La production d’avocats assoiffe la population au Chili

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Les avocats sont en vogue - les pays de l’UE en ont importé 700 000 tonnes l’an dernier. Cet engouement a des conséquences catastrophiques dans les zones de production : au Chili, les exportateurs d’avocats ont acheté des permis d’eau et assèchent la nature avec leurs systèmes d’irrigation, ne laissant plus une goutte à la population.

Au Président et à la ministre de l’Environnement du Chili, au gouvernement de la province de Petorca et à la direction générale de l’agence de l’eau DGA
L’eau est un droit fondamental : abrogez la loi de l’eau de 1981 au Chili, limitez la culture des avocats et garantissez l’accès à l’eau pour tous les habitants

Les montagnes de la province de Petorca sont asséchées. Il n’y tombe que 200 mm de pluie par an. Les habitants vivent depuis des années dans les vallées, où des fleuves descendant des Andes permettent de cultiver un peu la terre.

Mais depuis quelques années, un conflit oppose la population à une armée d’arbres fruitiers gourmands en eau. Des entreprises cultivent des fruits destinés à l’exportation sur 8000 ha, pour la plupart des avocats.

D’interminables rangées d’avocatiers s’étendent sur les flancs de la montagne. Chaque avocatier a besoin d’env. 600 litres d’eau par semaine, un précieux liquide que les exploitants pompent dans des puits et acheminent dans des bassins d’irrigation.

Dans les zones environnantes, les fleuves sont asséchés et la végétation flétrie. Les champs des petits exploitants agricoles sont laissés en friche, car une méga-sécheresse sévit dans la région depuis 10 ans. La nappe phréatique est presque épuisée. Les réserves d’eau ont déjà diminué de 80 % selon les indications de l’agence de l’eau.

La population considère cela comme un vol d’eau. Les autorités accordent des permis d’eau aux plantations d’avocats et de nombreux puits ont été forés illégalement. Apparemment, les intérêts commerciaux et l’exportation de fruits sont plus importants que les droits des habitants.

Les autorités distribuent 50 litres d’eau par jour et par personne. Cette quantité d’eau ne suffit pas à mener une existence digne, satisfaire les besoins vitaux et vivre de l’agriculture traditionnelle.

Des organisations comme le Movimiento por el Agua y los Territorios et l’école d’agroécologie Germinar veulent récupérer l’eau pour les habitants et la nature. Ils exigent une distribution équitable de l’eau et l’abrogation de la loi sur l’eau instaurée sous la dictature militaire.

https://www.sauvonslaforet.org/peti...Wqte01RaD3D_k_dN5DMwe4j6Sqt7NydRZrO95bMUB3sMA
 
Les avocats sont en vogue - les pays de l’UE en ont importé 700 000 tonnes l’an dernier. Cet engouement a des conséquences catastrophiques dans les zones de production : au Chili, les exportateurs d’avocats ont acheté des permis d’eau et assèchent la nature avec leurs systèmes d’irrigation, ne laissant plus une goutte à la population.

Au Président et à la ministre de l’Environnement du Chili, au gouvernement de la province de Petorca et à la direction générale de l’agence de l’eau DGA
L’eau est un droit fondamental : abrogez la loi de l’eau de 1981 au Chili, limitez la culture des avocats et garantissez l’accès à l’eau pour tous les habitants

Les montagnes de la province de Petorca sont asséchées. Il n’y tombe que 200 mm de pluie par an. Les habitants vivent depuis des années dans les vallées, où des fleuves descendant des Andes permettent de cultiver un peu la terre.

Mais depuis quelques années, un conflit oppose la population à une armée d’arbres fruitiers gourmands en eau. Des entreprises cultivent des fruits destinés à l’exportation sur 8000 ha, pour la plupart des avocats.

D’interminables rangées d’avocatiers s’étendent sur les flancs de la montagne. Chaque avocatier a besoin d’env. 600 litres d’eau par semaine, un précieux liquide que les exploitants pompent dans des puits et acheminent dans des bassins d’irrigation.

