissement expérimental financé par la Sécurité sociale, pilote déjà plusieurs lieux d’accueil à Paris. Surtout, elle possède un camion qui vient à la rencontre des toxicomanes dans le quartier de la gare du nord. Des hommes en majorité, pour moitié SDF, aux vies cabossées (souvent passés par les services de l’aide sociale à l’enfance et victimes de maltraitances). Des trentenaires ou quadra qui s’injectent du sulfate de morphine ou du Subutex (médicament de substitution détourné de son usage), dans les Sanisette Decaux et le parking sous-terrain. « La salle, ce sera un outil important pour ceux qui vont le plus mal », décode Céline Debaulieu.


Stratégie prônée par l’ONU
Autorisé par la loi santé, le dispositif, déjà opérationnel dans une dizaine de pays, n’a rien d’innovant aux yeux des professionnels des addictions.
Salam remake,
Qu'ils créent des services spécialisés dans les hôpitaux, des unités mobiles, pas besoin de salle de shoot.
Maos c'est une bonne chose d'essayer de réinsérer ces malades.

PS: Et en attendant qu'ils trouvent un autre nom que salle de shoot.
 
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