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La rave party du 7 octobre, une « provocation, » selon un vice-amiral français
Michel Olhagaray a accusé Mia Schem, en participant à cette fête, d’avoir ignoré la situation antérieure à la guerre actuelle dans le territoire palestinien
Le vice-amiral Michel Olhagaray, ancien directeur du Centre des hautes études militaires, était invité jeudi soir sur le plateau de la chaine LCI pour s’exprimer sur le conflit entre le Hamas et Israël et réagir à l’interview de l’ancienne otage Mia Schem à la télévision israélienne.
« Comment ignorait-elle tout ce qui se passait dans Gaza ? Comment ignorait-elle les difficultés de ce peuple ? […] Une rave party à quelques kilomètres [de Gaza], dont le son s’entendait peut-être même à Gaza, c’était de la provocation pure et simple. »
Repris par la présentatrice, il a précisé : provocation « oui, pas de la part de cette jeunesse bien sûr, mais de la part du gouvernement Netanyahu, qui a laissé faire ce genre de choses, si proche de Gaza ».
Michel Olhagaray, affirmant que « cette parole vient contrebalancer les horreurs que vivent les civils à Gaza », a lui accusé Mia Schem, en participant à cette rave party, d’avoir ignoré la situation antérieure à la guerre actuelle dans le territoire palestinien. Il a aussi insisté sur l’idée que l’évènement auquel elle participait était
une « provocation » à l’égard des Palestiniens.
Le propos de Michel Olhagaray a fait l’objet de nombreux commentaires et réactions le condamnant sur X.
Jean-Pierre Mignard, avocat, a lui aussi dénoncé l’organisation de la rave « sous les murs de Gaza » comme un acte « irréfléchi ». La députée européenne Nathalie Loiseau a dénoncé cette position.
La rave party du 7 octobre, une « provocation, » selon un vice-amiral français
Michel Olhagaray a accusé Mia Schem, en participant à cette fête, d’avoir ignoré la situation antérieure à la guerre actuelle dans le territoire palestinien
Le vice-amiral Michel Olhagaray, ancien directeur du Centre des hautes études militaires, était invité jeudi soir sur le plateau de la chaine LCI pour s’exprimer sur le conflit entre le Hamas et Israël et réagir à l’interview de l’ancienne otage Mia Schem à la télévision israélienne.
« Comment ignorait-elle tout ce qui se passait dans Gaza ? Comment ignorait-elle les difficultés de ce peuple ? […] Une rave party à quelques kilomètres [de Gaza], dont le son s’entendait peut-être même à Gaza, c’était de la provocation pure et simple. »
Repris par la présentatrice, il a précisé : provocation « oui, pas de la part de cette jeunesse bien sûr, mais de la part du gouvernement Netanyahu, qui a laissé faire ce genre de choses, si proche de Gaza ».
Michel Olhagaray, affirmant que « cette parole vient contrebalancer les horreurs que vivent les civils à Gaza », a lui accusé Mia Schem, en participant à cette rave party, d’avoir ignoré la situation antérieure à la guerre actuelle dans le territoire palestinien. Il a aussi insisté sur l’idée que l’évènement auquel elle participait était
une « provocation » à l’égard des Palestiniens.
Le propos de Michel Olhagaray a fait l’objet de nombreux commentaires et réactions le condamnant sur X.
Jean-Pierre Mignard, avocat, a lui aussi dénoncé l’organisation de la rave « sous les murs de Gaza » comme un acte « irréfléchi ». La députée européenne Nathalie Loiseau a dénoncé cette position.