Dans les zones environnantes, les fleuves sont asséchés et la végétation flétrie. Les champs des petits exploitants agricoles sont laissés en friche, car une méga-sécheresse sévit dans la région depuis 10 ans. La nappe phréatique est presque épuisée. Les réserves d’eau ont déjà diminué de 80 % selon les indications de l’agence de l’eau.

La population considère cela comme un vol d’eau. Les autorités accordent des permis d’eau aux plantations d’avocats et de nombreux puits ont été forés illégalement. Apparemment, les intérêts commerciaux et l’exportation de fruits sont plus importants que les droits des habitants.

Les autorités distribuent 50 litres d’eau par jour et par personne. Cette quantité d’eau ne suffit pas à mener une existence digne, satisfaire les besoins vitaux et vivre de l’agriculture traditionnelle.

Des organisations comme le Movimiento por el Agua y los Territorios et l’école d’agroécologie Germinar veulent récupérer l’eau pour les habitants et la nature. Ils exigent une distribution équitable de l’eau et l’abrogation de la loi sur l’eau instaurée sous la dictature militaire.

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Quand il exporte ces fruits et légumes, le Maroc a se retrouve dans la même proportion situation
Cette année risque de se dirigé vers une grave sécheresse si jamais il ne pleut pas en mars
 
Ce sont toujours méfaits de l'agriculture intensive... que ce soit comme le dit abdel pour faire du Nutella avec les palmiers indonésiens, au Brésil en déforestant ou comme l'a dit @ayadono au Maroc lui même où en France avec la banane martiniquaise qui pollue énormément...

Le pire c'est que ce sont des gros producteurs très souvent des multinationales Et justement au détriment des agriculteurs eux même quand ce n'est pas de toute la population.

Pourtant il existe des institutions internationales et nationales pour réguler tout ça... Mais le profit voir la corruption est roi
 
Les avocats sont en vogue - les pays de l’UE en ont importé 700 000 tonnes l’an dernier. Cet engouement a des conséquences catastrophiques dans les zones de production : au Chili, les exportateurs d’avocats ont acheté des permis d’eau et assèchent la nature avec leurs systèmes d’irrigation, ne laissant plus une goutte à la population.

Au Président et à la ministre de l’Environnement du Chili, au gouvernement de la province de Petorca et à la direction générale de l’agence de l’eau DGA
L’eau est un droit fondamental : abrogez la loi de l’eau de 1981 au Chili, limitez la culture des avocats et garantissez l’accès à l’eau pour tous les habitants

Les montagnes de la province de Petorca sont asséchées. Il n’y tombe que 200 mm de pluie par an. Les habitants vivent depuis des années dans les vallées, où des fleuves descendant des Andes permettent de cultiver un peu la terre.

Mais depuis quelques années, un conflit oppose la population à une armée d’arbres fruitiers gourmands en eau. Des entreprises cultivent des fruits destinés à l’exportation sur 8000 ha, pour la plupart des avocats.

D’interminables rangées d’avocatiers s’étendent sur les flancs de la montagne. Chaque avocatier a besoin d’env. 600 litres d’eau par semaine, un précieux liquide que les exploitants pompent dans des puits et acheminent dans des bassins d’irrigation.

Dans les zones environnantes, les fleuves sont asséchés et la végétation flétrie. Les champs des petits exploitants agricoles sont laissés en friche, car une méga-sécheresse sévit dans la région depuis 10 ans. La nappe phréatique est presque épuisée. Les réserves d’eau ont déjà diminué de 80 % selon les indications de l’agence de l’eau.

La population considère cela comme un vol d’eau. Les autorités accordent des permis d’eau aux plantations d’avocats et de nombreux puits ont été forés illégalement. Apparemment, les intérêts commerciaux et l’exportation de fruits sont plus importants que les droits des habitants.

Les autorités distribuent 50 litres d’eau par jour et par personne. Cette quantité d’eau ne suffit pas à mener une existence digne, satisfaire les besoins vitaux et vivre de l’agriculture traditionnelle.

Des organisations comme le Movimiento por el Agua y los Territorios et l’école d’agroécologie Germinar veulent récupérer l’eau pour les habitants et la nature. Ils exigent une distribution équitable de l’eau et l’abrogation de la loi sur l’eau instaurée sous la dictature militaire.

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si on irrigue avec l eau de mer ça pousse pas ce bazar?
 
si on irrigue avec l eau de mer ça pousse pas ce bazar?
Oui. Le modèle en la matière sont notamment les colons vivant en Palestine occupée qui recyclent et purifient les eaux usées et qui dessalent l'eau de mer pour irriguer les cultures et serres.
L'entité sioniste à réussi à exploiter des terres arides et à développer une agriculture très performante.
Il y a aussi l'Espagne.
 

Triste de voir des âmes si sombres qui tuent pour piller les pesos de paysans qui se tuent à la tâche déjà empoisonner par des pesticides, ils appellent çà des narcotrafiquants organisés, çà fais pitié même dans les trafics il devrait y avoir un minimum d'éthique, pour moi ce sont des mercenaires sans foi ni lois. A nous de choisir ce qu'on veut consommer (après on met rarement l'origine du produit encore moins pour les produits de beauté à base d'avocats ou autres, ce que je ne trouve pas normal).

L'appat du gain finira par perdre l'homme.
 
Oui. Le modèle en la matière sont notamment les colons vivant en Palestine occupée qui recyclent et purifient les eaux usées et qui dessalent l'eau de mer pour irriguer les cultures et serres.
L'entité sioniste à réussi à exploiter des terres arides et à développer une agriculture très performante.
Il y a aussi l'Espagne.
L entité sioniste s accapare les ressources en eau au détriment de la population palestinienne
L utilisation des eaux usées étaient déjà pratiquée en Amérique précolombienne
La dessalinisation est energivore et pose le problème de la gestion de la saumure
Son rejet dans la mer peu perturber le biotope mais elle peut être valorisée
 
Oui. Le modèle en la matière sont notamment les colons vivant en Palestine occupée qui recyclent et purifient les eaux usées et qui dessalent l'eau de mer pour irriguer les cultures et serres.
L'entité sioniste à réussi à exploiter des terres arides et à développer une agriculture très performante.
Il y a aussi l'Espagne.
Ah bon ? Moi qui croyait au contraire que justement Israël assèche les terres palestiniennes en justement les privant d'eau...

https://www.google.com/amp/s/amp.le...au-enjeu-majeur-entre-israel-et-palestine.php.

Pourtant c même pa moi qui ke dit c le figaro... c dire m
 
Les avocats sont en vogue - les pays de l’UE en ont importé 700 000 tonnes l’an dernier. Cet engouement a des conséquences catastrophiques dans les zones de production : au Chili, les exportateurs d’avocats ont acheté des permis d’eau et assèchent la nature avec leurs systèmes d’irrigation, ne laissant plus une goutte à la population.

Au Président et à la ministre de l’Environnement du Chili, au gouvernement de la province de Petorca et à la direction générale de l’agence de l’eau DGA
L’eau est un droit fondamental : abrogez la loi de l’eau de 1981 au Chili, limitez la culture des avocats et garantissez l’accès à l’eau pour tous les habitants

Les montagnes de la province de Petorca sont asséchées. Il n’y tombe que 200 mm de pluie par an. Les habitants vivent depuis des années dans les vallées, où des fleuves descendant des Andes permettent de cultiver un peu la terre.

Mais depuis quelques années, un conflit oppose la population à une armée d’arbres fruitiers gourmands en eau. Des entreprises cultivent des fruits destinés à l’exportation sur 8000 ha, pour la plupart des avocats.

D’interminables rangées d’avocatiers s’étendent sur les flancs de la montagne. Chaque avocatier a besoin d’env. 600 litres d’eau par semaine, un précieux liquide que les exploitants pompent dans des puits et acheminent dans des bassins d’irrigation.

Dans les zones environnantes, les fleuves sont asséchés et la végétation flétrie. Les champs des petits exploitants agricoles sont laissés en friche, car une méga-sécheresse sévit dans la région depuis 10 ans. La nappe phréatique est presque épuisée. Les réserves d’eau ont déjà diminué de 80 % selon les indications de l’agence de l’eau.

La population considère cela comme un vol d’eau. Les autorités accordent des permis d’eau aux plantations d’avocats et de nombreux puits ont été forés illégalement. Apparemment, les intérêts commerciaux et l’exportation de fruits sont plus importants que les droits des habitants.

Les autorités distribuent 50 litres d’eau par jour et par personne. Cette quantité d’eau ne suffit pas à mener une existence digne, satisfaire les besoins vitaux et vivre de l’agriculture traditionnelle.

Des organisations comme le Movimiento por el Agua y los Territorios et l’école d’agroécologie Germinar veulent récupérer l’eau pour les habitants et la nature. Ils exigent une distribution équitable de l’eau et l’abrogation de la loi sur l’eau instaurée sous la dictature militaire.

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Oui

en revanche il ne faut pas oublier que la viande est encore moins écologique

il faut 1000 litres d’eau pour produire un kilo d’avocat

il faut 15 000 litres d’eau pour produire un kilo de bœuf sans compter la souffrance animale qui est accompagnée

pour produire un kilo de chocolat il faut 17000 litres d’eau

pour produire un kilo de noix il faut 9000 litres d’eau

en sachant que parmi tous ces aliments le plus sain est l’avocat et en plus c le moins consommateur en eau

attaquons nous à la consommation excessive de viande et aux lobbys qui disent que « les produits laitiers sont nos amis pour la vie » lol
 
Oui. Le modèle en la matière sont notamment les colons vivant en Palestine occupée qui recyclent et purifient les eaux usées et qui dessalent l'eau de mer pour irriguer les cultures et serres.
L'entité sioniste à réussi à exploiter des terres arides et à développer une agriculture très performante.
Il y a aussi l'Espagne.
L entité sioniste s accapare les ressources au détriment de la population palestinienne
Les incas ou les mayas utilisaient deja les eaux usées et qui dans leurs pratiques sont agricole
Peux de plantes sont halophiles et leur utilisation à grande échelle compliqué
La spiruline (une algue) est une piste de développement
 
Les avocats sont en vogue - les pays de l’UE en ont importé 700 000 tonnes l’an dernier. Cet engouement a des conséquences catastrophiques dans les zones de production : au Chili, les exportateurs d’avocats ont acheté des permis d’eau et assèchent la nature avec leurs systèmes d’irrigation, ne laissant plus une goutte à la population.

Au Président et à la ministre de l’Environnement du Chili, au gouvernement de la province de Petorca et à la direction générale de l’agence de l’eau DGA
L’eau est un droit fondamental : abrogez la loi de l’eau de 1981 au Chili, limitez la culture des avocats et garantissez l’accès à l’eau pour tous les habitants

Les montagnes de la province de Petorca sont asséchées. Il n’y tombe que 200 mm de pluie par an. Les habitants vivent depuis des années dans les vallées, où des fleuves descendant des Andes permettent de cultiver un peu la terre.

Mais depuis quelques années, un conflit oppose la population à une armée d’arbres fruitiers gourmands en eau. Des entreprises cultivent des fruits destinés à l’exportation sur 8000 ha, pour la plupart des avocats.

D’interminables rangées d’avocatiers s’étendent sur les flancs de la montagne. Chaque avocatier a besoin d’env. 600 litres d’eau par semaine, un précieux liquide que les exploitants pompent dans des puits et acheminent dans des bassins d’irrigation.

Dans les zones environnantes, les fleuves sont asséchés et la végétation flétrie. Les champs des petits exploitants agricoles sont laissés en friche, car une méga-sécheresse sévit dans la région depuis 10 ans. La nappe phréatique est presque épuisée. Les réserves d’eau ont déjà diminué de 80 % selon les indications de l’agence de l’eau.

La population considère cela comme un vol d’eau. Les autorités accordent des permis d’eau aux plantations d’avocats et de nombreux puits ont été forés illégalement. Apparemment, les intérêts commerciaux et l’exportation de fruits sont plus importants que les droits des habitants.

Les autorités distribuent 50 litres d’eau par jour et par personne. Cette quantité d’eau ne suffit pas à mener une existence digne, satisfaire les besoins vitaux et vivre de l’agriculture traditionnelle.

Des organisations comme le Movimiento por el Agua y los Territorios et l’école d’agroécologie Germinar veulent récupérer l’eau pour les habitants et la nature. Ils exigent une distribution équitable de l’eau et l’abrogation de la loi sur l’eau instaurée sous la dictature militaire.

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Ce qui est hallucinant c'est que c'est une région qui est au porte de Santiago et de Valparaiso, que tout le monde est au courant mais rien n'est fait. Avant il y avait des rivières et des petits cours d'eau et aujourd'hui plus rien ce sont des lits de déchets plastiques(la sécheresse joue un grand rôle aussi). Pas très loin il y a une station balneaire très prisée des touristes et des habitants de ces deux villes et le contraste est saisissant. Tout comme le contraste entre ces grandes oasis vertes de plantations et l'état des villes et villages. Les retombées économiques n'existent même pas pour les habitants.
Sans compter que c'était une région d'élevage et que la plupart des troupeaux ont disparu.
 
Donc genre tu défends la culture intensive de l'avocat... au détriment même du lait...

Mais ferme ta bouche sérieux encore une fois tu sais même pas de loi tu parle....


Plus je te lis plus je m'offusque de tes propos
..
Vous vous emportez mais mehdi n à pas tout-à-fait tort
La production animale est devenu une industrie ou on chosifie les animaux
On est loin du temps où on s occupait mieux de ses animaux que de ses enfants, pas par empathie mais par nécessité pour vivre ou survivre
La production végétale nécessite la production animale elle sont écologiquement complémentaire
Les chantres du veganisme sont déconnectés de leur propre écosystème
Allez zou un berred d ateil, des msemens du miel et du beurre et on arrête de se chamailler
 
Vous vous emportez mais mehdi n à pas tout-à-fait tort
La production animale est devenu une industrie ou on chosifie les animaux
On est loin du temps où on s occupait mieux de ses animaux que de ses enfants, pas par empathie mais par nécessité pour vivre ou survivre
La production végétale nécessite la production animale elle sont écologiquement complémentaire
Les chantres du veganisme sont déconnectés de leur propre écosystème
Allez zou un berred d ateil, des msemens du miel et du beurre et on arrête de se chamailler
:claque:
 
Les plantations d'avocat au Chili, au delà de la catastrophe écologique c'est également l'accentuation des inégalités et des injustices par la privatisation de l'eau par de grands propriétaires terriens et multinationales au détriment des populations locales. C'est également la répression et les intimidations des personnes qui s'opposent à cela. L'association modatima qui lutte pour cette cause à subit répression, poursuite judiciaire par des proches du pouvoir et les grands groupes.
L'autre problème est qu'il y a une sorte de fatalisme, mêlée à la peur, des victimes de ce scandale. Peu de monde ose parler, peu de monde lors des marches pour l'eau,... Mais c'est comme partout ailleurs, quand la peur du pouvoir politique, policier, des puissances des intérêts économiques, les gens se taisent et subissent.
Certaines familles doivent se contenter de 30 litres par jour mais ce n'est pas grave tant qu'il y a de l'eau pour les casinos et hotels de Vina del Mar et qu'on puisse exporter nos avocats
 
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